[saison 2008-2009] l'OL au quotidien

La banderole anti-OL condamnée

Le 3 mars 2007, une partie du public de Geoffroy-Guichard avait invité à « tuer » les joueurs lyonnais, lors du derby entre l'ASSE et l'OL. Jeudi, l'association de supporters qui avait véhiculé ce message par banderole interposée a été condamnée à une amende de 500 euros avec sursis par le tribunal correctionnel de Saint-Etienne. Lors du procès, le 9 octobre, le représentant du parquet avait requis 1.000 euros d'amende, dont la moitié avec sursis. Il avait estimé que la banderole de 90 mètres de long - déployée dans la Tribune nord par les Magic Fans, et portant l'inscription « la chasse est ouverte, tuez-les » - constituait une « provocation publique à des atteintes volontaires à la vie ».


msn.fr

L’OL inaugure son nouveau centre de formation

L’OL a inauguré son nouveau centre de formation en présence de Jean-Michel Aulas, Bernard Laporte, Jean-Jack Queyranne, Thierry Braillard et Michel Havard, député du Rhône.


L’Olympique Lyonnais a, cet après-midi, inauguré son nouveau centre de formation en présence de Jean-Michel Aulas, Bernard Laporte, secrétaire d'État chargé de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative, Jean-Jack Queyranne, président du Conseil général Rhône-Alpes, Thierry Braillard, Maire-Adjoint de Lyon chargé du sport et Michel Havard, député de la première circonscription du Rhône.

« C’est un ensemble de 10 millions d’euros, a déclaré Jean-Michel Aulas, un projet lancé en 2006 avec un objectif d’élitisme et de complémentarité avec le niveau professionnel. Il est fondé sur la cohabitation entre les domaines sportif et pédagogique et s’articule autour de valeurs humaines et des moyens mis en œuvre afin de créer les conditions pour que les meilleurs soient ici et réussissent. » En 2008, l’Olympique Lyonnais a été élu « meilleur club formateur » pour la troisième fois en quatre ans.
Jean-Jack Queyranne, président du Conseil général Rhône-Alpes, lequel finance en partie le nouveau centre de formation, lui fait écho : « nous sommes au cœur de notre mission de compétence, la formation de sportifs de haut niveau mais également la formation humaine ».

Enfin Bernard Laporte a souligné qu’ « il n’y a pas de grand club professionnel sans un grand centre de formation ». Le secrétaire d’état a profité de cette inauguration pour rappeler sa « volonté d’aider les clubs professionnels ». Il a révélé adhérer pleinement au rapport rendu par Eric Besson sur la compétitivité des clubs de football français : « je vais réunir les parlementaires afin de mettre en place ces mesures. Je veux redonner au sport français un nouvel élan. » Il a également plaidé pour la mise en place d’une Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG) au niveau européen. « Je ne vois pas pourquoi on s’engagerait dans une compétition européenne avec des clubs étrangers qui, sur la ligne de départ, affichent des déficits de 500 à 800 millions d’euros quand nous avons une DNCG qui fait bien son travail et qui demande aux clubs français d’être financièrement dans les normes. »

BV - olweb.fr

Encore une fois, merki à l'arbitre

Un gros pénalty oublié contre Lloris...

@+

Puel en colère contre la LFP

Alors que la Fiorentina, où il se déplace mardi en C1, va jouer samedi à 18 heures à domicile, Lyon, en se rendant au Parc des Princes à 21 heures, va bénéficier de moins de temps de récupération. Et ça, Claude Puel ne le comprend pas. «Il manque juste un contrôle antidopage à Paris et on aura la totale», affirme-t-il, dans un élan de «colère feutrée», admet-il. «Je ne demande pas plus de protection. Pour moi, c'est dans la normalité. J'aime bien l'adversité. Une course à handicap, c'est sympa (ironique). Mais à un moment donné, il y a des choses qui coulent de source.» L'OL, par la main de Jean-Michel Aulas qui a écrit une lettre aux présidents de la FFF et de la LFP, a essayé de reporter ce match PSG-Lyon. «La Ligue est restée insensible. Pas de réponse, si ce n'est la décision lapidaire de la commission d'organisation des compétitions confirmant le maintien du match de samedi», explique le club lyonnais dans un communiqué. - S.L., à Lyon

msn.fr

UNE DÉFENSE A (RE-)RECONSTRUIRE

La blessure de Réveillère, qui s'ajoute à celles de Clerc et Bodmer, fragilise considérablement la défense de l'OL avant d'aller défier la Fiorentina. Claude Puel a le choix entre de très jeunes joueurs (Gassama et Kolodjieczak), de frais revenants (Grosso, Mensah) ou des joueurs à contrarier (Boumsong, Källström, Govou).


Réveillère sur le flanc
C'est peu de dire que l'Olympique lyonnais doit actuellement faire face à une hécatombe de blessés. Le secteur le plus touché concerne la défense. Déjà privé de Mathieu Bodmer (pubalgie) et de François Clerc (rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche), le club rhodanien ne sait pas dans quel état de forme il retrouvera Fabio Grosso pour son déplacement à Florence, mardi, en C1, tandis qu'Anthony Réveillère, est, lui, d'ores et déjà indisponible. Le premier était forfait samedi après être revenu blessé à la jambe de sélection, mais il fait bel et bien partie du voyage en Italie. Le second s'expose à une indisponibilité bien plus longue, après avoir coupé son action suite à un simple appui lors d'un duel avec Giuly (10e minute du match à Paris). «Sur l'action, je suis juste derrière et j'ai le sentiment que son genou tourne, raconte Boumsong. Je suis assez inquiet». Selon le premier diagnostic, le latéral droit pourrait souffrir d'une rupture des ligaments croisés du genou gauche. Il doit passer des examens dimanche pour connaître la nature exacte de sa blessure. L'entorse ne fait aucun doute.


Les baptêmes de Gassama et/ou Kolodziejczak ?
Pour occuper les couloirs contre la Fiorentina, Claude Puel ne dispose pas de beaucoup de solutions. Les joueurs d'expérience se font rares. Et il n'est pas impossible de voir les jeunes Lamine Gassama et Thimothée Kolodziejczak seuls spécialistes du poste encore à disposition, jouer contre la Viola. Le premier est sorti sur blessure contre Paris, mais il fait bien partie des joueurs retenus pour ce déplacement en Italie. Selon Boumsong, il y a une chance sur deux pour qu'il soit apte pour mardi. «Ça peut être sérieux, comme il peut très bien récupérer rapidement». Même s'il n'a débuté sa carrière en L1 que très récemment (le 29 octobre à Sochaux), l'international Espoirs présente des gages de solidité et sera vraisemblablement titulaire s'il est en mesure de jouer. Pour Kolodziejczak, la donne semble légèrement différente, surtout que Grosso figure bien dans le groupe des vingt. L'ancien Lensois, 17 ans, n'a fait ses débuts en L1 que samedi. Il aurait pu coûter un penalty à son équipe en seconde période. «Même s'il a eu du mal contre Sessegnon, il s'est plutôt bien débrouillé», tempère Boumsong.


Govou, Boumsong, Mensah et Källström en alternative
Si Gassama venait à déclarer forfait pour cette rencontre, Claude Puel pourrait décider de faire reculer un de ses mileux. Lors de la sortie de l'international Espoirs, c'est Sidney Govou qui est redescendu d'un cran. L'international français est une option, tout comme Jean-Alain Boumsong. «Je peux jouer partout, même dans les buts, plaisante le défenseur. Cette saison, j'ai déjà évolué quelques minutes à ce poste. J'ai également commencé ma carrière au Havre en tant qu'arrière droit». L'ancien Auxerrois peut dépanner, mais le décaler sur un côté signifierait également pour Puel de se priver d'une association dans l'axe avec Cris qui fonctionne plutôt bien depuis quelques journées. Autres pistes pour le technicien : John Mensah et Kim Källström. Le premier a déjà évolué dans ce registre cette saison, sans forcément se montrer à son avantage. Sur le côté gauche, il avait considérablement souffert contre le Bayern (1-1). Källström présente plus de garanties, mais c'est lorsqu'il évoluait à ce poste que l'OL a subi sa plus grosse défaite de la saison (0-3 à Rennes). Constat de Boumsong : «L'entraîneur va devoir trouver des solutions, mais c'est sûr que tout ça n'est pas fait pour favoriser l'équilibre de notre défense.» Puel est un adepte naturel du turn-over. Il y est contraint au-delà de tout ce qui était imaginable.


msn.fr

L1: Lyon tenu en échec par Valenciennes

Sous un déluge, Valenciennes est resté hermétique samedi à la pression de l'Olympique Lyonnais lors de la 16e journée de Ligue 1 (0-0). En l'absence de Juninho, suspendu, et de Benzema, blessé, les Gones ont longtemps poussé mais Penneteau, le gardien nordiste, a repoussé toutes les tentatives rhodaniennes. L'OL compte désormais six points d'avance sur l'OGC Nice dont le match contre Grenoble a été reporté à dimanche en raison de la pluie. Englué dans la zone rouge, le club du Hainaut ramène un bon point de Gerland.
Newsweb

La Ligue s'entête, l'OL tempête

Une fois de plus, le torchon brûle entre Lyon et la Ligue. En cause ? Le nouveau refus de la Commission d'organisation des compétitions d'avancer de 24 heures le match de l'OL à Nantes pour le compte de la 17e journée de L1, alors que les champions de France jouent le mercredi suivant en Ligue des champions face au Bayern. Un refus d'autant plus mal compris que Bordeaux a vu sa demande similaire acceptée et que le PSG, qui doit recevoir Le Mans samedi, est prêt à jouer dimanche...


Souvent tendues, parfois davantage pour la galerie que pour des raisons de fond, les relations entre la LFP et l'OL ont pris un sacré coup de froid ce lundi, la Ligue se voyant reprocher une fois de plus de ne pas suffisamment protéger les clubs tricolores engagés dans les coupes européennes, particulièrement en Ligue des champions. Il faut dire que dans cette affaire, Lyon n'a pas forcément tort. Soumis à un calendrier démentiel (12 ou 13 matches, selon qu'on est joueur international ou non, en 43 jours, ont comptabilisé les dirigeants, du 18 octobre à samedi dernier), les Rhodaniens avaient déjà une première fois alerté la Ligue, demandant à la Commission d'organisation des compétitions (COC) que le dernier PSG-Lyon, prévu un samedi soir, soit avancé, pour leur permettre de préparer dans les meilleures conditions le capital déplacement à Florence trois jours plus tard en Ligue des champions.

Jean-Michel Aulas s'était même fendu d'une longue lettre en guise d'argumentaire auprès de la LFP et de la FFF: "A l'heure où chacun s‘interroge sur la compétitivité du football français et recherche des orientations pour optimiser celle-ci, je voudrais attirer votre attention sur notre calendrier national qui, paradoxalement, ne protège pas nos clubs engagés dans les compétitions européennes, voire les pénalise par rapport à leurs futurs adversaires étrangers. Est-il enfin raisonnable de laisser un ministre (Eric Besson, en fait Secrétaire d'Etat chargé de la Prospective, de l'Evaluation des politiques publiques et du Développement de l'économie numérique, ndlr) proposer une étude de plus de 160 pages sur la compétitivité du football français, si les garants de notre football ne parviennent pas à établir un calendrier qui protège leurs clubs d'élite alors que leurs homologues étrangers, anglais et allemands dans ces deux cas, en font une règle ?"

Claude Puel y était lui aussi allé de sa petite charge, confiant sur le site du club: "Il ne s'agit pas d'être protégé, mais d'être mis dans la normalité. A une certaine période, les clubs français bénéficiaient d'un peu plus de protection mais depuis quelques saisons, ce n'est plus le cas. Maintenant, ce sont les autres pays européens qui le font alors que nous, on ne le fait plus !" Et l'ancien Lillois d'ajouter, un rien perfide: "J'aime bien l'adversité, on a une petite course à handicap, c'est sympa, cela fait appel au caractère de l'équipe. On a toujours répondu présent et on le fera une nouvelle fois. Manque juste un contrôle antidopage à Paris et on aura la totale..." La totale, l'OL l'a finalement eue, la COC refusant le report, tandis que Lyon perdait à la fois le match (1-0) et Anthony Réveillère pour la fin de la saison.

"La rencontre Lyon-Bayern Munich pas décisive"...

Depuis, les septuples champions de France ont assuré leur qualification pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions à Florence (2-1), s'offrant un ultime match le mercredi 10 décembre face au Bayern à Gerland pas uniquement de prestige, puisque la première place du groupe, qui permet de recevoir au retour en huitièmes de finale, est en jeu. D'où une nouvelle demande auprès de la COC d'inverser le match de la 17e journée prévu dimanche à Nantes (sur Canal +) avec celui entre Paris et le Mans, fixé la veille à 21h (sur Orange). Nouveau refus lundi, motivé ainsi: "La Commission d'Organisation des Compétitions a maintenu la rencontre Nantes-Lyon au dimanche 7 décembre à 21h. Deux raisons ont justifié cette décision. D'une part, la COC a constaté que la rencontre Lyon-Bayern Munich du mercredi 10 décembre n'était pas décisive, puisque l'OL est déjà qualifié pour les 8e de finale de la Ligue des Champions. D'autre part, les modalités envisagées un moment par l'OL avec les diffuseurs pour l'inversion des rencontres Nantes-Lyon et Paris Saint-Germain-Le Mans du samedi 6 décembre auraient favorisé les quatre clubs concernés pour le nombre de diffusions dans la saison, ceci au détriment de l'ensemble des autres clubs de Ligue 1."

En clair, le Ligue ne considère pas que jouer la première place du groupe de C1 est un élément sportif décisif, l'autre raison tenant à une volonté d'assurer un équilibre des recettes télévisées qui n'aurait, selon elle, pas été assuré par l'inversion. Inutile de dire que cette décision a fait bondir Jean-Michel Aulas et consorts, d'autant que dans le même temps, la COC a accepté d'avancer à vendredi (au lieu de samedi) le match Bordeaux-Valenciennes, pour permettre aux Girondins de mieux préparer leur déplacement, cette fois jugé "décisif" (car qualificatif pour les huitièmes de finale) à Rome le mardi suivant. En outre, le PSG avait accepté l'inversion, même si dans l'affaire, il y voyait aussi le moyen de gagner 24 heures de récupération après son match de mercredi en UEFA à Manchester. Les Parisiens ne se sont d'ailleurs pas privés de jeter de l'huile sur le feu lundi, commentant ainsi le refus de la COC: "Compte tenu des intérêts du football français et de l'importance de l'indice UEFA, le PSG a spontanément donné son accord pour jouer le dimanche à 21h plutôt que le samedi, pourtant jour de plus grande affluence au stade. De la même manière que Lyon désire préserver ses chances de terminer à la première place de sa poule, ce qui peut s'avérer décisif pour son avenir européen, Paris préfère jouer le dimanche afin de ménager son effectif engagé le mercredi contre Manchester City en coupe de l'UEFA."

Du côté de Lyon, on a décidé de ne pas en rester là, puisque lundi soir, le club annonçait son intention d'interjeter appel de la décision: "L'Olympique Lyonnais, certes déjà qualifié mais qui peut encore décrocher la 1ère place du groupe décisive pour le tirage au sort, ne comprend pas la notion de match décisif retenue par la COC et a par conséquent pris la décision de faire appel de cette décision." Autant dire qu'on n'a pas fini d'entendre parler de cette affaire qui, en d'autres lieux, serait réglée en un rien de temps. Mais la Ligue a des raisons que le sport ne connaît pas...

orange.fr

Pour une fois, je soutient l'OL ! Même Munich a eu le droit d'un report de match !!
Une 1ère place d'un groupe de LDC est très important !

@+

le match a reporté n'est même pas en même temps que les autre le samedi à 19h, il est le dimanche à 21h... et après on va dire que l'OL est favorisé..

Après tergiversations, l'Olympique Lyonnais a obtenu gain de cause. Le match Nantes-OL, comptant pour la 17e journée de Ligue 1, se jouera bien le samedi 6 décembre à 21 heures, comme le confirme la décision prise ce mercredi par la LFP. Les septuples champions de France bénéficient donc d'un jour supplémentaire pour préparer leur rencontre de Ligue des Champions face au Bayern Munich.

La polémique n'aura pas duré longtemps. L'Olympique Lyonnais disputera finalement son match à Nantes samedi 6 décembre à 21 heures, soit 24 heures avant l'horaire prévu initialement. La LFP s'est donc résolu à satisfaire la demande des Gones qui par l'intermédiaire de Jean-Michel Aulas réclamaient une journée de repos supplémentaire pour préparer au mieux la rencontre face au Bayern Munich en Ligue des Champions, décisive pour la première place du groupe F. En conséquence, le match entre le PSG et Le Mans est reculé au dimanche, Parisiens et Manceaux ayant donné leur accord pour jouer un jour plus tard.

Sur le site Internet de la Ligue, Frédéric Thiriez a publié ce mercredi un communiqué officialisant la décision: "Le match FC Nantes-Olympique Lyonnais se jouera bien le samedi 6 décembre à 21 heures. Une solution a finalement pu être trouvée permettant l'inversion des matches FC Nantes–Olympique Lyonnais et Paris Saint Germain–Le Mans UC 72, qui aura lieu le dimanche 7 décembre à 21 heures. Cette solution, qui ne porte pas préjudice aux intérêts des autres clubs de Ligue 1, a été rendue possible grâce à la bonne volonté des diffuseurs qui ont accepté de renoncer aux conditions qu'ils avaient initialement posées, puisqu'il n'y aura pas d'impact sur le décompte du nombre de diffusions."

Tout le monde est content

Le changement ne vaut en effet pas uniquement pour les joueurs, les diffuseurs ont également revu leur plan. Ainsi, Orange Sport proposera Nantes-OL samedi, tandis que Canal+ hérite de PSG-Le Mans dimanche. Un accord que n'a pas manqué de souligner le président de la Ligue: "Je me réjouis de cette issue et tiens personnellement à remercier Orange pour sa proposition de ce jour qui a permis de débloquer la situation, ainsi que Canal + pour avoir accepté une solution qui va dans l'intérêt général du football français." Finalement, tout le monde est content.

Pourtant, il s'en est fallu de peu pour déclencher les foudres de Jean-Michel Aulas. La Commission d'organisation des compétitions (COC) de la LFP avait refusé dans un premier temps de déplacer le match des Lyonnais, alors qu'elle avait donné son accord aux Girondins de Bordeaux pour affronter Valenciennes vendredi. Selon la COC, le match des Bordelais face à l'AS Roma mardi est "plus décisif", car qualificatif pour les huitièmes de finale. Le PSG, solidaire de l'OL, a proposé de jouer dimanche sa rencontre face au Mans, ce qui lui octroie également une journée supplémentaire de repos après le déplacement à Manchester en Coupe de l'UEFA. Une initiative qui a sûrement dû peser dans la balance.

orange.fr

Lyon, 2e club le mieux indemnisé

Un peu plus d'un million d'euros (1.039.115 exactement), c'est la somme que va percevoir l'Olympique lyonnais au titre de l'indemnisation dûe aux clubs pour la mise à disposition de leurs joueurs aux équipes nationales lors de l'Euro austro-suisse. Pour cette première application de l'accord passé le 15 janvier dernier entre la FIFA, l'UEFA et les grands clubs européens, l'OL est le deuxième club le mieux indemnisé après le Werder Brême (1.093.732 euros) mais avant le Bayern Munich (1.018.109 euros). L'OL comptait sept joueurs parmi les "23" Bleus (Coupet, Clerc, Boumsong, Squillaci, Toulalan, Govou et Benzema), une liste à laquelle il faut ajouter les noms de Källström, sélectionné avec la Suède, Müller (Suisse) et Grosso (Italie). Au total, l'UEFA a versé une enveloppe de 43,5 millions d'euros à 180 clubs.

msn.fr

Lyon a le vent en Coupe

L'Olympique lyonnais s'est qualifié pour les huitièmes de finale de la Coupe de France après sa victoire contre Marseille (1-0). Réduits à dix à l'heure de jeu suite à l'expulsion de Keita, le tenant du titre a trouvé l'ouverture dès la deuxième minute par Karim Benzema. Il se déplacera à Lille au tour suivant.

Le chemin est encore long et semé d'embûches si Lyon entend conserver sa Coupe de France, mais le club rhodanien a envoyé contre Marseille (1-0) un message qui dépasse de loin le simple cadre de cette épreuve. Critiqué ces dernières semaines, l'OL a livré un match aussi maîtrisé qu'avait pu l'être sa victoire contre la Fiorentina (2-1), le 25 novembre dernier, en Ligue des champions, les occasions en moins. Rarement mis en difficulté par une équipe phocéenne, qui a multiplié les approximations techniques, le septuple champion de France n'a mis qu'une minute pour trouvé le chemin des filets par Karim Benzema. L'international français n'avait pas encore marqué en 2009, ce qui avait suscité quelques interrogations. Il a profité d'une mauvaise relance de Zubar, exploitée par Cesar Delgado, pour montrer qu'il fallait toujours compter sur lui. Seul point noir dans une soirée très éloignée du triste match nul (0-0) sur lequel les deux formations s'étaient quittées au mois de décembre : la blessure de Bakari Koné transporté à l'hôpital après un choc involontaire avec Lloris (23e).

L'histoire ne dit pas si cette péripétie est à l'origine de la tension ambiante qui a entouré cette rencontre. Toujours est-il que les deux équipes ont fait preuve d'un engagement parfois très limite. C'est d'ailleurs bien là le seul point commun avec le 0-0 du mois de décembre qui avait également pris parfois des allures de règlement de compte. Trois cartons jaunes ont été distribués côté marseillais, tandis que Lyon a terminé la rencontre avec un averti, Cris, et un expulsé, Kader Keita, pour un début de bagarre avec Brandao (63e). Pour sa première titularisation sous les couleurs marseillaises, l'ancien attaquant du Chakhtior Donestk n'a pas pesé bien lourd dans le 4-2-3-1 confectionné par Eric Gerets. A sa décharge, les passes sont rarement arrivées dans ses pieds ou sur sa tête. Repositionné côté gauche après l'entrée en jeu à la pause de Mamadou Samassa, son seul fait d'arme restera cette altercation avec l'international ivoirien.


Wiltord manque la balle de match

L'OM n'a peut-être pas joué sur sa juste valeur, ou bien est-ce Lyon qui était trop fort. Les tests que passeront les deux équipes contre Sochaux et Saint-Etienne, dimanche, en diront certainement plus sur leur forme du moment. En attendant, l'OL a pu mesurer qu'il n'avait pas nécessairement besoin du mercato pour rester compétitif. Delgado a encore été très bon sur son côté gauche, tandis que Fabio Santos n'a pas déçu dans une position inhabituelle de latéral droit. Cela ne sera pas forcément suffisant pour rivaliser avec le Barça fin février. Mais pour le Championnat, l'effectif actuel semble toujours taillé pour viser un huitième sacre consécutif. Malgré une frayeur à la dernière seconde et un superbe arrêt de Lloris sur une frappe de Sylvain Wiltord, entré en jeu quinze minutes plus tôt (77e), Lyon peut continuer à envisager l'avenir sereinement. Pour la première fois depuis 1973, il a fait tomber Marseille en Coupe de France. Son prochain rendez-vous est fixé à Lille le 3 février prochain. - Emery TAISNE


msn.fr

Triste soirée à Gerland

Décidément, les Lyon-Marseille à Gerland ne nous offrent pas de grandes soirées. La victoire et la qualification des joueurs de Puel est certes méritée mais on ne pourra pas nous empêcher de penser que Lyon a beaucoup perdu en qualités techniques. Vous me direz : à Marseille, c'est pire. Eh oui !
Encore une fois, c'est Benzema qui sauve la baraque et inscrit, d'entrée de jeu, le seul but de la partie. Sur passe de Delgado qui a été, de nouveau, remarquable. Juninho a raté une multitude de coups francs. Il n'y a plus de maîtrise collective à l'OL en dépit de ce que nous raconte Puel. Et sur la fin du match, Lloris sort à bout portant une balle décisive de Wiltord. A partir de l'expulsion de Kader Keita, l'OM essayait, à onze contre dix, d'égaliser. Sans occasion de but pourtant, sauf celle de Wiltord.
Marseille a complètement raté sa première mi-temps : balles perdues, pressing insignifiant, Koné blessé et remplacé par Ben Arfa. Brandao est à court de préparation. Encore trop lent et maladroit. Le seul qui a joué à son niveau, c'est Taïwo, encore impérial. Zubar, que l'on croyait guéri de ses absences, donne la balle de but aux Lyonnais, dès le début du match.
Sur le vu de ce match, l'OM ne mérite pas mieux que sa troisième place en championnat et on tremble pour Lyon qui risque de se faire massacrer par Barcelone.
Amen.



http://eugenesaccomano.spaces.live.com

«Le meilleur a gagné»

Après trois matches sans défaite contre Lyon, Eric Gerets a perdu son invincibilité. «Cela fait surtout mal d'être éliminé. De l'autre côté, Lyon a montré qu'il était une sacrée équipe», indique-t-il. Pour le Sorcier belge, la qualification lyonnaise, mercredi soir devant Marseille (1-0), ne souffre aucune contestation.

«Le meilleur a gagné, souligne le coach de l'OM. Lyon a montré qu'il avait vraiment la rage. Les Lyonnais ont mis une pression de tous les instants. Contrairement à nous, ils ont été capables de construire. Il faut admettre qu'ils étaient plus forts. C'est logique qu'ils soient présents au prochain tour.» D'ailleurs, Gerets n'a pas vu dans la supériorité numérique de son équipe durant la demi-heure, après l'expulsion de Keita, un espoir de pouvoir revenir au score. «Tout le monde voulait tellement bien faire qu'on a oublié les fondamentaux : rester en place, bien écarter et délivrer de bons centres.»


«Ça promet pour le retour au Vélodrome.»

Evidemment côté marseillais, le début de match et ce but encaissé dès la 2e minute, a plombé la suite. «Lyon était déjà en pleine confiance. Alors avec ça...», reprend Gerets. «Ce but a modifié tous nos plans. On a essayé de revenir mais Lyon était bien en place, en mettant l'accent sur l'agressivité. Nous, on a mis du temps à se rendre compte que c'était un match de Coupe et qu'il fallait mettre des coups», estime de son côté Samassa. «Entamer un match en étant mené 1-0, c'est toujours plus difficile que de le commencer à 0-0, peste Cheyrou, qui semblait contenir sa colère. D'entrée de jeu, Lyon était agressif, comme cela avait été le cas en Championnat il y a un mois et demi. Ça promet pour le retour au Vélodrome.»

En attendant, l'OM devra vite digérer cette défaite hors de ses bases. «Ça faisait longtemps qu'on n'avait perdu à l'extérieur. C'est forcément un coup d'arrêt, affirme Samassa. Maintenant, il faut se concentrer sur le championnat et le déplacement à Sochaux, ce week-end.»

Puel : «Ça nous conforte»

L'OL a vaincu la malédiction. Après 36 ans de disette, les Lyonnais ont enfin battu Marseille en Coupe de France. Dans leur nouveau système en 4-2-3-1, les hommes de Claude Puel ont fait étalage de ce qui les caractérise désormais : peu de spectacle mais une grosse solidité et une efficacité retrouvée avec Benzema. Tout ça pour le plus grand plaisir de leur coach.

«Claude Puel, que vous inspire cette qualification ?

On a affiché l'état d'esprit qu'il fallait. On a fait du jeu. On a su maîtriser ce match dans l'ensemble, on s'est procuré des occasions avec ces deux ballons sur la barre. A part à la fin où, en infériorité numérique, on a peut-être reculé un peu, mais on ne pouvait pas faire autrement. Sinon, la victoire est méritée. Ça conforte ce que l'on fait depuis le début de l'année. C'est bien que les joueurs soient récompensés de leur investissement.


Ce système en 4-2-3-1, déjà mis en place à Grenoble (2-0), est-il une solution ?

C'est l'une des solutions. Pas mal de joueurs peuvent s'exprimer de cette manière, sûrement plus qu'en 4-3-3 par exemple. Mais aucun système n'est laissé de côté. On trouve un certain équilibre de cette manière. Quand on sera un peu plus sollicités, on jouera peut-être différemment. Ce qui est important, quel que soit le système, c'est la qualité de l'animation et du jeu collectif.


Dans ce système, on découvre Delgado.

Ce soir, Chelito récupère le ballon, offre le ballon décisif. Il est important car il est très généreux. Il permet de mettre du liant quand on a le ballon et il réalise un très gros travail défensif quand on ne l'a pas. Il est très intéressant pour l'équipe.


Est-ce que Lyon a trouvé son latéral droit avec Fabio Santos ?

Il a été très intéressant oui. Depuis qu'il est revenu en retard de son escapade, il est dans l'esprit souhaité que ce soit l'entraînement ou en match. Ce soir, il a accompli un très bon match.


Qu'est ce qui vous a poussé à le titulariser à ce poste ?

Je voulais l'essayer avant la trêve car je pense qu'il a les caractéristiques. Il a un bon jeu de tête, il est assez à l'aise avec le ballon, il a le profil pour monter. Il n'était pas dans les dispositions pour l'appliquer. Là, il montre un tout autre investissement. J'espère qu'on a découvert le vrai Fabio et qu'il saura adopter ce comportement sur la durée.


Qu'avez-vous pensé de l'expulsion de Keita ?

C'est un peu dommage de se faire expulser à la suite d'une faute adverse. Je n'ai pas vu son geste, je vais le revoir. Dans ces cas là, il faut arriver à garder son calme et c'est ce qu'on a fait par la suite alors que Marseille dominait les débats.


Jean-Michel Aulas a dit mardi que le match de ce soir aurait une influence sur la suite du mercato. Qu'en est-il ce soir ?

C'est vrai que les joueurs apportent des réponses. On a eu des pistes, notamment au poste de latéraux, qu'on n'a pas pu conclure pour différentes raisons. Fabio peut être une alternative avec Mensah et Gassama en attendant le retour de Clerc. J'avais dit qu'il n'y avait pas d'obligation de recruter. Les recrues, ce seront Santos, Bodmer, Clerc.


Le prochain tour mènera l'OL à Lille. Comment abordez-vous ce retour dans le Nord ?

C'est particulier car on va affronter Lille deux fois de suite, d'abord en Coupe de France (le 3 mars), puis en championnat (le 7 mars au stade de France). C'est sympa, à travers la Coupe, pour moi, pour Patrick (Colleau, son adjoint), pour les anciens Lillois, de revenir au Stadium (de Villeneuve d'Ascq). Mais on jouera la qualification, et ce sera ça, la priorité.»


Recueilli à Lyon par Sylvain LARTAUD - msn.fr

Match ennuyeux... Marseille a eu la possession de balle sans être convainquant. L'OL a eu de bons coups à jouer mais n'a pas réussi à concrétiser.
Le seul regret, c'est le genou de Lloris. Même si je pense que ce n'est pas intentionnelle, il n'a pas à mettre son genou à la hauteur de tête...

L'OL mérite la victoire, et pour moi Wiltord ne loupe pas son occasion, c'est Lloris qui a eu le bon réflex.

@+

Fred a fait savoir au club qu'il n'était pas d'accord avec les conditions de résiliation de son contrat pour qu'il soit transféré à Fluminense. «Il a fait savoir qu'il n'était plus d'accord sur les conditions de résiliation sur lesquelles il était d'accord en décembre et son transfert reste au point mort», a déclaré Olivier Blanc, directeur de la communication de l'OL.
Francefootball.fr

Merci de mettre la source de ton infos.

Perso, j'ai entendu sur RMC hier soir, qu'en fait, Fred était en accord avec Fluminese, mais qu'en aucun cas il ne laisserai les 5 derniers mois de salaires qu'il lui reste à l'OL...
Il y a eu une réunion entre les personnes concernées hier, et ca n'a absolument rien donné...
A suivre.

@+

Oui mais en tout cas il abuse la je trouve, juste parce qu'il veut avoir son jolie salaire à Lyon. Et des millions de gens meurent de faim, il se rend pas compte de la chance qui'il a, il devrait arréter de pleurnicher et retourner dans son pays .

en même temps, il a "travaillé" pour avoir cet argent. Dans ton taff, tu va pas laisser ton salaire à ton emplyeur. Si c'est dans le contrat l'OL lui doit et voilà.

Non mais je veut dire qu'il aréte de pleurer un peu, il est pas a plaindre en plus si en décembre il était pret a "lacher" cette prime pk il la veut tout d'un coup ???

parcqu'il veut se faire construire une piscine et qu'il lui manque quelques milliers d'euros...

Puel « aurait dû sortir » Mensah

Claude Puel a confirmé, dimanche, au micro de Foot+, que John Mensah avait été insulté par un supporter havrais en première période et que le staff lyonnais avait dû insister auprès du Ghanéen pour qu'il reprenne le jeu. «John était très choqué. Il a entendu des mots scandaleux, a déclaré l'entraîneur, regrettant avec le recul, vu l'expulsion de son joueur (70e), de l'avoir maintenu sur la pelouse. On a essayé de le garder sur le terrain. C'est de ma faute. J'aurais dû le sortir avant.» Un supporter a été arrêté pour ces faits et est actuellement interrogé par la police.


msn.fr

vraiment lamentable ces insultes, déja qu'il avait du mal a s 'intégrer ...

Ces insultes sont plu que regrétable, MAIS, ca fait bien plus de bruit à Lyon qu'à Metz, Bastia et j'en passe...

@+