L'OM au Quotidien...

Ligue 1: L'OM plie à Valenciennes

L'OM a enregistré son premier revers de la saison, samedi à Valenciennes, dans le cadre de la 7e levée de L1 (3-2). Malgré deux buts de Morientes (13e) et Niang (21e), les Phocéens se sont laissés surprendre par Bisevac (20e), Ducourtioux (28e) et Rafael (83e). Une défaite olympienne qui laisse le champ libre à l'OL et à Bordeaux, opposés respectivement à Toulouse ce soir et à Rennes dimanche.
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Il faut vraiment que l'OM se stabilise à l'arrière. L'équipe est assez offensive, c'est clair, mais qu'en tu loupes ton attaque, t'a intérêt à cavaler pour venir défendre et le 2ème bit de VA était ce genre d'action.
Le 1er de VA, ca a été plus du billard, on ne peut pas faire grand chose...
En tout cas, quoi qu'on dise, je suis content que cette défaite soit arrivée avant le Real, ca va surement leur remettre les idées en place, car à Madrid, des buts ils peuvent en mettre, mais surtout, ils peuvent s'en prendre !!

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Diawara en garde à vue

Selon La Provence, le défenseur marseillais Souleymane Diawara aurait passé une bonne partie de la nuit de lundi à mardi en garde à vue. Vraiment pas l'idéal pour préparer le choc face au Real mercredi. Soumis à un banal contrôle routier vers 22h30, l'ex-Bordelais - qui conduisait sans permis - fut contraint d'avouer sa faute. Les policiers l'ont donc conduit à l'Evêché où il a été placé en garde à vue, jusqu'à 3 heures du matin. Un épisode qui ne devrait toutefois pas empêcher l'international sénégalais d'être présent ce mardi matin (9h30), au rendez-vous fixé par Didier Deschamps, à l'aéroport de Marseille.

Souleymane Diawara sera quoi qu'il arrive convoqué prochainement devant un tribunal pour y être jugé. 4500 euros d'amende, 2 ans de prison, 3 ans d'interdiction de permis, plus la confiscation de son véhicule : voilà la sentence qui pourrait être infligée au robuste défenseur central de l'OM.




Permis : Diawara ne savait pas

Suite aux informations parues dans La Provence concernant la mise en garde à vue de Souleymane Diawara dans la nuit de lundi à mardi, le conseiller sportif du joueur, Karim Aklil, a tenu à apporter quelques précisions. L'international sénégalais s'est effectivement fait interpeller à la sortie d'un restaurant alors qu'il allait prendre la route pour rentrer chez lui. Ce n'est que lors du contrôle d'identité qu'il a découvert, à sa grande surprise, qu'il n'avait plus de points sur son permis.

«Souleymane sortait d'un dîner, raconte Aklil. Il était garé en double file et c'est lors de la vérification d'identité qu'il a appris qu'il n'avait plus de points sur son permis. Comme il n'avait aucun papier d'identité sur lui, les policiers l'ont emmené au poste à 22h30 en demandant à ce que quelqu'un lui ramène des papiers pour prouver son identité, ce que j'ai fait. C'est un incident comme il peut en arriver tous les jours. Mais Souleymane Diawara n'étant pas une personne lambda, l'histoire a tout de suite été exagérée, décuplée et a pris une ampleur nationale».

L'ancien Bordelais a finalement été autorisé à quitter le poste quelques heures plus tard. Il a pu se rendre, sans problèmes, au rendez-vous fixé par Didier Deschamps, mardi matin (9h30), à l'aéroport de Marseille. «Il est en pleine forme, à 100% de ses capacités et il a surtout un moral d'acier pour affronter le Real Madrid», mercredi lors de la deuxième journée de la phase de poules de la Ligue des champions, assure Aklil. - E. T.


msn.fr

Brandao "pas au mieux"

Didier Deschamps a fait un point sur l'état de santé de son groupe ce vendredi au centre d'entraînement Robert Louis-Dreyfus « Koné, Hilton travaillent à part. Il y a un petit problème pour Brandao. Il n'est pas au mieux. Il a ressenti hier un petit souci à l'adducteur, il a une gêne il va passer des examens pour voir comment ça peut évoluer. » Didier Deschamps ne devrait prendre aucun risque avec son attaquant brésilien.

ODLB avec CR à Marseille (Rédaction Football365.fr

OM.PSG 10journée reporté.

A l'instar des matchs de rugby entre Castres et Albi ainsi qu'entre ces mêmes Castrais et Montauban, en début de saison du Top 14, le choc entre l'OM et le PSG, prévu dimanche soir au Vélodrome (21h00) en clôture de la 10eme journée de L1 pourrait être reporté à une date ultérieure en raison de la grippe A sévissant au sein de l'équipe parisienne.

Ainsi, plusieurs joueurs du PSG, dont Ludovic Giuly, Mamadou Sakho et Jérémy Clément, seraient atteints par le virus H1N1 et donc placés en confinement. Le club parisien n'aurait donc d'autres choix que de demander à reporter le match. Une demande des dirigeants parisiens dans ce sens serait même déjà parvenue sur les bureaux de la Ligue. A suivre...

A.C (Rédaction Football365.fr)

Le Clasico est maintenu

Malgré les cas avérés de grippe A au PSG (Giuly et Sakho seraient concernés), le club parisien, sur son site internet, assure que le Clasico OM-PSG, prévu dimanche soir à Marseille, ne sera pas reporté. Antoine Kombouaré tiendra une conférence de presse samedi vers 15h pour expliquer les décisions prises par le club.

TC (Rédaction Football365.fr)

Veyrat cible Paris

Si Jean-Claude Dassier, le président de l'OM, a plutôt calmé le jeu, lundi après les déclarations d'Antoine Kombouaré et du Premier ministre, François Fillon, concernant le report du match OM-PSG, cela n'a pas été le cas de tous les dirigeants olympiens. Dans la soirée, le directeur général marseillais, Antoine Veyrat, s'est montré très acerbe sur le chaîne du club. Et contrairement à la plupart des plaignants, ce n'est pas la Ligue (LFP) qu'il a visé, mais bien les Parisiens. «Il y avait chez eux un peu la volonté de reporter ce match, a-t-il estimé. J'ai du mal à penser autrement. Il y a eu des coups de fil dans tous les sens. Comme tout le monde, on ne souhaite pas alimenter la polémique mais nous sommes obligés de dire les choses quand on ne les comprend pas. L'OM et Marseille sont les premières victimes.»

A l'instar de Didier Deschamps, Veyrat aurait aussi préféré jouer la rencontre dès mercredi. Mais là encore, selon lui, le Paris-SG n'y a pas mis du sien. «C'est une déception car c'était clairement la meilleure date pour nous, a-t-il insisté. Dans le communiqué de la Ligue, il est dit parmi d'autres arguments que Paris ne peut pas voyager mardi en vertu du principe de précaution. C'est étonnant quand on sait qu'ils ont pu voyager hier soir (dimanche) pour retourner sur Paris. Nous pouvons comprendre que Paris soit diminué sportivement et qu'il y ait des problèmes d'équité. On aurait eu l'élégance de ne pas jouer contre une équipe diminuée mais ce qu'on ne comprend pas, c'est la logique dans tout ça.» Pour le dirigeant, «la ville (de Marseille) et le club ont été pénalisés de manière forte» dans cette affaire. «Nous sommes les victimes, a-t-il répété. Alors, en tant que victime, il est normal d'avoir un dédommagement.»

msn.fr

Dites moi, au PSG, ils n'ont que 11 joueurs ?? Et quand l'OM est parti jouer à Grenbole (1er match de L1 cette année), ils n'ont rien dit alors qu'en face il y avait 2 cas de grippe A...
Une chose est sûre, entre les joueurs blessés, suspendus et les malades, ils étaient ultra diminués et ils se seraient pris une volé. Voilà la raison. Depuis quand on reporte un match quand les joueurs sont malades ?? La grippe A est plus contagieuse mais moins virulente que la saisonnière, et pourtant pour cette dernière on en fait jamais un drame !
Sans oublié qu'à l'aller les Parisiens sont venus sans masques... Et les hôtesses ?? Et les employés des hôtels ?? Et les conducteurs de bus ?? Toutes ses personnes qui sont ou ont été en contact avec les Parisiens, on fait quoi ??? C'est du n'importe quoi !
En tout cas, ceux que je plainds le plus, ce sont les vrais supporters qui se sont tapés la route pour venir à Marseille et qui se sont retrouvés comme des cons au milieu d'abrutis fini !
La président de la fédé fait n'importe quoi et ce, depuis longtemps !

Grrrrrrr !!

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Je suis d'accord avec toi sur le fait qu'on en fasse trop de cette grippe. Il n'y a eu "que 40 morts" (40 de trop bien sur) mais la grippe saisonnière tue chaque année 5.000 personnes...

Ce match a été très mal géré de la part de la ligue. S'il fallait l'annuler c'était avant que tout le monde se déplace à Marseille. ET ce que je comprend pas non plus, c'ets que le match de ce WE soit maintenu. Ca y'est ils sont plus malades? il n'y a pas eu de nouveau cas, donc aucune raison d'annuler OM-PSG?

Mme Louis-Dryefus s'engage

Propriétaire de l'OM depuis le décès de son mari en juillet dernier, Margarita Louis-Dreyfus a accordé à l'Equipe sa première grande interview. «A de nombreuses reprises, Robert m'a répété : ''Avec l'OM, tu feras ce que tu veux.'' Après sa mort, je n'ai pas voulu partir. Je me suis retrouvé face à une très grande responsabilité et j'ai pensé qu'une mise en vente aurait pu déstabiliser le club. Ce que l'on fait là encore, c'est pour la mémoire de Robert et pour les enfants. J'aimerais donner plus de temps à l'OM mais il y a le groupe. C'est gigantesque. »


Pour Mme Louis-Dreyfus, une vente de l'OM n'est pas d'actualité. «Je ne peux pas donner de garantie pour le futur, dire que mon engagement va durer cinq, dix ou quinze ans. Ce ne serait pas honnête. Seulement, une vente n'est pas du tout à l'ordre du jour. L'ordre du jour, c'est de permettre à l'OM de gagner quelque chose, de travailler dans la sérénité. »

Retrouvez l'intégralité de cet entretien avec Margarita Louis-Dreyfus dans l'Equipe daté du vendredi 30 octobre.

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Clasico le 20 novembre

Le bureau de la Ligue a choisi la nouvelle date pour disputer Marseille - Paris SG, reporté à cause de la grippe A. Ce sera le vendredi 20 novembre.

Suite à l'annulation dimanche dernier du match OM - PSG en raison de trois cas grippe H1N1 déclarés dans les rangs parisiens, le Clasico aura finalement lieu le vendredi 20 novembre, a tranché la Ligue ce jeudi midi. Cette date «convient aux deux clubs ainsi qu'au diffuseur Canal+ qui retransmettra le match en direct, explique la LFP dans un communiqué. Cette date est la première possible. Elle permet de solutionner au plus tôt le problème du report de cette grande affiche de L1.»

Les présidents de Marseille, Jean-Claude Dassier, et du Paris-SG, Robin Leproux, sont sortis de la réunion du bureau de la LFP, avant l'annonce officielle de la nouvelle date par la Ligue de football professionnel. «La date nous convient», avait alors seulement lâché le dirigeant olympien, sans évoquer la date. Robin Leproux n'a, lui, fait aucun commentaire. Le Clasico est ainsi programmé seulement deux jours après le barrage retour de l'équipe de France contre l'Irlande au Stade de France.


«Cela permet de sécuriser le calendrier, de respecter nos engagements avec le diffuseur, et de ne pas trop charger le calendrier de l'OM, dans sa préparation du match de Ligue des champions contre Milan (le 25 novembre) », a commenté pour sa part Frédéric Thiriez, le président de la LFP. «Pourquoi ne pas reporter le match directement le 2 décembre ? L'important était d'avoir un accord total des membres du Bureau de la Ligue et des deux clubs concernés et la solution du 20 novembre recueille l'accord de tous», a poursuivi M. Thiriez. «Je partage le souci du premier ministre (M. Fillon) quand il veut anticiper au maximum l'annulation d'un match à risque, a jouté le président de la LFP. C'est d'ailleurs ce qu'on a fait. Le samedi, la commission d'experts nous a dit qu'en l'état des informations, il n'y avait pas lieu de reporter le match (finalement déprogrammé le dimanche quelques heures avant le coup d'envoi, ndlr)».

Prévue le samedi 21 novembre, les rencontres OM - Sochaux et Boulogne-sur-Mer - Paris-SG comptant pour la 14e journée de L1 auront lieu le mercredi 2 décembre à 19h00. Mais si le match de Ligue des Champions face au Real Madrid au Vélodrome le 8 décembre s'avère décisif, l'OM demandera alors à la Ligue un report d'OM-Sochaux à une date ultérieure. La formation de Didier Deschamps sera donc amenée à disputer 13 matches avant la trêve hivernale, 10 en Championnat et 3 en Ligue des champions.

msn.fr

OM: Cheyrou apte face au TFC

Samedi à 19 heures, l'OM reçoit Toulouse lors de la 12e journée de Ligue 1. Pour ce faire, Didier Deschamps pourra compter sur un groupe quasiment au complet (seuls Rool et Rodriguez manquent à l'appel) avec notamment la présence de Benoît Cheyrou, un temps incertain. Parmi les 20 joueurs convoqués par "D.D." figure également Edouard Cissé, en délicatesse avec un genou cette semaine. Le groupe marseillais: Mandanda, Andrade - Taiwo, Bocaly, Bonnart, Heinze, Diawara, Hilton - Cissé, Cheyrou, Kaboré, Valbuena, Abriel, Ben Arfa, Lucho, Mbia - Niang, Brandao, Morientes, Koné.
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Lucho 1 mois indisponible

Christophe Beaudot, médecin de l'OM, a réagi à la blessure samedi de Lucho Gonzalez contre Toulouse : le joueur souffre d'une grosse entorse. « C'est moins grave que prévu, a commenté le doc sur OMTV et OM.net. Avec une blessure comme celle-là, ça peut aller jusqu'à quatre semaines d'indisponibilité. On fera en sorte que cela soit le plus court possible mais en restant prudent car il y a de gros risques de récidive dans cas cas-là. »

ODLB (Rédaction Football365.fr)

Blondel, héros malgré lui

Face à une formation olympienne en supériorité numérique pendant plus de 80 minutes, le TFC a longtemps mené à la marque avant de se faire rejoindre en toute fin de match, malgré un excellent Blondel (1-1).

Remplaçant de Pelé en début de saison, Blondel ne s'attendait sûrement pas à entrer aussi tôt dans un match aussi important au Vélodrome face aux Phocéens. Pourtant, le Toulousain a réalisé deux périodes de grande
classe, permettant à sa formation de repartir du Vieux Port avec un précieux point dans l'escarcelle. Blondel a notamment écoeuré à plusieurs reprises Brandao, Niang et Valbuena, qui ont mis du temps à trouver la faille face au portier du TFC.

Tout avait pourtant bien commencé pour l'OM, suite à l'expulsion logique de Pelé pour un tacle irrégulier sur Niang, les deux pied décollés, en dehors de sa surface, à la 8e minute. Les Toulousains n'ont pas reculé pour autant et sont même parvenus à ouvrir la marque sur un sublime coup franc des 30 mètres de Sissoko (0-1, 28e).

Le Toulousain, auteur une nouvelle fois d'une très belle prestation au milieu du terrain, a longtemps tenu la baraque avant de voir Brandao égaliser d'une déviation acrobatique aux 16 mètres (1-1, 75e). Un but dont Blondel fut en grande partie responsable, puisque le portier avait très mal dégagé, directement sur Kaboré, au départ de l'action de but.

Malgré tout, Toulouse s'en sort plus que bien face à une formation phocéenne très brouillonne dans le dernier geste, et qui perd du terrain face à Bordeaux, tombeur de Monaco (1-0). Les Olympiens ont, en plus des deux points, perdu Lucho Gonzalez, victime d'une grosse entorse de la cheville droite. - Thomas RUDEAU

msn.fr

L'OM respire, le PSG coule

Marseille s'est rassuré vendredi soir au Vélodrome lors du clasico en s'imposant face au Paris-SG (1-0). L'OM se rapproche du podium alors que le PSG prouve qu'il est bien malade.

Près d'un mois après sa programmation initiale, le fameux clasico s'est enfin joué vendredi soir au Vélodrome. Et cette fois, le terrain a primé sur les événements extérieurs, même si quelques incidents sont encore à déplorer. Passablement frustré de ne pas avoir pu combattre le 25 octobre dernier en raison d'un virus ayant entamé les forces vives parisiennes, l'Olympique de Marseille était gonflé à bloc pour ce duel à la saveur toujours aussi particulière. Et l'OM, qui se devait de s'imposer pour ne pas déjà mettre un voile sur ses ambitions de titre, s'est rassuré en dominant un PSG (1-0) en manque de talents et d'étincelles. Au terme d'un clasico relativement médiocre, l'OM retrouve des couleurs avant le déplacement à Milan mercredi et de la hauteur au classement puisu'il est désormais 4e. La situation du PSG, elle, devient très inquiétante. Treizième au classement avant la journée de ce week-end, le club parisien enregistre une nouvelle déconvenue, lui qui n'a remporté qu'une victoire lors des six dernières journées.


Très entreprenant en début de match, l'OM avait le mors aux dents face à son ennemi héréditaire et après deux nuls en Championnat (Toulouse et Lyon). Deschamps a su motiver ses joueurs, et il a fait ses choix avec Hilton et Lucho sur le banc ainsi que l'enfant terrible Ben Arfa envoyé en tribunes, une conséquence du clash de mardi. L'entame de match a révélé un OM ambitieux devant et très solide derrière. En moins de cent vingt secondes, Brandao et Niang ont allumé deux mèches, à chaque fois de la tête. Le combat dans les airs allait devenir la clé du match. Et à Paris, la titularisation de Camara devenait alors très précieuse pour Kombouaré. Sauf que Marseille possède de meilleures individualités dans ce secteur (Brandao, Heinze, Diawara...) et l'équipe phocéenne n'a pas attendu longtemps pour se servir de cette arme redoutable. Après 25 minutes de jeu, l'OM a mené grâce à un coup de tête de Gaby Heinze (1-0).

Meilleur dans le jeu aérien, l'OM l'a aussi été dans les duels. Heinze, Taiwo et Diawara n'ont pas laissé respirer leurs hôtes, ce qui a dû ravir un Deschamps particulièrement irrité après les cinq buts encaissés à Gerland (5-5) il y a quinze jours. Asphyxié en début de première période, Paris s'est surtout évertué à procéder par contres. Mais Erding, mis à part une belle reprise (38e), était souvent bien trop seul aux avant-postes pour créer un réel danger. Et, une nouvelle fois, Sessegnon n'a pas été transcendant. Symbole de cette impuissance parisienne, une frappe tentée de 30 mètres par Ceara sans véritable conviction (61e). Au retour des vestiaires, les hommes de Deschamps avaient toujours les crocs et il n'a pas manqué grand-chose pour que Cheyrou (54e) et Taiwo (55e) ne doublent la mise dans l'intervalle. Cela aurait été mérité et davantage reflété le rapport de force même si la fin de match s'est avérée très décousue et à l'avantage du PSG, qui a finalement fait trembler le Vélodrome et Didier Deschamps jusqu'au bout. - David MICHEL (à Marseille)


msn.fr

J'ai vu le match. Très bonne prestation de l'OM en 1ère mi-temps et début de 2nd, mais dès que Valbuena est sorti du jeu, la partie a manqué de vitesse. Et le dernier 1/4 d'heure les Olympiens sont restés derrière, ce qu'il ne leur ressemble pas !
Par contre, les Parisiens, faudraient qu'ils s'inquiètent ! C'est une cata ! Un nombre incalculable de fautes techniques et de passes loupées... Tout le monde les encensaient après le match face à Sochaux, mais se match j'ai pû le voir, et leur victoire est largement dû aux joueurs de Sochaux qui ont joués comme des pieds !

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MarseilleOptimisme pour Lucho
L'OM publie un communiqué, à 24 heures de son déplacement à Lens (15e journée), optmimiste sur les chances de Lucho Gonzalez de jouer à Bollaert. Victime d'une contracture quadriceps droit à Milan (1-1), il s'est contenté d'un footing et d'exercices d'appui, tout comme Brandao, touché aux adducteurs. «Samedi, ils recevront des soins et devraient être opérationnels pour le match à Félix-Bollaert», écrit l'OM sur son site officiel. Le club olympien indique aussi que Steve Mandanda est resté aux soins vendredi, sans donner la nature du ''bobo'' de son gardien. Mais celui-ci devrait lui aussi être apte.

msn.sport

Groupe face a Lens.

Pour effectuer le déplacement à Lens (15eme journée de Ligue 1) samedi, l'entraîneur de l'Olympique de Marseille, Didier Deschamps, a décidé de reconduire le même groupe que pour le match face au Milan AC mercredi en Ligue des Champions (1-1). Les 22 joueurs étaient en stage au Touquet en cette fin de semaine.
Le groupe marseillais
Mandanda, Andrade - Bonnart, Bocaly, M'Bow, Hilton, So.Diawara, Taiwo, Heinze, Rool - Mbia, E.Cissé, Kaboré, Be.Cheyrou, Abriel, Lucho, Ben Arfa, Valbuena - Niang, B.Koné, Brandao, Morientes

Blessés : Ru.Riou (cotes), J.Rodriguez (cheville)
Suspendu : Aucun
Choix de l'entraîneur : N'Doumbou, Osei, Munoz, Gnabouyou, D'Ullivo, B.Diallo

Source : www.om.net
AG (Rédaction Football365.fr)

Bocali frustré.

Après la défaite de l'OM face à Lens samedi soir sur un but encaissé dans les arrêts de jeu (1-0), Gary Bocaly regrettait énormément après le coup de sifflet final l'erreur de concentration qui permet au Brésilien de tromper Mandanda.
Conscient que son équipe, l'Olympique de Marseille, avait le match nul en poche à ce moment de la partie, Gary Bocaly s'en voulait après la défaite à Lens (1-0) d'avoir encaissé ce but de la tête d'Eduardo dans les arrêts de jeu.

« Il ne reste pas beaucoup de temps et on prend ce but sur un manque de concentration, regrettait l'ancien Montpelliérain au micro d'Orange Sport. C'est une grosse déception, car nous avions le match en mains, mais pas non plus un coup d'arrêt. Il faudra aller prendre des points à Nice et rester concentrés. »

A.C (Rédaction Football365.fr)

Quand je vois le match fournit à Milan et celui de Lens, on se demande si c'est la même équipe !
Et ce Ben Harfa ! 10min de jeu et il a réussi à nous bouffer 3 actions !!! Grrrrr !! Je n'en peux plus de celui-là !

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on vous avait prévenu....

Abriel fait le point

Fabrice Abriel, nominé pour être le meilleur joueur du mois de novembre, revient sur la dernière intersaison, son début de saison marseillais, son acclimatation et son positionnement.
Arrivé l'été dernier, le milieu de terrain Fabrice Abriel (30 ans) ne regrette pas d'avoir rejoint l'Olympique de Marseille. « C'est le club que j'attendais, nous confie l'ancien Lorientais. Lens n'avait pas d'argent cet été. Nancy, je n'ai pas senti le truc. Leur projet était ambitieux avec un changement de philosophie. Mais il faut du temps pour y arriver. Je cherchais soit un grand club soit une équipe capable d'être outsider, un peu comme l'est Valenciennes en ce moment. »

Recruté pour près de 2,5 millions d'euros, l'ex-Parisien a rapidement trouvé ses marques sous ses nouvelles couleurs. « Cela se passe très bien, je joue pas mal de matchs (ndlr : 10 fois titulaire en L1), je bosse bien aux entraînements, mais il faut rester vigilant. C'est bien aussi que l'effectif tourne, lorsqu'on est émoussé. C'est Marseille : il ne faut jamais lever le pied, même en match amical ! C'est à fond tout le temps, il y a toujours une attente où que nous soyons. »

Polyvalent, Fabrice Abriel en profite aussi évoquer son récent positionnement sur le côté droit de l'attaque marseillaise. « Jouer à droite, ça ne me dérange pas. Le coach ne me demande pas de déborder, centrer et dribbler comme un ailier d'Auxerre de la grande époque. Je dois déjà bien défendre, puis essayer de trouver des décalages lorsqu'on a le ballon. »


R.L. (avec C.L.) (Rédaction Football365.fr)

Marseille, ce qu'il fallait


En dominant Nice presque sans trembler (3-1), Marseille s'est remis dans le droit chemin après sa défaite à Lens (0-1).

Didier Deschamps attendait une réaction de ses joueurs après leur défaite peu reluisante à Lens, samedi dernier (0-1). S'il repart de Nice avec les trois points, le coach olympien peut aussi être rassuré par le jeu développé par son équipe, à trois jours de recevoir le Real Madrid, en Ligue des champions. Son équipe-type a fait le nécessaire, aussi bien dans l'investissement et l'envie que ballon au pied. Bref, tout ce qu'il fallait à une formation en manque de confiance et de repères. L'OM revient également dans le coup au classement puisqu'avec un match en moins, le club phocéen pointe à deux points de la deuxième place. De quoi lui laisser l'esprit tranquille, pour quelques jours au moins.

Apam facilite la tâche de l'OM
Face à un Gym privé de son meilleur atout, Loïc Rémy, forfait de dernière minute pour cause de blessure à une cheville, Marseille a tout de suite pris le match à bras le corps. Durant un quart d'heure, Mamadou Niang et ses partenaires ont fait le forcing pour ouvrir le score. Un pressing très haut, peu de déchêt technique, de bonnes idées, Didier Deschamps a dû apprécier. D'autant que la récompense est ensuite rapidement intervenue. Sur une contre-attaque rondement menée, le capitaine olympien a inscrit son premier but depuis deux mois (19e). Seulement voilà, à partir de là, la machine s'est grippée. Nice l'a remarqué et ne s'est pas fait prier pour saisir sa chance. Kafumba Coulibaly y est allé de son premier but lui aussi, mais en Ligue 1 cette fois (33e).

Lucho très en jambes
D'un seul coup pris à la gorge et sans réaction, l'OM a curieusement souffert, avant de profiter d'un coup du sort. Sur un coup de folie - coup de tête volontaire sur Heinze -, Onyekachi Apam a été expulsé, laissant ses coéquipiers à dix pour toute la seconde période. Une aubaine pour les Marseillais. Car durant les dernières quarante-cinq minutes, ils ont pu reprendre la direction des opérations. Avec application et parfois un certain brio, ils ont fini par concrétister leur domination. Lucho Gonzalez, très en jambes, s'est chargé du break (76e) tandis que Koné a conclu la belle soirée de l'OM (86e). Du travail bien fait. - H.s

SFR.Sport

Marseille, juste le résultat

Même s'il ne s'est pas entièrement rassuré, l'OM s'est imposé contre Boulogne (2-0). Il revient à trois points de Bordeaux

Vaincre, à défaut de convaincre. Dans la lignée de ses dernières prestations en Championnat, l'Olympique de Marseille s'est contenté du minimum syndical contre Boulogne-sur-Mer (2-0). Face à une formation venue essentiellement pour défendre, les joueurs de Didier Deschamps ont eu recours à deux coups de pieds arrêtés pour enchaîner un deuxième succès d'affilée en L1. Les deux buts signés Heinze (48e) et Taiwo (54e s.p.) leur permettent malgré tout d'assurer l'essentiel : une deuxième place provisoire, à trois longueurs de Bordeaux.

Le défi proposé à l'OM, samedi soir, était multiple : 1) bien négocier son retour sur la scène hexagonale après une nouvelle désillusion en Ligue des champions. 2) apprendre à jouer sans Mamadou Niang, sur le flanc pour les six prochaines semaines. Avec Koné associé à Brandao dans un 4-4-2 en losange, les Olympiens, dont la transition C1-L1 leur a déjà coûté dix points depuis le début de la saison, ont rempli le premier point. Pour ce qui est des questions autour de la vie sans Niang, elles sont restées sans réponses. Au moins l'entrée de Ben Arfa (57e) a-t-elle eu le mérite de faire souffler un léger vent de panique dans la défense nordiste. L'ancien Lyonnais a notamment été à l'origine de l'expulsion d'Adefimi (89e).

La maîtrise affichée par les Marseillais tout au long de la rencontre ne doit pas voiler une première période plus que médiocre dans l'animation offensive. En panne d'imagination, incapable d'emballer le match et brouillon dans la construction, l'OM a éprouvé les pires difficultés pour étirer le bloc compact des Boulonnais. Il devra méditer sur ses lacunes avant d'entamer une série de deux déplacements, à Lorient, puis Saint-Etienne. Pour Boulogne, ce dixième revers en douze rencontres est synonyme de 19e place. La victoire obtenue face à Lens (2-1) la semaine passée ne sera restée qu'un feu de paille. - E. T.

MSN Sport

Marseille à l'arraché

L'Olympique de Marseille a enchaîné un troisième succès d'affilée sur la pelouse Lorient (2-1). Le jeune Jordan Ayew et Souleymane Diawara sont les buteurs marseillais.

A Marseille, ces derniers temps, la parole est à la défense. Comme face à Boulogne (2-0), samedi, l'OM s'est retiré une sérieuse épine du pied grâce à un membre de son arrière-garde, Souleymane Diawara. Le but de la tête de l'international sénégalais dans le temps additionnel (90e+2) permet aux joueurs de Didier Deschamps d'arracher un troisième succès consécutif sur la pelouse de Lorient (2-1). L'écart de six unités avec Bordeaux est maintenu. Il pourrait passer à trois, les Marseillais ayant toujours un match en retard contre Sochaux à jouer.

Dans une rencontre où les défenses ont souvent pris le pas sur l'attaque, l'OM s'est réveillé après la sortie de Morientes (63e) lorsque Didier Deschamps a abandonné son traditionnel 4-3-3 pour un 4-4-2 plus offensif. Les absences conjuguées de Niang, blessé, et Brandao, suspendu, l'avaient contraint à titulariser l'international espagnol pour la quatrième fois de la saison. A l'exception d'une situation chaude où il a péché par altruisme, l'ancien attaquant du Real n'a pas apporté grand-chose au collectif marseillais. Pourtant, son mètre 86 avait un coup à jouer sur les longs ballons constamment balancés dans le dos de la défense lorientaise en première période.

Ayew, la belle histoire
Rapidement mené 0-1 à la reprise suite à un penalty de Vahirua consécutif à une faute de Heinze sur le Tahitien (53e), l'OM a fait preuve de caractère pour égaliser, puis reprendre l'avantage. Ironie du sort pour Morientes, c'est son remplaçant, le tout jeune Jordan Ayew, qui a remis les Marseillais sur de bons rails (68e), cinq minutes après avoir pris sa place. «D'arracher ses trois points comme ça..., soufflait DD sur Foot + à la fin de la rencontre. Pourtant, c'était mal embarqué». Particulièrement gêné par le jeu en passes courtes et le pressing des Lorientais sur le porteur de balle, Marseille a renversé la situation dans un dernier quart d'heure où il a entièrement été dominé. Cela devrait laisser quelques regrets à Christian Gourcuff. Il voit son équipe redescendre à la neuvième place. - E. T.

Club internet sport

Deschamps: «Cela ressemble au néant»
L'entraîneur de l'OM, très irrité et en colère comme jamais cette saison après la défaite de ses troupes au Vélodrome contre Auxerre mercredi (0-2), estime que la prestation de son équipe «ressemble au néant».

«Didier Deschamps, quelle analyse faites-vous de ce match ?
Il n'y a pas eu de match. C'est tellement gros que j'ai encore du mal à y croire. Nous avons été tellement absents. Des matches non maîtrisés, nous en avons joué, mais là... Si ce n'est pas le néant, cela y ressemble quand-même. C'est dur à avaler de finir là-dessus. Cela m'em... aussi royalement pour les gens qui sont venus ce soir. Mais nous avons manqué de beaucoup trop de choses pour espérer un bon résultat.

Est-ce un coup au moral ?
Je repartirai, mais cette défaite ne passera ni aujourd'hui, ni demain. Nous sommes passés complètement à côté. Il n'y avait pourtant pas de signe annonciateur d'une telle déroute. Il y avait certes des conditions difficiles, le pied qui tremble, et une main de Mignot non sifflée, mais nos choix étaient, disons, plutôt... discutables !

Allez-vous chercher un renfort offensif ?
La situation n'a pas changé. Nous n'avons pas de marge de manoeuvre. Nous allons voir ce que nous pouvons faire pour trouver une solution. L'urgence est là, mais cela ne change pas les données...

Quel bilan tirez-vous de cette première partie de saison ?
Si nous gagnons notre match en retard contre Sochaux, nous serons 2e... Mais il est difficile d'avoir un jugement, car nous avons eu du mal à trouver la continuité. Il faudra recadrer les choses à la reprise.

Quel message avez-vous adressé à vos joueurs ?
Je n'ai rien dit, j'ai préféré m'abstenir. Certains passeront peut-être de bonnes fêtes, mais pas moi.» (AFP)

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