Les Girondins au Quotidien

reprise de l'entrainement le 31 décembre, en attendant bonne fête à nos gigis et félicitations pour cette première partie de saison !

32eme de la coupe de France :

Quevilly - Bordeaux
...qui se jouera le samedi 5 janvier 2008 à 21h

Match en direct sur France3 Aquitaine. décrochage régional pour plein de match de coupe de france.

merci supp33 pour l'info ...
Une belle victoire 3.1 a nous les 16 ieme

Examen Blanc réussi !

Il y a encore six mois, le pari pouvait paraître osé. Confier les rênes d'une formation naturellement ambitieuse comme Bordeaux à un entraîneur vierge de toute expérience au plus haut niveau - fut-il un des plus grands noms du football français - l'idée semblait pour le moins audacieuse, si ce n'est saugrenue. A l'heure du premier bilan pourtant, la plupart des signaux sont au vert. Sur la scène hexagonale comme à l'échelle continentale, les hommes de Laurent Blanc séduisent. Mieux encore, leur rendement semble perfectible. Encourageant.

Il y a manifestement une patte Laurent Blanc. Mais pouvait-on véritablement en douter à la lumière de l'exceptionnelle carrière de celui que l'on surnomme le Président ? Toujours est-il qu'à son arrivée en Gironde, pour sa première expérience au-delà de la ligne de touche, Laurent Blanc, certes précédé par sa réputation, ne débarquait pas en terrain conquis pour autant. En l'espace de six mois à peine, l'homme a su s'imposer comme un véritable stratège, doté d'un indéniable sens tactique et d'une couleur de jeu déjà identifiable.

Les Girondins estampillés Blanc sont joueurs, volontaires et résolument tournés vers l'offensive. Une attitude qui tranche singulièrement avec l'austérité efficace prônée auparavant par Ricardo, entre autres, et qui la saison dernière encore caractérisait l'équipe au scapulaire. Troisième club de L1 à l'heure de la trêve, Bordeaux peut s'enorgueillir d'être le seul gros poisson du championnat à surnager dans le sillage de l'OL. Mieux, les Ramé et consorts n'ont que six longueurs de retard sur les sextuples champions de France et peuvent, à l'instar de Nancéiens distants de quatre unités seulement, prétendre à entretenir un suspense trop souvent malmené ces dernières années.

Un recrutement inspiré

A l'origine de ce remarquable parcours pourtant, l'on se souvient du coup de gueule d'un entraîneur courroucé par l'insuffisance des moyens mis à sa disposition à l'intersaison. Tout juste intronisé sur le banc girondin, Laurent Blanc n'avait pas hésité à placer le président Jean-Louis Triaud devant ses responsabilités, en l'enjoignant à colmater au plus vite les brèches ouvertes par le mercato estival. S'en étaient suivis les renforts de David Bellion, Alou Diarra et Mathieu Chalmé, trois joueurs en quête de reconnaissance à l'époque, trois joueurs sur lesquels il a lui-même jeté son dévolu et qui, aujourd'hui, incarnent à merveille le renouveau bordelais.

Brillant par son inconstance à Nice, le premier compte déjà dix réalisations à son actif cette saison et se régale au sein de la deuxième attaque de L1 (27 buts) alors que le deuxième, cantonné au rôle de faire-valoir dans les rangs lyonnais l'an passé, a systématiquement été aligné par Laurent Blanc lorsqu'il était apte au combat. Au point d'avoir remplacé dans l'entre jeu et les coeurs girondins un Rio Mavuba qui semblait devoir à son départ laisser un vide impossible à combler. La formation érigée par l'ancien international tricolore donne tant de satisfaction au club bordelais que le marché d'hiver ne devrait être prétexte à aucune arrivée en Aquitaine.

Triaud: " Peut mieux faire "

De l'aveu même de Jean-Louis Triaud, la semaine passée sur les ondes de RMC , " le groupe est très bien géré par Laurent Blanc. Tous les jours, ce dernier apporte la preuve qu'il est très bon. Il ne se contente pas du simple résultat mais veut toujours progresser ". Conforté du reste dans sa haute opinion du technicien alésien par la marche triomphale de ses troupes sur la scène européenne - les Girondins ont notamment remporté leurs quatre matches de poule en Coupe de l'UEFA - le président bordelais n'omet toutefois pas de nuancer son enthousiasme en soulignant que son équipe " peut encore mieux faire " à l'avenir.

Convaincante aux avant-postes, la formation au scapulaire n'en demeure pas moins d'une perméabilité handicapante, lestée pour l'heure dans ses ambitions par une défense qui ne pointe qu'au quinzième rang national (23 buts encaissés). En outre, Bordeaux a la particularité cette saison d'être friable lors des grandes occasions. Si Laurent Blanc et ses joueurs n'ont accusé que quatre revers jusqu'alors en championnat, ces déconvenues ont été d'autant plus difficiles à digérer qu'elles ont toutes été enregistrées face à des concurrents directs dans la course à l'Europe, si ce n'est au titre. Face à Lyon (1-3), Nancy (0-1), Le Mans (1-2) et, plus marquant encore, devant Caen (0-5) - soit les quatre autres membres du Top 5 de la L1 - les Girondins se sont systématiquement avoués vaincus. Dans cette faiblesse réside sans doute le chantier prioritaire de Laurent Blanc pour la reprise. Au-delà de cette imperfection, l'horizon du Président semble dégagé... et bleu marine.
Newsweb

Gasset préfère le n°2

Aujourd'hui entraîneur-adjoint de Laurent Blanc à Bordeaux, Jean-Louis Gasset, ancien coach de Montpellier, Caen et Istres, reconnaît qu'il préfère la fonction d'adjoint que d'entraîneur principal.

Avant de devenir cette saison l'adjoint de Laurent Blanc aux Girondins de Bordeaux, Jean-Louis Gasset a occupé les fonctions d'entraîneur de Montpellier, Caen et Istres. Interrogé par le Midi Libre dans le cadre d'une longue interview, Gasset reconnaît qu'il préfère être adjoint que coach principal.

« L'aspect médiatique de l'entraîneur était une contrainte, je ne suis pas un homme d'image. L'exposition de la fonction est plus dangereuse que bienfaitrice. Il faut réfléchir à ce que l'on dit, rendre des comptes sur un match déjà joué alors que l'important, dans notre métier, est de préparer celui à venir. L'énergie que tu bouffes, c'est autant de moins que tu consacres à ta mission de technicien à la recherche de nouveautés dans les exercices. Moi, je suis un homme de terrain dans l'action et la réaction.

Quand tu collabores avec des gens qui te font confiance, il n'y a pas cette notion de numéro 1 ou de numéro 2. Tu ressens les mêmes joies, les mêmes peines, les mêmes inquiétudes. C'est l'adhésion d'un groupe à un système. Ma réaction aux résultats est la même quel que soit le poste que j'occupe. »

Bordeaux meilleurs attaque du championnat ?

moi je repond oui avec 3 hommes en tete des buteurs en la personne de :

- Fernando Cavenaghi 12 buts
- David Bellion 11 buts
- Wendel 11 buts

34 buts à eux trois je dis bravo et merci ça fait tellement plaisirs !!!!!!!

Ben surtout sa fais plaisir de voir qu'on a pas qu'un buteur, mais bien plusieur capable de marquer.

Car ils y a aussi Henrique, Moimbé, Diarra, Fernando, Ducasse, Planus, Chamack qui ont marquer donc sa fais plaisir.

Bordeaux condamné

Johan Micoud, Benoît Tremoulinas et un kiné de Bordeaux ont été suspendus dimanche par l'UEFA après le match aheurté contre Anderlecht (1-1) en coupe de l'UEFA en février. Les Girondins devront payer une amende de 20 000 euros pour «défaut d'organisation», pour la conduite des joueurs et l'usage d'engins pyrotechniques selon le quotidien Sud-Ouest. Le club a d'ores et déjà ait savoir qu'il ne fera pas appel, même s'il conteste le fond.

Micoud sera suspendu deux matches pour propos injurieux envers l'arbitre turc, Dereli Selçuk. Trémoulinas, expulsé, a quant à lui hérité de trois matches de suspension alors que le kinésithérapeute Marc Vernet sera suspendu deux matches pour un croc-en-jambe à l'arbitre après le match. «Nous ne sommes pas d'accord avec la décision, mais nous ne la contesterons pas, car avec une UEFA totalement réfractaire au dialogue, ce serait une perte de temps et d'énergie, et on risque de voir les sanctions aggravées», a indiqué dimanche le président des Girondins Jean-Louis Triaud.

Le club réfute surtout l'accusation de croc-en-jambe à l'arbitre par le kiné du club, expliquant que celui-ci l'avait heurté accidentellement en revenant sur ses pas dans une zone où il y avait beaucoup de monde. Bordeaux avait été éliminé le 21 février par Anderlecht en 16e de finale retour à Chaban-Delmas (1-1, 1-2 à l'aller), à l'issue d'un match houleux qui avait vu 11 cartons jaunes et deux rouges (à Matthieu Chalmé pour 2e carton jaune, à Trémoulinas pour une «semelle») distribués par M. Selçuk. «On ne dit pas que les décisions de l'arbitre en match contre nos joueurs n'étaient pas justifiées, mais on déplore qu'elles aient été à sens unique, avec un laxisme étonnant à l'égard de fautes similaires de l'adversaire», a précisé M. Triaud.

Wendel récompensé

Wendel s'adjuge le trophée du meilleur buteur du mois de mars de la L1 et succède à son coéquipier Fernando Cavenaghi. Malgré sa blessure à Lyon, le Brésilien a inscrit cinq buts en un mois, dont un triplé contre le PSG.


Wendel a été désigné meilleur buteur du mois de mars par la LFP et ses partenaires France 2 Foot et Le Parisien-Aujourd'hui en France. Le Brésilien s'est illustré en marquant un triplé contre le PSG et deux coups francs contre Lyon et Valenciennes. Wendel recevra son trophée lors du prochain match à domicile des Girondins de Bordeaux, le 13 avril face à Caen.

Jussiê de passage

Opéré des adducteurs au début du mois, Jussiê est passé vendredi au Haillan pour saluer ses coéquipiers.

Indisponible jusqu'à la fin de saison en raison de son opération des adducteurs, Jussiê est passé au Haillan, vendredi, pour saluer ses coéquipiers.

Triaud dans le vestiaire

Après s'être faits éliminer à domicile par Sedan (0-0, 3-4 tab) en quarts de finale de la Coupe de France mercredi, et avant de se rendre au Stadium dimanche (18h00) pour y affronter Toulouse, les Girondins ont bénéficié de la visite au centre technique de leur président, Jean-Louis Triaud. Venu expliquer sa façon de penser, la sortie du dirigeant n'a pas laissé insensibles les hommes de Laurent Blanc. « Ceci n'est pas un fait exceptionnel car ce n'est pas la première fois que cela se produit, prévient le technicien. Le staff avait déjà dit ce qu'il avait à dire et la direction, par l'intermédiaire de son président, est venue parler aux joueurs en leur disant qu'ils avaient perdu en Coupe de France, mais qu'ils avaient aussi un objectif intéressant à relever d'ici la fin de la saison en championnat, et que ceci nécessitait d'avoir la motivation pour le faire. Tout simplement. »

Une intrusion impromptue, qui aura eu le mérite de provoquer une prise de conscience au sein du collectif. « Il est venu remettre de l'ordre dans la maison car la prestation délivrée mercredi ne lui a pas plu, indique Souleymane Diawara. Il nous a dit ce qu'il pensait et cela s'est bien passé, précise-t-il avec modération. Nous n'avons pas respecté les consignes du coach, pas fait les mêmes efforts qu'en championnat, et peut-être que nous nous sommes vus trop beaux. J'espère que cela nous servira de leçon pour aller à Toulouse et que nous réagirons en montrant un autre visage. »

Même son de cloche du côté d'un Fernando Menegazzo philosophe. « Il était moins en colère qu'après le match, mais c'est le président, le patron du club. Il a tout à fait raison de nous avoir dit ce qu'il pensait, poursuit le Brésilien. Il n'a pas vu le vrai Bordeaux, celui qui avait pris beaucoup de points en Ligue 1 depuis le début de l'année 2008. Je crois que nous n'avons pas pris au sérieux cet adversaire, mais mieux valait craquer en Coupe qu'en championnat ! » Un mea culpa honnête, qui pourrait servir les intérêts des Aquitains en Haute-Garonne où le derby des extrêmes risque, selon Laurent Blanc, d'être « compliqué pour les deux équipes. »

Affaire Micoud : Nancy saisit la FFF

Nancy poursuit son combat auprès des instances pour obtenir sur tapis vert le gain du match perdu à Bordeaux (1-2) sur un penalty consécutif à une simulation de Johan Micoud. Après avoir saisi sans succès la Ligue qui avait jugé qu'il n'y avait «pas lieu de faire droit» à sa requête, l'ASNL s'est tournée officiellement lundi vers la commission supérieure d'appel de la Fédération.


Après le rejet par la LFP, Me Olivier Baratelli, avocat du club lorrain, avait déclaré: «Le club de Nancy trouve choquant que la LFP constate un jour une tricherie et ne le reconnaisse pas le lendemain.» Cette démarche avait provoqué l'ire de Bordeaux. «Le ridicule ne tue pas», avait lâché l'entraîneur bordelais Laurent Blanc. Son président Jean-Louis Triaud avait pour sa part jugé «grotesque» la requête nancéienne. (Avec AFP)

msn.fr

C'est quand ils veulent qu'ils arretent d'être riducules les nanceens !

Le pire c'est qui risque de gagner est de gâcher une belle fin de saison pour nous. Alors qui sont presque sur d'être 3ème.

Communiqué :



Source : http://forumfootball.forumactif.com/bordeaux-f52/un-groupe-de-supporters-dans-le-2eme-virage-de-lescure-t8829.htm#180314

pourquoi le 3eme maillot est toujours moche? en plus on dirai le PSG

Je ne peux pas répondre a ta quesion lerockeur...

Moi j'aime beaucoup le blanc !

pareil le blanc et tres jolie mais le 3eme maillot ce n'est vraiment pas mon gout^^

Il est blanc? j'aurais dis bleu ciel sur la photo...

Bordeaux«Des matches bizarres»

Après avoir ponctué leur stage de reprise à Anglet par une victoire obtenue face à l'AC Ajaccio (2-1), en fin de semaine dernière, les Girondins affrontent Châteauroux, ce soir à Barbezieux (19h00), dans le cadre du programme de mise en route souhaité par Laurent Blanc. Ainsi, c'est une nouvelle formation de Ligue 2 que ses joueurs rencontreront, avant de connaître un test grandeur nature, samedi prochain à Agen, face à l'Olympique de Marseille (19h00). Plutôt satisfait de la première sortie de ses hommes, le technicien rappelait sur l'Equipe.fr au sortir du match, qu'il considérait que ces oppositions amicales n'étaient rien de plus que des «séances d'entraînements supplémentaires.» Selon Benoît Trémoulinas (photo L'Equipe), titulaire face aux Corses, ces joutes revêtent cependant un caractère particulier. «Face à Ajaccio, ce fut un faux match, disputé sur faux rythme, un truc un peu bizarre... Et je pense que face à Châteauroux ce sera la même chose. Il y aura probablement une plus grande attente face à l'OM, puisque ce sera un adversaire d'un autre calibre, une autre affiche, qui aura lieu dans un plus grand stade et devant beaucoup plus de monde, indique aussi le jeune latéral gauche. Mais pour l'instant, cela sert à cumuler du temps de jeu destiné, au final, à corriger ce faux rythme.»


Pour Fernando, cela s'apparente plus à une contrainte utile. «Je n'aime pas les matches amicaux parce ce qu'ils sont très chargés au niveau physique, avoue le Brésilien. Mais ils sont très importants pour acquérir des repères et se rapprocher le plus possible d'un match de championnat. Maintenant, après la grosse séance athlétique de ce matin, nous aborderons Châteauroux avec l'envie de faire du jeu, et de reprendre des automatismes, comme le veut le coach...» Toutefois, ce soir, les Bordelais se rendront en Charente sans Jussiê, toujours convalescent (pubalgie), Ted Lavie (blessé au ménisque du genou gauche), et Fernando Cavenaghi, jugé hors de forme.


Laurent BRUN, à Bordeaux. - msn.fr

Amical: Bordeaux et Châteauroux dos à dos

Les Girondins de Bordeaux et Châteauroux se sont quittés sur un match nul (1-1), mercredi, lors d'une rencontre amicale disputée à Barbezieux. Yoann Gourcuff a inscrit son premier but sous ses nouvelles couleurs à la 22e minute de jeu. Les Castelroussins ont égalisé deux minutes plus tard par Bakary Sako (24e). Bordeaux : Ramé (Valverde, 46e puis Olimpa, 81e) - Jurietti (Chalmé, 46e), Planus (Saunier, 46e puis Baysse, 81e puis à nouveau Saunier 83e), Diawara (Henrique, 46e), Trémoulinas (Marange, 46e) - Alonso (Ducasse, 46e), Diarra (Traoré, 46e), Gourcuff (Sertic, 46e), Wendel (Fernando, 46e) - Gouffran (Bellion, 46e), Chamakh (Obertan, 46e).
Newsweb

L1: PSG-Bordeaux sous haute surveillance?

La rencontre comptant pour la 2e journée de Ligue 1 opposant le PSG à Bordeaux au Parc des Princes serait-elle sous haute surveillance? On pourrait le croire tant la préfecture de police n'évoque que ce sujet dans son Panorama hebdomadaire. Sur son site, la Préfecture de police rappelle notamment que 212 interdictions de stades ont été prononcées à Paris lors de la saison 2007-2008 de football. Elle souligne également que 40 interdictions administratives et 49 interdictions judiciaires sont en cours de validité. Les individus concernés devront donc se présenter au commissariat ou à la gendarmerie de leur lieu de domicile pendant le match.
Newsweb