L'OM au Quotidien...

Deschamps veut renouveler l'effectif

Didier Deschamps souhaite «renouveler en partie» l'effectif de l'Olympique de Marseille. «A hauteur de 30%», a précisé le nouvel entraîneur du club marseillais lors de sa première conférence de presse. Le technicien ne serait pas opposé à l'arrivée du milieu bordelais Alou Diarra. «Les bons joueurs m'intéressent», a-t-il indiqué en réponse aux déclarations de l'ancien Lyonnais, qui s'est dit intéressé par une éventuelle arrivée à Marseille dans les colonnes de La Provence. Deschamps a, en revanche, tué dans l'oeuf une possible arrivée de David Trezeguet. «On ne peut pas empêcher les gens de rêver, mais je le dis très clairement, c'est infaisable».Sur ses deux années sabbatiques depuis son départ de la Juventus Turin, Deschamps affirme en avoir «profité pour recharger les batteries». «J'ai également pu analyser différents clubs et continuer à apprendre mon métier. Je n'avais pas eu de coupure entre ma carrière de joueur et celle d'entraîneur». C'est «l'envie de retrouver les terrains» qui l'a poussé à relever le challenge marseillais. «Cette année, il y a avait également une envie commune de travailler ensemble», a-t-il ajouté en référence à son refus d'entraîner l'OM il y a deux ans. «J'avais pas mal de propositions. Ce qui m'intéressait, c'était le projet sportif». - Avec H. F (à Marseille)


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une gestion différente de Gerets mais la meme rigueur et la meme soif de gagner pour la Desch'
En espérant qu"il fasse meiux que Gerets ...Et ce sera pas évident ...

L'absence de Diouf fait polémique

Le conseil de surveillance de l'Olympique de Marseille a regretté mercredi l'absence à sa réunion du président du club Pape Diouf, resté dans la cité phocéenne pour une cérémonie au siège de l'OM fêtant le titre national d'une équipe de jeunes. Le conseil, réuni à Paris, avait comme ordre du jour l'examen de la stratégie de recrutement à l'intersaison, c'est-à-dire le contrôle de la politique menée par le directoire du club, composé de Diouf (président) et d'Antoine Veyrat (directeur général).Constatant «l'absence du président du directoire (Pape Diouf, Ndlr)», le conseil a estimé que «de ce fait, les points stratégiques à l'ordre du jour n'ont pu être abordés» et a décidé «à l'unanimité de solliciter l'avis de l'actionnaire (Robert Louis-Dreyfus, Ndlr) sur ces dysfonctionnements.»

De son côté, Pape Diouf a indiqué à l'AFP qu'il n'avait appris «que lundi que le conseil était fixé à mercredi. Or nous avions décidé dès dimanche d'organiser une cérémonie ce mercredi à la Commanderie en l'honneur de notre équipe des 16 ans Nationaux sacrée championne de France samedi.» Diouf rappelle aussi qu'il avait pris «toutes les dispositions» pour se rendre au conseil initialement prévu mercredi dernier et qui a été «ajourné sans aucune explication». Le président marseillais va même jusqu'à se demander si «il n'y pas eu d'arrière-pensées dans cette forme de programmation et déprogrammation.» Cet épisode intervient alors que Diouf, comme il l'avait déjà fait en janvier, a vivement critiqué samedi dans l'Equipe Magazine le président du conseil Vincent Labrune, représentant et porte-parole de Robert Louis-Dreyfus, dont il estime qu'il a «outrepassé ses droits» et qu'il a voulu lui «imposer certaines choses».

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Villeneuve nie la rumeur

Dans le dossier brûlant de l'avenir incertain de Pape Diouf à l'OM, une question capitale reste en suspens : à qui profiterait son départ ? Si Diouf était débarqué, aucun successeur ''naturel'' ne semble s'imposer à Robert Louis-Dreyfus. Depuis 48 heures, la rumeur Charles Villeneuve circule. L'éphémère président du Paris-SG est un intime de Vincent Labrune depuis son passage à TF1, et Villeneuve a pris goût aux affaires du football avant d'être débarqué à son tour par Sébastien Bazin. «Je suis très surpris que beaucoup puissent penser à ma venue à l'OM, a-t-il pourtant assuré à La Provence. L'amalgame peut être vite fait. Je suis souvent venu au Vélodrome mais, si je me rends régulièrement à Marseille, c'est parce que je suis installé dans le Var. Je peux vous certifier que personne de l'OM ne m'a parlé ou appelé. Je ne pense même pas à une telle opportunité.» Lundi, RMC assurait qu'un autre ''ex'' se tenait à l'affût : l'ancien président de Monaco Jérôme de Bontin, qui serait intéressé.

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Anigo-Bernès, Dassier calme le jeu

Jean-Claude Dassier n'a pas encore été nommé président de l'OM qu'il doit déjà gérer une «crise» interne entre José Anigo et Jean-Pierre Bernès.

A chaque jour sa prise de position, à chaque jour sa petite déclaration. Après avoir énoncé samedi la condition à sa venue à Marseille - l'arrivée de Jean-Pierre Bernès «pour s'occuper des joueurs avec José Anigo» -, Jean-Claude Dassier a réagi dimanche auprès de l'AFP concernant le choix de José Anigo de ne pas travailler avec Jean-Pierre Bernès. «Tout cela n'est pas sérieux, a estimé le directeur de la rédaction de TF1, pressenti pour occuper la présidence de l'OM. Nous allons nous parler. Et José doit se poser la question de l'intérêt du club avant tout.»

De source proche du dossier, José Anigo aurait décidé de s'en aller «si Bernès prend des fonctions au club» avait annoncé en début d'après-midi La Provence. Information qualifiée de «tempête dans un verre d'eau» par Dassier. Selon lui, les choses devraient se régler facilement par un coup de fil. «D'abord, José peut m'appeler pour que l'on en discute, et je le rassurerai, a assuré Dassier. Ensuite, je lui ai confirmé qu'il conservait son titre et ses fonctions. Enfin, j'ai quand-même le droit de prendre un conseiller, alors que nous avons des problèmes sur le recrutement!» Un droit incontestable mais un choix contesté. L'affaire est loin d'être terminée.

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Deschamps repousse son arrivée

Deschamps qui repousse son intronisation, Dassier qui n'a pas encore signé son contrat, Anigo qui hésite à partir... pour l'instant, à l'OM, tout est au point mort.

L'arrivée officielle du nouvel entraîneur Didier Deschamps à la Commanderie est en suspens. Ce devait être ce lundi matin, ce sera peut-être demain, ou peut-être même pas du tout. L'ancien coach de Monaco et de la Juve s'interroge sur la situation très nébuleuse actuelle du club. Rassuré par son déjeuner de vendredi avec Dassier, il aurait moins goûté l'annonce - tout du moins dans la forme - de ce dernier quant à sa volonté de faire venir Jean-Pierre Bernès. Deschamps aime les choses claires et il souhaite que le voile soit vite levé sur l'organigramme du club. Sinon, lui qui se dit être un homme libre, pourrait quitter le navire en pleine tempête...

Jean-Claude Dassier, futur président, n'a toujours pas signé son contrat, mais il a déjà communiqué dans la presse la composition de son staff, alors qu'il n'a toujours pas quitté TF1. Et parmi ses futurs collaborateurs, un nom fait grincer des dents à Marseille, celui de Jean-Pierre Bernès, agent de joueur très influent mais aussi condamné dans la tristement célèbre affaire OM-VA. Depuis samedi, Dassier fait le forcing pour avoir Bernès à tout prix avec lui, posant sa collaboration comme condition de sa venue à Marseille. Mais Bernès lui-même n'est pas sûr de vouloir le poste. Homme de l'ombre, lui non plus n'aurait pas apprécié de se retrouver en pleine lumière et pourrait finalement décliner l'offre.

Quant à José Anigo, dernier survivant de l'ancienne équipe dirigeante, il attend de voir. Il a fait savoir qu'il ne collaborerait pas avec Bernès et qu'il pourrait quitter le club. Malgré l'appui des supporters et sa bonne connaissance du club, il n'est plus en position de force à l'OM et attend de voir ce que fera l'actionnaire Robert Louis-Dreyfus avant de prendre une décision. Deschamps, en arrivant à l'OM, ne s'attendait sûrement pas à tomber au coeur d'un tel imbroglio. Il attend donc encore avant de prendre ses fonctions, à moins qu'un ultime rebondissement ne lui fasse définitivement rebrousser chemin.

msn.fr

Tu parles d'un bordel !
On allait partir sur une nouvelle saison avec un bonus psychologique avec Dédé... Au bout du compte, c'est pire !!

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pouvez pas rester calme sur la cannebière....

Pfff c'est le sud

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Le vélodrome va s'agrandir et se couvrir !!



Le stade Vélodrome est mort. Vive le stade Vélodrome ! Le Conseil municipal extraordinaire de Marseille a voté jeudi matin le projet de rénovation de l'enceinte. Objectif : doter la ville d'un stade moderne à l'horizon 2014 afin d'accueillir deux ans plus tard des matchs de l'Euro 2016. Le cout des travaux est estimé à 150 M€. Avec deux axes majeurs : une extension à 70 000 places et surtout la couverture complète des tribunes. Pour financer ce projet, la mairie de Marseille a bien sûr sa petite idée. « Nous donnerons des droits à bâtir autour du stade », expliquait récemment Jean-Claude Gaudin.

En clair, le maire de la cité phocéenne va privatiser les abords du Vélodrome. Commerces, restaurants, hôtels, logements : les rentrées d'argent vont grossir sensiblement. Sans oublier bien sûr l'aide des collectivités locales et de l'État. Si Patrick Mennucci, président du groupe PS au Conseil municipal et Patrick Zaoui, représentant du MoDem, ont émis des doutes sur le projet (danger de voir le prix des places augmenter, manque de clarté du financement), Jean-Claude Gaudin est lui très confiant. Au point d'écarter catégoriquement l'idée d'un « naming » du Vélodrome qui favoriserait pourtant une autre source de rentrée d'argent.

Pas d'augmentation du prix des places

Pour les supporters de l'OM, cette rénovation du Vélodrome aura un impact immédiat, le principal étant la mise en place d'un toit. Du coup, terminées les longues soirées sous la pluie et oubliés les courants d'air. Une étude commandée par la ville a également mis en avant une prévision qui devrait donner le sourire aux fans marseillais : 43% des billets vendus seront sous la barre des quinze euros. Pour le club, il s'agit également d'une belle opportunité puisque avec désormais 70 000 places, le Vélodrome va enfin pouvoir proposer davantage de sièges « VIP ». Actuellement, seulement 2 500 personnes peuvent bénéficier d'un confort et de services privilégiés. Ils seront bientôt au moins 5 000.

Ce projet devrait également satisfaire Jean-Pierre Escalettes et Frédéric Thiriez, les présidents respectifs de la FFF et de la LFP. Les deux hommes s'étaient récemment exprimés sur la nécessité de rénover le Vélodrome dans l'optique de l'Euro 2016. « Marseille, capitale de la culture en 2013, sera aussi une ville phare pour l'Euro 2016, estimait Frédéric Thiriez. Il faut couvrir le stade et le mettre aux normes en matière de confort. » « On ne peut pas imaginer l'Euro 2016 sans Marseille mais je sais que la Ville est prête à faire un effort », renchérissait Jean-Pierre Escalettes. Place désormais aux grues et aux pelleteuses…

Deschamps, la vie en rose

Qu'il s'agisse des enseignements du stage que l'OM vient d'effectuer à Evian, du travail physique réalisé dans la semaine, ou encore de l'intégration des recrues au groupe, Didier Deschamps, l'entraîneur olympien, dresse dimanche sur le site Internet officiel du club un bilan 100% positif. L'ambiance ? «Le groupe vit bien, il y a eu une très bonne attitude la part de tout le monde même si des joueurs sont peut-être en stand-by (en attente de départ, NDLR).» Le travail ? «Il y a beaucoup de sérieux, d'application et d'implication. C'est bien et il faudra maintenant le travailler dans les matches.» L'intégration des nouveaux ? «Ca se passe très bien même si pour certains comme (l'Argentin) Lucho (Gonzales), il y a la barrière de la langue. Mais il peut parler en portugais avec Brandao et Hilton et avec quelques joueurs qui parlent espagnol.» La présence des supporters, nombreux en Haute-Savoie ? «C'est quelque chose de très positif de sentir ce soutien à l'entraînement ou lors des matches.»

Didier Deschamps retrouvera son groupe lundi à la Commanderie où il travaillera jusqu'au match de vendredi prochain au Pontet contre Ajaccio, une semaine après sa victoire (2-1) contre le Dinamo Bucarest à Thonon-les-Bains. L'OM partira ensuite pour son deuxième stage de préparation, à Saint-Jean-de-Luz, du 19 au 25 juillet.

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Ils sont en stage à Saint de Luz avec une opposition contre Bordeaux Demain.

Deschamps explique ses choix

Fernando Morientes et Fabrice Abriel vont s'engager dans les prochaines heures à l'OM. Devant la presse, Didier Deschamps a expliqué lundi pourquoi il s'était orienté vers ce recrutement, notamment celui de l'Espagnol, 33 ans, qu'il a côtoyé à Monaco en 2003-2004. «Fernando a la fraîcheur physique et l'envie du haut niveau. Si l'on avait voulu recruter un avant centre à 20 buts par saison, il nous en aurait coûté 15 millions d'euros minimum, explique le coach. On ne peut pas. Je ne dis pas cependant que nous avons pris Fernando par défaut, je le connais bien. Mais il ne va pas jouer 40 matches de 90 minutes, il faudra le préparer. Je sais qu'en France on tend à douter lorsqu'on évoque les joueurs de plus de 30 ans. Mais il n'est pas usé. Et voyez l'impact d'Inzaghi ou Del Piero, qui ont 36 et 35 ans...». Quant à Abriel, milieu de terrain polyvalent, qui évoluait à Lorient depuis 2006, «il apportera une touche plus technique que physique au milieu, où par sa qualité de passe, il a sa place dans cet effectif», a commenté Deschamps, insistant sur sa polyvalence. Morientes devrait s'engager pour deux saisons, ou une saison avec une année supplémentaire en option. Abriel, 30 ans, s'est engagé pour sa part pour trois saisons. «Il y aura encore une arrivée» a également déclaré l'entraîneur marseillais sur le site internet du club, sans préciser que son dernier objectif se situait en défense centrale. Nous arrivons au bout. Dans l'absolu, je ne dis pas que ça ne bougera plus. Si des joueurs viennent à partir, il faudra bien les remplacer mais la plus grosse partie est faite. On se donne les armes pour lutter pour les premières places».


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Gerets met la pression sur Deschamps

Parti exercer à Al Hilal (Arabie Saoudite), l'ancien coach de l'OM Eric Gerets a toutefois suivi avec attention l'intersaison marseillaise. Après avoir déclaré sur RMC-Info avoir eu «les larmes aux yeux en voyant la qualité des joueurs recrutés» cet été, le technicien belge, qui était à Cannes à l'occasion d'un match amical (Al Hilal - Atalanta Bergame : 0-0), s'est exprimé vendredi dans L'Equipe. Pour lui, pas de doute, l'OM doit être champion. «J'espère qu'avec le recrutement effectué, l'équipe sera plus forte cette année. Je serais très étonné que ce ne soit pas le cas. Si nous sommes parvenus à finir deuxième avec l'équipe que nous avions, la logique voudrait qu'ils soient premiers à la fin de la saison (...) Deschamps a eu l'argent pour acheter de meilleurs joueurs que moi l'année passée. A lui de prouver qu'il peut faire mieux que moi... »

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Ouep il met la pression et c'est sur que l'année derniere avec une defense Heinze - Diawara on avait de grandes chances de l'etre ....apres bon , chaque année a son histoire donc on verra ce qui se passe cette année

Lucho, la pièce manquante

L'attente est grande. Et tout Marseille espère que Lucho Gonzalez, plus gros transfert de l'histoire du club, va rapidement devenir l'un des fers de lance de l'OM. Blessé en amical contre l'ASSE fin juillet, il n'a pas pu apporter sa patte à une équipe qui n'a pas encore trouvé le meilleur rendement offensif. Début de réponse lors de la 5e journée de L1, samedi contre Le Mans.

Un meneur, un vrai. Lucho Gonzalez aime par-dessus tout, toucher la balle, orienter le jeu et prendre les intervalles. Dans le système mis en place par Didier Deschamps, l'international argentin prend alors une place de choix. C'est à lui de servir de liant entre le milieu et l'attaque et de donner le tempo du jeu phocéen. Et justement, l'Olympique de Marseille s'est jusque-là appuyé sur une base défensive de tout premier ordre mais n'a inscrit que quatre buts en quatre matches quand Bordeaux a frappé à onze reprises.

" C'est un joueur de haut niveau qui est là pour faire la différence par sa technique, par ses passes et le fait qu'il marque beaucoup de buts en plus de ses coups de pieds arrêtés ", prévient l'entraîneur provençal sur le site officiel du club. Il ne faudra néanmoins pas s'attendre à ce qu'il casse la baraque dès le premier match. Car son poste nécessite une bonne connaissance du jeu, des habitudes et des déplacements de ses partenaires. Cela vient toujours avec du temps et de ce point de vue, la fracture de la clavicule qu'il a contractée le 29 juillet en amical contre Saint-Etienne a été forcément très préjudiciable. Car le mois d'août aurait dû lui permettre de s'intégrer "footballistiquement" à l'équipe afin de donner sa pleine mesure à partir de septembre, soit pour le début de la Ligue des Champions et un premier rendez-vous choc contre l'AC Milan le 15 septembre.

Le lien entre la défense et l'attaque

" C'est lui qui devait faire le lien entre les phases défensives et offensives. Il sera important mais devra aussi trouver des affinités et de la complémentarité autour. Par rapport au talent qu'il a, ça devrait s'accélérer ", plaide un Didier Deschamps, conscient que son joueur, s'il n'a aucun souci athlétique, devra tout de même passer outre une certaine appréhension dans les contacts. La trêve internationale est d'ailleurs arrivée à point nommé puisque l'ancien de Porto disposera une bonne dizaine de jours d'entraînement collectif avant de débuter, enfin, avec l'OM contre Le Mans

Une rencontre importante pour des Phocéens malheureux contre Bordeaux lors de la dernière journée avec deux poteaux, mais un résultat nul (0-0), et qui entendent fermement se repositionner avant d'attaquer une Ligue des Champions coûteuse en termes d'énergie. " Je ne vais pas tout mettre sur son dos car, même sans lui, il y a des choses à améliorer dans la relation milieux/attaquants et dans la complémentarité entre attaquants. C'est la partie la plus difficile mais aussi la plus intéressante à travailler ", ajoute Deschamps. Sans lui mettre de pression particulière, les débuts de Lucho Gonzalez ne devraient toutefois pas passer inaperçus.
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Samedi on devrait voir le vrai visage de l'OM avec une équipe type. Y a plus qu'à !

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Morientes en bave

Présenté comme le joker de l'OM, Fernando Morientes (33 ans) a beaucoup de mal à trouver le rythme comme il l'a avoué à L'Equipe.

Fernando Morientes, finaliste de la C1 2004 avec Monaco, a du mal à mettre en route sa saison. L'attaquant international espagnol a avoué ce vendredi à L'Equipe qu'il manque de rythme. «Je n'ai pas beaucoup joué la saison dernière et cet été, j'ai travaillé seul pendant deux mois, a-t-il expliqué. Il me manque du rythme, du fond. J'entame ma seizième saison au plus haut niveau.» Mais l'ancien compère de Raul au Real Madrid n'est pas surpris d'avoir du mal : «Dans ma tête, c'est carré. Je m'attendais à souffrir. S'il faut en baver pendant encore deux mois, j'en baverai. (...) Sur une échelle de forme de 0 à 10, je me trouve à 6. Mais j'ai signé deux ans à Marseille parce que j'y crois beaucoup même si mes sensations personnelles ne sont pas comme j'aimerais.»

S'il ne tient pas la forme de sa vie, "El Moro" a de l'expérience à revendre. Un bien précieux avant d'entamer la Ligue des champions. «Il ne faut pas penser que le Real et le Milan sont les favoris de notre groupe. Aujourd'hui, nous sommes quatre équipes avec 0 point. Si on gagne contre les Italiens, ils nous verront autrement. Et on n'abordera pas le match du Real avec le même état d'esprit», s'enthousiaste-t-il.


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OM: Mbia sera bien présent

Incertain à cause d'un coup au thorax reçu samedi dernier lors de la victoire des Lions Indomptables au Gabon (2-0) comptant pour les qualifications du Mondial 2010, le Camerounais Stéphane Mbia fait finalement partie du groupe marseillais qui affrontera Le Mans, samedi pour le compte de la 5e journée de Ligue 1. L'entraîneur de l'OM, Didier Deschamps, pourra également compter sur Lucho Gonzalez. L'Argentin, blessé en amical fin juillet, pourrait donc effectuer ses grands débuts dans le championnat de France.
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OM-Deschamps: "Lucho était crispé"

Vainqueur au Mans pour la première fois de son histoire en Ligue 1 (1-2) , samedi soir, lors de la 5e journée, l'OM est resté au contact des leaders, tous vainqueurs. Cependant, si le résultat a satisfait Didier Deschamps, le contenu peut encore s'améliorer pour le technicien olympien, lui qui était également plutôt clément avec Lucho Gonzalez, pour son premier match: "Lucho, globalement, je suis satisfait car il n'avait plus joué depuis cinq mois en match officiel. Il a été disponible, mais il était crispé. Il fait beaucoup d'efforts sans le ballon. J'avais prévu de le faire jouer une heure en sachant qu'il y a un match mardi. Il lui faut du temps, mais il a fait de bonnes choses", a confié l'ancien Monégasque sur le site officiel des Phocéens.
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J'ai vu le match, c'est vrai qu'il a pas mal cavalé sans avoir le ballon. En tout cas, il n'est pas du genre à garder le ballon et sur cerataines actions on peut dire qu'il accélère le jeu.
Il a un super contrôle de balle et avant même qu'il recoive le ballon il sait déjà où il va le donner.
Un peu de patiente, et j'en suis certain, il va faire mal !

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Dassier - Diouf : la polémique

Une remarque de Jean-Claude Dassier, en interne, sur sa volonté de ne pas avoir une gestion à l'africaine a entraîné une polémique qui a fait sortir son prédécesseur Pape Diouf de sa réserve, sur les ondes de RTL.

Jean-Claude Dassier, le président de l'OM, et son prédécesseur Pape Diouf ont eu un échange salé mercredi, sur RTL, suite à une déclaration du premier lors d'une réunion présentant sa stratégie aux salariés : «Je ne serai pas un président à la libanaise ni à l'africaine» aurait dit Dassier, provoquant une certaine émotion en interne.

«Vos histoires sont ridicules, a réagi Dassier, auquel le correspondant marseillais de la station demandait de préciser sa pensée. J'ai exprimé, peut être maladroitement, (...) une gouvernance qui se veut non molle - c'est-à-dire ou l'on convoque tout le monde et ou l'on ne se dit jamais rien parce qu'on essaie de faire plaisir à tout le monde, une gouvernance autoritaire - africaine ou sud américaine ... J'aurais pu dire sud américaine. Mais là, vous essayez de me monter une combine par rapport à Pape Diouf, ce n'est pas très convenable. Vous allez loin, car vous me soupçonnez de faire du racisme. Là, ça va mal aller.»

Diouf, mis au courant, a réagi en évoquant une «attaque frontale» et, «si les choses se vérifiaient, de mauvais goût». «Pour le moins on peut considérer le propos prêté à l'actuel président de l'OM comme très ambigu, voire déplacé, puisque pour ce qui me concerne j'avais choisi (...) de ne pas m'exprimer du tout après mon départ, a dit Diouf. (...) Je suis pour le moins surpris qu'on ait pu tenir de tels propos.»

Invité à confirmer que Jean-Claude Dassier n'était pas raciste, Diouf a préféré composer l'une des formules dont sa rhétorique a le secret: «Si un jour je devais faire une remarque touchant à la gestion d'un club, je ne me réfèrerais pas à l'origine d'un pays ou d'une race.» Dassier reste confondu par la polémique : «Si j'avais attaqué la gestion de Pape Diouf, vous pourriez me dire: ''tu le cherches''. Vous pouvez me dire ça? J'ai exprimé une fois une critique à l'égard de Pape Diouf? Je ne lui ai pas rendu hommage une demi-douzaine de fois?» Les deux hommes n'auraient pas prévu de se contacter. Jean-Claude Dassier n'a pas souhaité le faire au moment de la passation de pouvoir, a glissé Diouf au passage.

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Ligue 1: Marseille garde le contact

L'Olympique de Marseille reste au contact de Bordeaux en tête de la Ligue 1, après sa victoire sur Montpellier (4-2), samedi au Stade Vélodrome lors de la sixième journée. Mis en orbite par une première période impressionnante de réalisme avec trois buts de Lucho Gonzalez, Niang et Cissé, les Marseillais ont aggravé la marque dans le deuxième acte par Diawara avant de voir Belhanda et Camara réduire la marque.
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Malgré le score, les Marseillais ont eu chaud ! Avant la 1/2 heure de jeu, les Montpellierains auraient mérité de mené 2-0, l'OM était à l'ouest !
Mais le foot est autrement, l'OM a été plus réaliste.
Lucho à marqué et donné une balle décisive, c'est très bien pour lui, ca va enfin le mettre en confiance. Plus les matchs passent, plus il prend de la place dans l'équipe, tant mieux !!
Par contre, Ben Arfa est entré en cours de jeu... C'est de pire en pire !

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OM: M'Bow passe pro

Le site Internet de l'Olympique de Marseille annonce ce mardi la signature d'un premier contrat professionnel pour Pape Daouda M'Bow. Le jeune défenseur, âgé de 21 ans, s'engage pour trois années avec le club phocéen.
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OM: Heinze et Cissé se sont accrochés après Milan
La Provence rapporte ce mardi que des discussions très vives ont éclaté dans le vestiaire de l'Olympique de Marseille, mardi dernier après la défaite du club phocéen face à l'AC Milan (1-2) en Ligue des Champions. Ainsi, le ton serait monté entre Edouard Cissé et Gabriel Heinze à l'issue de la rencontre, le débat portant sur la faute de marquage lors du second but milanais. Tout serait finalement rentré dans l'ordre par la suite.
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