[saison 2008-2009] l'OL au quotidien

Et oui JMA parle plus fort que les autres. Et puis c'est amplifié par la réaction (toute justifiée!) de Mensah. S'il n'avait rien dit, qu'il avait laisser couler, on en aurait pas parlé et tout le monde aurait fait comme s'il n'avait rien entendu.

Oui mais bon sa la tué le mec la.
bref vs avez vu iniesta out pour lyon =D C'est deja sa :p meme si on peut aps etre heureux quand quelqun se blesse pr lyon moi je le suis meme si il reste de grand joueurs encore

La Statistique

Jamais depuis que l’OL est champion de France en étant qualifié pour les 1/8èmes de finale de la Ligue des Champions, il n’avait fait un tel parcours en championnat depuis la reprise en janvier jusqu’au match aller de ces fameux 1/8èmes…


L’OL se trouve pour la 6ème fois de rang au rendez-vous des 1/8èmes de finale de la Ligue des Champions. Souvent irrésistible par le passé lors de la première partie de saison, l’OL a aussi peiné à redémarrer en janvier et février pour aborder le premier match de ces 1/8èmes.

2003-2004: 37 points (1,94) à la trêve, puis 15 points en 7 journées (2,14 points par match) et une élimination en Coupe de France

2004-2005 : 39 points (2,05) (champion d’automne), puis 14 points en 7 matchs (2,0 point) et une qualification en Coupe de France

2005-2006 : 44 points (2,31) (champion d’automne), puis 15 points en 7 journées (2,14 points) et une qualification en Coupe de France

2006-2007 : 50 points (2,63) (champion d’automne), puis 7 points en 6 matchs (1,16) et une élimination en Coupe de France

2007-2008 : 39 points (2,05) (champion d’automne), puis 10 points en 6 journées (1,66) et une qualification en Coupe de France

2008-2009 : 38 points (2,0) (champion d’automne), puis 14 points en 6 matchs (2,33) et une qualification en Coupe de France.

Jamais l’OL n’a eu une telle vitesse de croisière après la trêve des confiseurs. Cela pourrait conduire les Olympiens à… 82 points en fin d’exercice ! Et chaque fois que l’OL a tourné à 2 ou plus de 2 points par match après la trêve, l’OL s’est qualifié pour les ¼ de finales…

Olweb.fr

«Non, ce n'est pas la crise»

Quelle quinzaine lyonnaise ! Eliminés successivement de la Coupe de France (à Lille) et de la Ligue des champions (à Barcelone), les Lyonnais, battus par Auxerre (0-2) dimanche en fin d'après-midi, ont connu une sacrée désillusion en Championnat. Qui plus est à Gerland où ils n'avaient plus perdu en L1 depuis 24 matches. «Cette défaite fait mal, admet Jean-Alain Boumsong. C'est la première depuis longtemps à domicile. On avait surtout besoin de gagner pour nous remettre de la déconvenue de Barcelone.»

Claude Puel a aligné la même équipe qu'au Camp Nou pour lui donner la possibilité de se rattraper. Jean Fernandez a reconnu avoir été surpris. «J'avais envie de la voir passer à autre chose et s'inscrire dans le Championnat», justifie le technicien lyonnais, conscient que son équipe a des manques. «On a trop joué dans les pieds, poursuit Puel. On a eu du mal à demander les ballons dans les intervalles. Ce qui a favorisé le travail défensif adverse. Nos entames sont trop poussives pour faire mal à l'adversaire.» L'entraîneur de l'OL regrette de ne pas avoir pu arroser la pelouse avant le match pour donner plus de vitesse à la balle. «Mais on ne va pas se retrancher derrière cette excuse.»


Sans jus et sans force

Au vu de la performance lyonnaise, la défaillance est avant tout physique. Les Lyonnais étaient sans jus et sans force face à une formation auxerroise qui n'en demandait pas tant. Jérémy Toulalan, qui ne fuit pas ses responsabilités sur le premier but auxerrois - «J'en suis un peu responsable car je me suis un peu éparpillé sur cette action-là» - affirme que le déficit était «partout : physique, technique...». Mental aussi ? «Non, le Barça n'était plus dans les têtes. On a bien entamé le match. On n'a pas eu d'occasions assez franches, c'est ça le plus inquiétant.»

La baisse de pied physique, c'est l'argument utilisé par Puel pour expliquer les sorties d'Ederson et Delgado, pourtant les éléments les plus actifs. «Il y avait de la vitalité sur le banc.» Makoun, qui n'a pas réussi grand-chose, est resté sur le terrain jusqu'à la fin. Au final, Toulalan estime que Lyon «ne mérite pas de perdre même si on n'a pas montré grand-chose». Il assure que le ressort n'est pas cassé. «Ça tombe mal, c'est sûr. Il reste encore dix matches. Le Championnat ne s'arrête pas ce soir.» «Je considère que ça (NDLR : le fait de gagner le titre) ne dépendra que de nous», complète Puel. «Je sais que demain tous les journaux vont titrer: ''C'est la crise à Lyon'', mais non, ce n'est pas la crise, lâche Boumsong. On est dans une situation difficile, on est moins biens mais on va travailler pour faire face. C'est l'une des premières fois que le club se trouve dans cette situation à ce moment de la saison, mais il sortira grandi de cette épreuve. »


« Une faute professionnelle si le groupe explosait »

Après l'élimination de la Coupe de France, Toulalan avait tiré la sonnette d'alarme en évoquant un risque d'explosion du groupe. Est-il encore plus grand désormais ? «C'est une question à poser au coach, répond le milieu de l'OL. Souvent on dit que ce sont des problèmes de riches mais c'est sûr que ça va être compliqué jusqu'à la fin par rapport à ça.» «Ce serait une faute professionnelle si le groupe explosait. Vraiment ! On est tous conscients de vivre un moment difficile. Mais en travaillant dans la sérénité, on retrouvera le chemin de la victoire», renchérit Boumsong. D'ici la réception de Sochaux, «on va se ressourcer, prendre un peu de recul», explique Puel. Les Lyonnais sont au repos jusqu'à mercredi, «pour retrouver de la fraîcheur dans la tête et dans les jambes». Ils en auront bien besoin.

Sylvain LARTAUD, à Lyon- msn.fr

«Moins l'esprit de la gagne»

Lyon n'est plus Lyon, comme nous le titrions dimanche après la défaite contre Auxerre (0-2), et toute la Ligue 1 reconnaît aujourd'hui, après un tel échec, que la couronne du champion de France vacille. «J'avais déjà dit que l'effectif lyonnais était moins fort qu'avant, mais j'ai aussi moins senti chez eux l'esprit de la gagne, témoigne ce mardi Benoît Pedretti dans L'Equipe. Sur le terrain, ils manquent de leaders, sur le plan technique comme mental. J'ai trouvé Juninho un peu seul, pas assez soutenu.»


Dans le dossier consacré par notre journal aux difficultés actuelles du septuple champion, Christophe Dugarry, chroniqueur, souligne que le déficit actuel vient de loin. «D'une façon générale, j'ai l'impression qu'ils ne font plus un coup depuis deux ans. Avant l'OL ne se trompait jamais : Cris, Essien, Juninho, Tiago, c'était propre tout ça. Et Mamadou Diarra, il fallait le trouver aux Pays-Bas.»


Ce ''pif'' appartient à une autre époque, mais ceci n'empêche pas Jean-Michel Aulas d'annoncer les objectifs les plus ambitieux, souligne encore l'ex-international. «Les dirigeants sont allés chercher Claude Puel en lui demandant d'aller loin en Ligue des champions avec des joueurs qui sont bons mais qui n'ont pas encore la maturité pour assurer un tel objectif : Pjanic, Mensah, Ederson, Lloris, Makoun sont jeunes.»


msn.fr

Lendemain de déceptions…

Jusque là, l’OL avait gardé sa place de leader. La douzième défense de la saison aura été fatale aux coéquipiers de l’irréprochable Juninho…


Comme un goût amer au réveil, une sensation de vide. Ce match face à Monaco a été tellement difficile à vivre… Une rencontre à l’image de la saison lyonnaise. Une saison sans certitudes, sans continuité, collective et individuelle, marquée aussi par les nombreuses blessures, le manque de réalisme, le trop d’erreurs collectives et individuelles, les insuffisances en tous genres… Tout étant peut-être lié.

Ce nul a coûté son fauteuil de leader au septuple champion de France qui a perdu 17 points à domicile en 16 matchs dont 11 depuis le début de la phase retour ; 11 en 7 matchs ! Il parait qu’un titre se construit d’abord à domicile… L’OL atteindra au mieux la barre des 40 points s’ils s’imposent face au PSG, Caen et Nantes… soit son plus mauvais total depuis qu’il s’est emparé de la couronne de France.

L’OL a perdu son fauteuil de leader, cela ne lui était jamais arrivé, en étant dominateur sur la durée d’une saison, depuis le début de son hégémonie. Cet OL, formation la moins réaliste des 6 équipes de tête, loin derrière le PSG, Bordeaux, l’OM… qui par moments perd aussi de sa solidité défensive, de son agressivité dans les duels…

L’OL a grillé incontestablement un joker, mais il a encore les cartes dans ses mains pour garder son sceptre en affrontant Bordeaux et l’OM ses 2 rivaux les plus pressants. L’OL aura le dos au mûr dès dimanche prochain en Gironde. Certes, comme souvent cette saison, un œil trainera ailleurs... cette fois du côté de Lorient où les Phocéens se déplaceront. Des Marseillais qui mènent un train d’enfer depuis début janvier avec 29 points pris sur 36 possibles mais aussi avec leurs 30 points en 15 déplacements. Heureusement, les Lyonnais voyagent nettement mieux qu’ils ne reçoivent : 29 points en 15 déplacements. De quoi s’étalonner à Bordeaux, qui est invaincu à domicile en 15 matchs avec un total point de 35, soit le meilleur ratio de L1.

Cela sera compliqué, très compliqué pour le titre, voire même une place dans les 3 premiers. Inutile cependant de se laisser aller à la sinistrose. L’OL a donc toujours les cartes en mains. Ce 8ème titre passera forcément par « des exploits » à l’extérieur chez 3 concurrents directs… et nous serions tentés d’ajouter par « d’autres exploits » à la maison. Il nous revient en mémoire la fameuse affirmation de Gérard Houllier : « le talent, c’est le rebond ». Cela commence dimanche soir à Bordeaux.

R.B - Olweb.fr

Même si je supporte l'OM, rien est joué !
Par contre, sur le match de l'OL face à Monaco, ces derniers méritaient largement de gagner ! Heureusement qu'il reste de la vaillance dans cet OL, c'est ça qui les a sauvés !

Par contre, juste un avis perso, Benzema partira à la fin de la saison.

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je pense aussi...

Porto et Fenerbahçe en Peace Cup

Créée en 2003, la Peace Cup, qui se disputait habituellement en Corée du Sud, s'exportera en Andalousie du 24 juillet au 2 août prochain. Le tirage au sort de cette septième édition s'est déroulé, jeudi, à l'Hotel Barcelo Renacimiento de Séville. Pour le premier tour de l'épreuve, l'Olympique Lyonnais, le tenant du titre, sera opposé aux Portugais du FC Porto et aux Turcs de Fenerbahçe.


Le premier tour

Groupe A : Juventus Turin, FC Séville, Seongnam

Groupe B : Real Madrid, Quito, Al Ittihad

Groupe C : Malaga, Aston Villa, Celtic Glasgow

Groupe D : Olympique Lyonnais, Fenerbahçe, FC Porto

msn.fr

Lyon est-il usé ?

Battu à Bordeaux dimanche (1-0) et relégué à quatre points du leader marseillais, Lyon paraît sur le point d'achever un cycle exceptionnel de sept années au sommet de la Ligue 1. Entre la claque reçue face au Barça en Ligue des champions et la pression des ambitieux dans l'Hexagone, Lyon est-il atteint par l'usure du pouvoir ? Telle était la question posée par notre débat en début de semaine. Voici vos contributions les plus éclairantes.


Juninho n'a plus le ressort. C'est évident : Lyon est en fin de cycle. A l'image de son capitaine Juninho. Au bout du rouleau, il n'arrive plus à insuffler sa détermination et sa rage de vaincre à ses coéquipiers. La défaite de Barcelone lui a fait beaucoup de mal car il a compris à ce moment-là qu'il ne gagnerait jamais la Ligue des champions. Sans ce challenge européen, Juninho et les autres ont manqué de motivation. Gagner un huitième titre n'était pas un défi suffisant. (Matthieu)


Le physique n'a pas suivi. Lyon n'est pas usé d'avoir si longtemps dominé le Championnat mais plutot parce que sa grande force ces dernières années, l'impact physique, notamment au milieu, a disparu. Ajoutez à cela le nombre considérable de blessures au sein du club cette saison, et vous aurez un début d'explication au climat de fin de règne dont on parte tant. Tous les joueurs ou presque ont été blessés à un moment ou à un autre et parfois pendant très longtemps. Ca compte forcément beaucoup. (Nico)


Blessures et concurrence. Un nouvel entraineur respecté, un effectif globalement stable... En début de saison, j'étais persuadé que l'OL allait une nouvelle fois écraser le Championnat. Mais deux éléments perturbateurs se sont invités. Tout d'abord, le nombre incroyable de blessures qui ont chamboulé l'équilibre de l'équipe. Ensuite et surtout, la concurrence qui joue incroyablement mieux ! Bordeaux et Marseille bien sûr mais aussi les outsiders (PSG, Toulouse, Lille). L'usure vient de là : trop de coups à parer ! (Theo)


Les premiers affolent les compteurs. Par rapport à l'an dernier à pareille époque, Lyon a perdu deux places au classement (3e contre 1er) et pas moins de 7 points (60 contre 67). Mais avec le même nombre de points que cette année, l'OL aurait encore été 2e du Championnat 2007-2008, a une seule petite longueur des Bordelais. Lyon est usé, c'est incontestable, mais la question est de savoir si c'est le declin Lyonnais qui pousse ses concurrents a se surpasser, ou l'inverse. (Valérian)


Erreurs de casting. L'usure de Lyon peuT être mise sur le dos de la cellule de recrutement et de Bernard Lacombe, le conseiller du président Aulas. Les choix réalisés sont défaillant depuis deux, voire trois ans, avec des joueurs n'ayant pas le niveau C1 et même Championnat de France. Des erreurs grossières, que peuvent se permettre des clubs comme le TFC ou Lille mais pas un club comme Lyon avec son budget assez considérable. c'est l'accumulation de ces erreurs de casting qui a entraîné la chute de Lyon. (Benoît)


Trop de problèmes en même temps. En interne, on s'abrite derrière le prétexte de multiples blessures qui n'ont pas permis à Claude Puel d'aligner régulièrement son onze majeur. Vu de l'extérieur, les deux principales causes de l'usure semblent être surtout la mauvaise gestion du mercato (avec notamment le départ non compensé de Fred) et les séquelles de la leçon reçue du Barça en Ligue des champions. Entre le déclin de Juninho et l'isolement de Benzema, Lyon a aussi beaucoup de problèmes à résoudre dans le jeu. (Yves)


Usure ? Gâchis plutôt ! Je me souviens avec nostalgie du temps de Paul Le Guen, où les joueurs et l'entraineur dégageaient une impression de confiance dans la capacité de l'équipe à marquer "le but de plus". A l'OL 2009, plus rien de tout cela. On se repose sur des individualités d'une qualité rare, mais d'équipe au premier sens du terme, il n'y en a plus vraiment. Puel a imposé un système très physique à une équipe très technqiue. Pour moi, c'est bien dommage et un beau gachis! (Jean-François)


Et pourtant, c'était l'année ou jamais... Quel paradoxe pour l'OL ! Rendre les armes alors même que la concurrence lui offrait l'occasion de prouver sa force dans un contexte difficile ! Pour la première fois depuis belle lurette, deux ou trois équipes leur contestent la victoire finale : cela devrait suffire à motiver les plus blasés des Lyonnais, mais non ! Le pire, dans cette situation, c'est que l'usure des Lyonnais jettent une ombre sur leurs performances des saisons précédentes. N'ont-ils pas dominé jusque-là le Championnat par défaut de concurence ? (Olivier)

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et vous qu'en pensez vous? enfin si quelqu'un passe encore par là...

«ON N'EST PAS ENCORE MORTS»

Qu'on se le dise, les Lyonnais n'ont pas fait une croix sur le titre de champion de France. Déprimés après leur revers à Bordeaux et une désormais troisième place au classement, Cris et ses partenaires ont repris du poil de la bête cette semaine et s'apprêtent à recevoir Paris, vendredi, déterminés.


L'ambiance est détendue
A la résignation a succédé l'esprit de conquête. Dimanche soir après la défaite à Bordeaux (0-1), le titre de champion était presque déjà loin. La priorité, c'était de défendre la place qualificative en Ligue des champions. Trois jours plus tard, cette nouvelle désillusion a été visiblement bien digérée. «Après Bordeaux, on était un peu déçus, souligne Cris. Mais depuis, on s'est reposé et on se dit qu'on peut aller chercher le titre.» Ce mercredi matin, c'était beau soleil et grand ciel bleu sur Tola-Vologe. C'était surtout beaucoup de sourires sur les visages lyonnais. Cris n'a pas participé à cette séance à la carte. A l'image de Juninho, Grosso et Clerc, le Brésilien a travaillé à l'intérieur. Ce qui ne l'a pas empêché d'arriver détendu et souriant au point presse. «Ouah, il y a du monde aujourd'hui ! C'est la situation du club qui veut ça...» Mais "Le Policier" a rapidement repris son sérieux pour affirmer que la course au titre n'est pas finie pour Lyon. «C'est le moment de se dire : on peut le faire. On y croit, il faut s'accrocher. Nous ne sommes pas encore morts.» Cris s'appuie sur l'ambiance dans le groupe : «Tout le monde dit que c'est jouable. C'est bien car parler de titre redonne la confiance. Dans le vestiaire, je vois que cette confiance revient.»


Cris veut changer de visage
Le Brésilien connaît la recette. Fort de son expérience, il n'est pas dupe et sait que «la situation est compliquée». Mais il prône un autre état d'esprit : «Tout le monde dit que Lyon n'est pas bien, va perdre son titre et ne va peut-être pas se qualifier pour la Ligue des champions. Mais il faut oublier tout ce qui s'est passé jusqu'à maintenant et les 17 points perdus chez nous». Le défenseur lyonnais affirme qu'il «faut débuter un nouveau championnat». «C'est le sprint final, il faut tout donner. Il reste 6 matches, soit 18 points à prendre. On n'est qu'à quatre points de Marseille, c'est jouable». «Montrer un autre visage et changer d'attitudes sur le terrain», telle est la méthode à adopter. Persuader Puel de changer de style aussi ? «Je pense que lui aussi sait qu'il faut changer de visage, indique Cris. Je suis payé pour jouer, je ne peux pas critiquer. D'ailleurs, ce n'est pas le moment de critiquer le staff ou des joueurs.» Au contraire, pour Cris, le mieux est de penser très fort au titre. «Les joueurs qui l'ont déjà été le savent : être champion, c'est magnifique. Tout comme voir tout le monde heureux et faire la fête... Il faut retrouver ce plaisir de gagner.» Du coup, en dépit des derniers résultats, Cris et ses partenaires affichent leur impatience à recevoir Paris.


Puel s'énerve puis sourit
Avant-veille de match, c'est jour de Puel à Tola-Vologe. Pour permettre à ses joueurs de se lâcher, celui-ci est-il prêt à accepter moins de respect des consignes de leur part ? A la suggestion du confrère, le sang de l'entraîneur lyonnais n'a fait qu'un tour. «Mais arrêtez, ça veut dire quoi cette question ? Que je les empêche de jouer et de passer la ligne médiane ? Arrêtez !», répète Puel. C'est la première fois depuis son arrivée à Lyon qu'il apparaît aussi énervé devant les médias. «On bosse tous ensemble, les joueurs savent ce qu'ils ont à faire. Il n'y a pas de restrictions. Arrêtez de me faire passer pour quelqu'un qui empêche ses joueurs de passer la ligne médiane !» La question suivante va rapidement le calmer : «Jean-Michel Aulas a dit qu'il bénissait le ciel de vous avoir choisi. C'est une belle preuve d'affection ?» «Cela veut dire que, malgré l'environnement négatif, tout le monde va à l'unisson, dans le même sens, répond le technicien de l'OL. On n'est pas dans la sinistrose, mais là pour montrer qu'on reste bien présent dans la difficulté.» Il n'y avait plus qu'une remarque sur ses centres lors de la séance devant le but pour lui rendre définitivement le sourire... et même le sens de l'humour : «Ce sont des qualités naturelles que j'ai toujours eues. On ne me chambre pas. Vous ne m'avez pas vu jouer à Monaco, j'étais un joueur très polyvalent.»

msn.fr

d'accord avec ces interviews ...je trouve qu'on enterre Lyon un peu trop vite , car une victorie contre l'OM et hop ils sont plus qu'à 2 pts de l'OM dc tout peut se jouer surla derniere journée ....
Méfiance ....

Sans Juninho, avec Delgado

Confronté aux absences de Juninho qui souffre des adducteurs et de Jean II Makoun suspendu, Claude Puel peut compter sur le retour de Cesar Delgado pour le déplacement à Valenciennes, samedi (19h00), lors de la 34e journée. Sidney Govou, qui poursuit sa phase de reprise après sa rupture du tendon d'Achille du pied droit, est toujours absent.


Le groupe lyonnais : Lloris, Vercoutre - Clerc, Cris, Réveillère, Boumsong, Mensah, Grosso - Fabio Santos, Toulalan, Pjanic, Källström, Ederson, Bodmer - Mounier, Keita, Delgado, Piquionne, Benzema.

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J'ai vu le match... L'OL a perdu son âme.

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Bodmer : « On coule »

Mathieu Bodmer, invité lundi de l'émission Total Foot, sur L'Equipe TV, dresse un constat sans concession sur l'état actuel de l'OL, troisième à sept points des leaders. C'est une équipe où «chacun reste dans son petit registre», qui «n'a pas trop de fond de jeu», ne propose «rien de collectif» et qui, battu 2-0 à Valenciennes, a subi un score qui n'était «pas cher payé». L'impact de l'échec en Ligue des champions contre Barcelone (1-1, 2-5) a achevé une équipe qui «avait beaucoup misé» sur l'Europe, reconnaît l'ancien Lillois. «On a un peu lâché. On s'est enlisés, le jeu est parti, l'envie est partie, il n'y a plus trop de bloc. Si on continue, la place qualificative en Ligue des champions va s'en aller, c'est aussi simple que ça.»


«On s'est trop reposé sur Karim (Benzema), regrette le milieu de terrain, en remontant le fil de la saison. Il a été très souvent seul. C'était stéréotypé, il n'y avait pas grand monde devant le but. Et avec la fin de saison, c'est de plus en plus criant.» Interrogé sur l'incapacité de Claude Puel à mettre en valeur un effectif pourtant plus brillant qu'à Lille, Bodmer défend son coach : «Je ne pense pas que ce soit seulement la responsabilité de l'entraîneur. C'est celle de tout le monde, entraîneur, dirigeants et surtout nous les joueurs.»


Pas les joueurs pour jouer comme à Lille ?

«Certains disent que Puel est trop défensif. Mais il y a un système et, sur le terrain, c'est à nous de faire vivre ça, détaille le joueur formé à Caen. Et on n'en est pas capable. Chacun joue sa partition. Il demande de produire du jeu. On produit du jeu à l'entraînement et pas du tout en match. On a un problème. Peut-être que les autres équipes nous sont supérieures, peut-être qu'on régresse. A Lille, il demandait la même rigueur. Mais devant, ça allait dans tous les sens, on avait des flèches. Peut-être qu'on n'a pas les joueurs pour (à Lyon). On a plus des joueurs de ballon.»


Pour éviter que Lyon sombre définitivement, Bodmer espère que le vestiaire saura sortir de sa torpeur. «L'état d'esprit est bon, peut-être un peu trop bon, et qu'on ne se dit pas certaines choses. Il faudrait peut-être se rentrer dedans. On ne le fait pas. On coule.» Pour clore la saison en beauté, Lyon doit «gagner les deux matches à domicile» (Nantes et Caen) et réaliser «un exploit sur les deux» matches à l'extérieur (Marseille et Toulouse), espère-t-il. L'OL avait débuté la saison en surclassant Toulouse à Gerland (3-0). C'était il y a neuf mois. Une éternité.


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Si même les joueurs l'avouent aux médias, ca va très très mal!

Puel auprès des supporters

L'effectif de l'OL a débuté son entraînement à 16 heures, ce mardi, soir une heure plus tard que l'horaire prévu. La grande discussion dont il a été question dans les heures suivant la défaite à Valenciennes (0-2) semble bien avoir eu lieu. Plus étonnant : pour la première fois de la saison, Claude Puel ne dirige pas cette séance. Le manager de l'OL s'est échappé en voiture aux côtés d'Olivier Blanc, proche conseiller de Jean-Michel Aulas, pour se rendre à une réunion d'explication avec les supporters dans les locaux des Bad Gones. Ceci explique que la reprise s'est effectuée dans le calme le plus absolu autours des terrains.


Par ailleurs, Fabio Santos, avec qui Puel a failli en venir aux mains dans le Nord, était absent lui aussi. Interrogé par L'Equipe sur l'hypothèse d'un licenciement, Aulas avait dit au sujet du Brésilien qu'il «faciliterait son départ». L'entraînement de ce mardi est dirigé par les adjoints de Puel, Robert Duverne, Joël Bats, Bruno Génésio, Sonny Anderson et Patrick Collot. Juninho a interrompu son entraînement après les exercices physiques.


Enfin, l'OL a produit un communiqué pour démentir l'information de Lyon Capitale selon laquelle Claude Puel pourrait démissionner à très court terme. «Il est totalement infondé d'écrire, d'une part qu'une réunion de crise serait prochainement organisée au club, d'autre part que Claude Puel envisagerait de démissionner.» - Avec S. L. (à Lyon)

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Garde sur le départ ?

Selon le quotidien L'Equipe, Rémy Garde pourrait quitter son poste au sein de la cellule de recrutement de l'Olympique Lyonnais. «Claude Puel et Rémi Garde se sont rencontrés jeudi afin d'évoquer le souhait de Rémi, qui envisage de passer ses diplômes d'entraîneur, et qui attend donc qu'on lui accorde du temps pour cela, a déclaré Olivier Blanc, directeur de la communication. Une réflexion a été engagée par le club. On en est là pour l'instant.»

Interrogé sur au sujet de son avenir, Rémi Garde a répondu de voir ça directement avec Claude Puel. L'entraîneur lyonnais a lui expédié un «ça ne vous concerne pas.»

msn.fr

Lyon a perdu son titre

C'était dans l'air depuis un moment, c'est désormais officiel : Lyon a perdu son titre de champion de France. Vainqueur du Mans (3-2), Bordeaux a désormais 74 points à deux journées de la fin. Lyon en possède 64 et a encore trois matches à jouer. Si l'OL remporte tous ses points et que Bordeaux n'en marque plus, cela ne suffira pas pour voir l'OL dépasser les Girondins. Lyon (3e) joue dimanche à Marseille (2e) avec la possibilité de revenir à quatre points de l'OM.

msn.fr

Delgado veut «prouver» son niveau

Cesar Delgado ou le symbole d'un OL qui retrouve le sourire. L'Argentin a été titularisé lors des deux dernières rencontres, soit autant de victoires pour le champion de France (3-0 contre Nantes et 3-1 à Marseille). Oui, l'OL va mieux, Delgado le confirme mercredi dans Le Progrès : «Collectivement, on a retrouvé la volonté de gagner ensemble, et l'ambiance est redevenue positive, différente de celle qu'on a connue après la défaite à Valenciennes. Mais c'est tout à fait normal. Seules les victoires redonnent confiance, cela se passe comme ça dans tous les clubs du monde.» A Marseille, "Chelito" avait mis de côté l'habit de lumière pour le bleu de chauffe, comme ses coéquipiers. Avec succès : «On se devait de démontrer qu'on était une grande équipe (...). Moi, j'aime bien jouer dans des ambiances un peu hostiles, ça me motive.» Et l'avenir ? Delgado ne l'imagine nulle part ailleurs qu'entre Rhône et Saône : «Ma seule motivation, c'est de gagner ma place. Je suis sous contrat à Lyon, et je me sens bien ici. Je veux continuer ici et gagner d'autres titres.» Et pourquoi pas avec Juninho ? «Il se sent très bien ici. On a tous envie qu'il continue et je crois qu'au fond de lui-même, c'est ce qu'il veut aussi.»

msn.fr

Une page de l'histoire du club se tourne... Coupet parti l'an passé, Juni qui s'en va cette année, cette saison l'OL n'est pas champion...
J'espère que c'est pour mieux rebondir la saison prochaine.

Lyon en colère contre Kombouaré

Si Antoine Kombouaré n'a pas encore signé au Paris-SG, c'est tout comme. Pour preuve, depuis quelques jours, il se murmure avec insistance que le futur ex-coach valenciennois souhaiterait voir Joël Bats intégrer son staff technique. Ce à quoi l'Olympique Lyonnais, club avec lequel l'ancien portier international est toujours sous contrat, a répondu sèchement une fin de non-recevoir. «Joël est sous contrat à Lyon pour un an, a rappelé mercredi Olivier Blanc, le directeur de la communication de l'OL, dans Le Progrès. Comme pour les joueurs, les contacts doivent se faire de club à club».

msn.fr

Transfert - Ligue 1 - Lyon : Bats prolonge jusqu'en 2012

L'entraîneur des gardiens de but de l'Olympique lyonnais (L1), l'ancien international Joël Bats a prolongé son contrat de deux ans jusqu'en 2012, a-t-on appris samedi auprès de l'OL.

Son contrat arrivait à son terme au 30 juin 2010.

Bats, 52 ans, a pris ses fonctions à Lyon en 2000 en même temps que l'arrivée de Jacques Santini au poste d'entraîneur.

Orange.fr

CFA : la réserve en finale

!

Les lyonnais se sont qualifiés pour la finale du Championnat de France des réserves. Et les hommes de Robert Valette ont dû puiser dans leurs derniers retranchements pour l’emporter.

OL-Rennes. Une affiche en bonne et due forme qui n’a pas souri aux Gones il y a de cela deux saisons. Présent dans le dernier carré, l’OL s’était incliné aux tirs au but. Mais cette année, pas question de rééditer la même performance, l’affront se devait d’être lavé. Et pour l’occasion, c’est dans l’arène de Gerland que Yannis Tafer et les siens recevaient les Bretons.

Le stade où évolue habituellement les pros de l’OL n’a semble-t-il fait ni chaud ni froid aux jeunes talents des deux équipes. Dès la troisième minute, Théophile-Catherine envoie un centre-tir sur la transversale suite à une perte de balle lyonnaise. Le ton de la rencontre est donné, il n’y aura pas de cadeaux cet après-midi. Dans la foulée, c’est le Lyonnais Yoann Court qui trouve la barre suite à une belle reprise du droit.

Finalement, c’est le capitaine Valdivia qui va permettre aux siens d’ouvrir la marque. Après une superbe percée en solitaire, le numéro 8 s’en va crucifier Hérisson d’un tir tout en finesse. 1-0 pour l’OL au bout de 7 minutes de jeu, les spectateurs présents à Gerland peuvent exulter.

La tension va alors monter et l’Olympique Lyonnais va perdre le fil du match. Si bien que suite à un corner à la rémoise, Boye arrive à point nommé au 1er poteau pour couper la trajectoire du ballon et tromper Lopes. Rennes égalise à la 23ème minute, tout est à refaire pour les protégés de Robert Valette. Le score n’évoluera pas durant cette première mi-temps, malgré quelques belles occasions signées notamment Valdivia.

Au retour des vestiaires, c’est la stupeur qui s’empare des travées de Gerland. 3 minutes après la reprise, un long ballon rennais trompe Abenzoar. Le jeune défenseur lyonnais lit mal la trajectoire de la balle et son tacle s’en va accrocher Le Tallec. L’arbitre désigne alors le point de pénalty et expulse le défenseur de l’OL. Lasimant s’élance et frappe mais un Lopes inspiré détourne le cuir. Le gardien international des 19 ans portugais n’a pas raté l’occasion de briller. A 10 contre 11, les Lyonnais vont alors être héroïques et ne vont pas céder un bout de terrain à leurs adversaires. Mieux, ils vont même se créer de nombreuses occasions notamment par l’intermédiaire d’un Valdivia au four et au moulin. Les deux équipes ne parviennent pas à se départager et doivent jouer les prolongations. A la 94ème minute, Valdivia frappe de nouveau. Le ballon trouve la transversale avant de mourir juste devant la ligne de but. L’OL ne parviendra pas à inscrire ce précieux but, Rennes non plus.

Fin des 120 minutes de jeu, place à la séance de tirs au but. Porté par son public, l’OL finit par l’emporter durant cette loterie des pénaltys. Et à ce jeu, c’est le gardien Lopes qui sort grand vainqueur avec deux arrêts à son actif.

Deux ans après avoir perdu aux tirs au but face à ces mêmes Rennais, l’OL parvient à faire oublier ce mauvais souvenir. A l’époque, les Rennais avaient remporté la finale. Les protégés de Robert Valette tenteront d’en faire de même. La tâche ne sera pas aisée puisque l’OL se déplacera à Sochaux.

Réactions :

Robert Valette (entraîneur OL CFA)
« C’était un vrai match de coupe. Il y avait deux bonnes équipes avec deux styles de jeu différents. On a été à 10 contre 11 très longtemps et ça a été dur de jouer dans ces conditions. On a alors voulu tenir le milieu, chose que l’on a pu faire grâce notamment à Valdivia. Au final, ça ne se joue à pas grand chose. On a été fébrile défensivement. On l’emporte finalement aux tirs aux buts. On a eu la chance de remporter le tirage au sort pour savoir qui tirerait en premier. Dans ce genre d’exercice, c’est ce genre de détails qui fait la différence. Le cinquième tireur rennais avait la pression de faire perdre son équipe en ratant son pénalty. Cela n’a pas loupé, il a eu un temps d’hésitation et Anthony Lopes en a profité. Mais je crois qu’on peut avant tout féliciter les joueurs, ça a été un vrai beau match ».

Anthony Lopes (gardien OL CFA)« Le bonheur est là en fin de compte. On a beaucoup douté, notamment lorsque l’on s’est retrouvés en infériorité numérique. On n’attendait qu’une seule chose, le coup de sifflet final de l’arbitre afin de se reposer et de retrouver un peu d’énergie. Mais on ne voulait pas lâcher. On avait la chance de jouer à Gerland et on ne pouvait pas perdre. Jouer ici, ça donne des idées. On a envie d’y revenir, de fouler de nouveau ce beau terrain. Et c’est encore plus beau quand il y a la victoire au bout. J’ai eu le bonheur d’arrêter deux pénaltys. C’est vraiment plaisant de briller dans cet exercice. Désormais, on a les yeux tournés vers la finale. On y pense déjà. Ce sera à Sochaux, donc forcément ce ne sera pas simple. Profitons de ces deux jours de repos pour bien récupérer ».

K.K - olweb.fr

Lyon veut imiter le Barça

Depuis les retraits de ses deux sponsors (Accor et Renault Trucks), l'Olympique Lyonnais prospecte activement de toutes parts pour trouver un nouvel investisseur pour la saison prochaine. Jusqu'à présent, il bénéficiait d'une somme estimée à neuf millions d'euros dans ce domaine. Mais difficile de trouver aussi bien pour Jean-Michel Aulas vu le contexte économique. C'est pourquoi une solution annexe pourrait être envisagée par les dirigeants rhodaniens, «une opération transitoire telle que celle du Barça», selon JMA, qui s'en est expliqué cette semaine sur OLTV, une stratégie détaillée dans le Journal du dimanche. L'OL pourrait en effet orner le nom d'une association caritative sur son maillot, jusqu'au 31 décembre. Dans quel but ? Le temps d'attendre l'ouverture en France du marché des sites de paris en ligne, une nouvelle source de revenus que souhaiterait explorer Aulas, mais qui n'interviendra que le 1er janvier 2010. Une décision définitive devrait être prise sous une quinzaine de jours.

Msn.fr

L’OL champion des réserves pro !

La réserve de Robert Valette s’est imposée 3-0 à Sochaux en fin d’après-midi, et remporte de belle manière le championnat des réserves professionnelles. Une récompense pour l’un des meilleurs centres de formation français.

Dès la 7ème minute de jeux, les Lyonnais ouvraient le score grâce à Yohan Court. Bien décallé sur la gauche par Romain Dédola, l'aillier de l'OL croisait parfaitement sa frappe matérialisant ainsi parfaitement la domination lyonnaise. Dans une première mi-temps de haut niveau durant laquelle Sochaux fut essentiellement dangereux sur coups de pied arrêtés, Dédola trouvait même la barre transversale sur une belle frappe aux 20 mètres. Yannis Tafer et Yohan Court manquaient aussi de peu leur face à face, alors que le gardien de l'OL Anthony Lopes sortait une claquette de grande classe.

En deuxième mi-temps, les joueurs de Robert Valette allaient définitivement prendre l’ascendant sur leur adversaire grâce tout d’abord à Yanis Tafer de la tête sur un corner mal dégagé (62ème). Yohan Court s’offrait même un doublé sur un modèle de contre-attaque cinq minutes plus tard.

Composition de l'OL :
Lopes – Kolodziecziak (Seguin 71ème), Fontaine, N'Diaye, Gassama - Valdivia (cap.) (Tie-Bi 77ème), Gonalons - Court, Dédola (Grenier 77ème), Pied - Tafer.

Composition de Sochaux :
Cros – Coubronne (Giraud 65ème), Souprayan, Boe Kane, Gerard – Gurler, Riff, Poujol (Leite Pereira 88ème), Duventro (Chabal 68ème) – Bahamboula, Bakambu.

OT - olweb.fr