Le PSG au quotidien

Coupe de la ligue - Edel forfait, Coupet rappelé

Info L'Equipe : Edel Apoula, habituel gardien remplaçant du Paris-SG, devait remplacer mercredi soir Grégory Coupet dans la cage parisienne en vertu de l'alternance prônée par Antoine Kombouaré, lors du seizième de finale face à Boulogne-sur-Mer. Mais le portier camerouno-arménien s'est bloqué le dos mardi lors de la séance d'entraînement tenue à huis clos. Résultat, Coupet, initialement non retenu dans le groupe, devrait être rappelé pour tenir sa place. Willy Grondin restera quant à lui sur le banc. (Avec D.D.)

msn.fr

Ligue 1: Paris tenu en échec à Lorient

Paris et Lorient se sont quittés sur un match nul, samedi lors de la 7e journée de Ligue 1 (1-1). Devant leur public, les Lorientais ont ouvert la marque par l'intermédiaire d'Arnold Mvuemba (40e), tandis que Guillaume Hoarau a égalisé juste avant le retour au vestiaire (45e). Paris conserve sa sixième place, deux places devant Lorient.
Newsweb

Makelele touché à un tibia
Claude Makelele, touché samedi en fin de match contre Lorient dans un choc avec Laurent Koscielny, souffre du tibia. Le capitaine parisien, qui a tenté de revenir quelques minutes sur le terrain avant finalement de céder sa place à Clément Chantôme, ne connaît pas encore la gravité de sa blessure. Mais il en saura plus dimanche après une série d'examens.


msn.fr

Luyindula se voit finir à Paris

Peguy Luyindula, lié au Paris Saint-Germain jusqu'en juin 2012, «pense finir ses trois ans ici», a annoncé, ce mercredi, l'attaquant de trente ans sur le site internet du club de la capitale. «Après, l'avenir nous dira si ce sera la fin pour moi. On verra ça. En tout cas, cela me convient parfaitement de finir au PSG, que ce soit dans trois ans ou plus tard.»


msn.fr

«1er au classement» des fumigènes

Le président de la commission de discipline de la Ligue (LFP), Pascal Garibian, a contredit, jeudi, le président du Paris-SG, Robin Leproux. Il a déclaré que le club de la capitale était bien «premier au classement des engins pyrotechniques» et non «quatrième» comme l'indiquait le dirigeant parisien.

«Les chiffres sont têtus et le PSG est bien premier au classement des engins pyrotechniques, a dit M. Garibian à l'issue de la réunion hebdomadaire de la commission. Cette saison, Paris représente 40% de la totalité de ces engins. La saison dernière, le PSG arrivait déjà en tête avec 810 engins pyrotechniques. Le deuxième, Marseille, était à 387».

Robin Leproux avait déclaré dans Le Monde la veille : «Pour les fumigènes, nous ne sommes qu'en quatrième position selon les statistiques de la Ligue». Dans un courrier en date de lundi adressé notamment au ministre de l'Intérieur et aux présidents de la FFF et de la LFP, il écrivait qu'il s'agissait du «quatrième rang par millier de spectateurs».

«Même par rapport au nombre de spectateurs, les chiffres entérinent ce classement», a répondu en écho Pascal Garibian. Il précise néanmois que «la démonstration a été faite, lors des deux derniers matches au Parc des Princes, de ce qu'il est possible de faire, avec pratiquement pas d'engins pyrotechniques». Avant le match PSG-Lyon du 20 septembre, «le préfet avait ordonné la fermeture des locaux de supporters, je ne sais pas si ça a un rapport de cause à effet...». (Avec AFP)


msn.fr

PSG: Erding trop court pour Toulouse

Blessé à l'épaule le 30 août face à Lille (3-0) et opéré ensuite, Mevlut Erding va être trop juste pour le déplacement du Paris Saint-Germain à Toulouse, dimanche soir en clôture de la 9e journée de Ligue 1. "Je vais continuer de me préparer pour être prêt contre Marseille (le 25)", a estimé l'attaquant turc, qui avait pourtant été mis à la disposition d'Antoine Kombouaré pour cette rencontre. Le technicien parisien devrait pouvoir compter sur Guillaume Hoarau dans la Ville Rose, le Réunionnais, remis de son élongation aux ischio-jambiers, pourrait prendre place sur le banc alors que Peguy Luyindula, blessé au genou gauche jeudi à l'entraînement, est à priori partant.
Newsweb

Hoarau, c'est grave

Alors qu'il ne devait pas jouer dimanche soir, Guillaume Hoarau, touché au genou droit lors de la défaite à Toulouse (1-0), sera indisponible pour les deux prochains mois, au minimum, et ne réapparaître qu'après la trêve hivernale, en janvier 2010.. «L'IRM effectuée ce jour par Guillaume Hoarau a confirmé une rupture du ligament latéral interne du genou droit. Son état nécessite une immobilisation du genou pendant 5 semaines. Après, le joueur pourra débuter un programme de rééducation», a expliqué le PSG sur son site internet ce lundi.

L'attaquant parisien, qui a remplacé Ludovic Giuly à la 84e minute, s'était déjà blessé aux ischio-jambiers contre Nancy avant la trêve internationale, après un été très perturbé par des douleurs aux adducteurs. Cette nouvelle blessure tombe mal pour le PSG avant son déplacement au Vélodrome dimanche prochain pour le match contre Marseille.

Hoarau, auteur de 17 buts la saison dernière pour sa première expérience dans l'élite et qui n'en a inscrit qu'un en sept apparitions en 2009-2010, n'a encore jamais pu être associé à Mevlut Erding, blessé à une épaule le 30 août contre Lille. Le duo était celui sur lequel comptait Kombouaré en début de saison pour occuper la ligne d'attaque dans son 4-4-2. Erding, qui s'entraîne désormais normalement, ne figurait pas dans le groupe à Toulouse, mais s'est dit disponible pour le déplacement à Marseille.

En attaque, le PSG dispose aussi de Peguy Luyindula et Ludovic Giuly, qui ne sont pas de vrais buteurs. Chez les jeunes attaquants, très peu utilisés par Kombouaré, Jean-Eudes Maurice a marqué un but lors de son unique apparition, en Coupe de la Ligue à Boulogne-sur-Mer, où avait également joué Loris Arnaud, tandis que Yannick Boli n'a pas disputé la moindre minute cette saison.

msn.fr

OM - PSG L a 11 ieme jounée reporté .

A l'instar des matchs de rugby entre Castres et Albi ainsi qu'entre ces mêmes Castrais et Montauban, en début de saison du Top 14, le choc entre l'OM et le PSG, prévu dimanche soir au Vélodrome (21h00) en clôture de la 10eme journée de L1 pourrait être reporté à une date ultérieure en raison de la grippe A sévissant au sein de l'équipe parisienne.

Ainsi, plusieurs joueurs du PSG, dont Ludovic Giuly, Mamadou Sakho et Jérémy Clément, seraient atteints par le virus H1N1 et donc placés en confinement. Le club parisien n'aurait donc d'autres choix que de demander à reporter le match. Une demande des dirigeants parisiens dans ce sens serait même déjà parvenue sur les bureaux de la Ligue. A suivre...

A.C (Rédaction Football365.fr)

Le Clasico est maintenu

Malgré les cas avérés de grippe A au PSG (Giuly et Sakho seraient concernés), le club parisien, sur son site internet, assure que le Clasico OM-PSG, prévu dimanche soir à Marseille, ne sera pas reporté. Antoine Kombouaré tiendra une conférence de presse samedi vers 15h pour expliquer les décisions prises par le club.

TC (Rédaction Football365.fr)

Et bien voilà... Aujourd'hui aux alentours de 12-13h le match est reporté... Pourquoi ?? Hier ça allait bien et pas aujourd'hui ??
Il devait le reporter hier, et non aujourd'hui ! Les supporters Parisiens sont descendu comme des cons à Marseille pour rien ! Ils vont être remboursés ?? Et vu que le match n'a pas lieu, la sécurité des Parisiens n'est même plus assurée... S'il n'y a pas de blessé grave on pourra s'estimer heureux !
La fédé c'est grave planter sur ce coup. On va en parler pendant longtemps !!

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Clasico le 20 novembre

Le bureau de la Ligue a choisi la nouvelle date pour disputer Marseille - Paris SG, reporté à cause de la grippe A. Ce sera le vendredi 20 novembre.

Suite à l'annulation dimanche dernier du match OM - PSG en raison de trois cas grippe H1N1 déclarés dans les rangs parisiens, le Clasico aura finalement lieu le vendredi 20 novembre, a tranché la Ligue ce jeudi midi. Cette date «convient aux deux clubs ainsi qu'au diffuseur Canal+ qui retransmettra le match en direct, explique la LFP dans un communiqué. Cette date est la première possible. Elle permet de solutionner au plus tôt le problème du report de cette grande affiche de L1.»

Les présidents de Marseille, Jean-Claude Dassier, et du Paris-SG, Robin Leproux, sont sortis de la réunion du bureau de la LFP, avant l'annonce officielle de la nouvelle date par la Ligue de football professionnel. «La date nous convient», avait alors seulement lâché le dirigeant olympien, sans évoquer la date. Robin Leproux n'a, lui, fait aucun commentaire. Le Clasico est ainsi programmé seulement deux jours après le barrage retour de l'équipe de France contre l'Irlande au Stade de France.


«Cela permet de sécuriser le calendrier, de respecter nos engagements avec le diffuseur, et de ne pas trop charger le calendrier de l'OM, dans sa préparation du match de Ligue des champions contre Milan (le 25 novembre) », a commenté pour sa part Frédéric Thiriez, le président de la LFP. «Pourquoi ne pas reporter le match directement le 2 décembre ? L'important était d'avoir un accord total des membres du Bureau de la Ligue et des deux clubs concernés et la solution du 20 novembre recueille l'accord de tous», a poursuivi M. Thiriez. «Je partage le souci du premier ministre (M. Fillon) quand il veut anticiper au maximum l'annulation d'un match à risque, a jouté le président de la LFP. C'est d'ailleurs ce qu'on a fait. Le samedi, la commission d'experts nous a dit qu'en l'état des informations, il n'y avait pas lieu de reporter le match (finalement déprogrammé le dimanche quelques heures avant le coup d'envoi, ndlr)».

Prévue le samedi 21 novembre, les rencontres OM - Sochaux et Boulogne-sur-Mer - Paris-SG comptant pour la 14e journée de L1 auront lieu le mercredi 2 décembre à 19h00. Mais si le match de Ligue des Champions face au Real Madrid au Vélodrome le 8 décembre s'avère décisif, l'OM demandera alors à la Ligue un report d'OM-Sochaux à une date ultérieure. La formation de Didier Deschamps sera donc amenée à disputer 13 matches avant la trêve hivernale, 10 en Championnat et 3 en Ligue des champions.

msn.fr

Coupet veut le croire

Déçu par la défaite du PSG face à Nice au Parc des Princes, Grégory Coupet a reconnu que le club parisien vivait un moment difficile. Sans pour autant arrêter d'y croire.
« Ça fait mal, c'est clair, a lancé Grégory Coupet au micro de Foot+ à l'issue de PSG-Nice. On paie cash le moindre décalage adverse et pourtant, je continue d'y croire. On n'est pas mauvais dans le jeu et ça va finir par payer. »

NP (rédaction Football365.fr)

Tout le monde parlait du carton à Sochaux, j'étais mort de rire ! Sochaux sur ce match là n'a pas réussi à mettre un pied devant l'autre et il était dans ce cas impossible pour le PSG de perdre !
Et encore, les Parisiens ont eu du bol d'avoir eu la grippe A, et j'en doute, car au Vélodrome, ils auraient pris une tané, vu leur effectif réduit par les blessures !
Là ils sont tombé sur une équipe Niçoise pas toujours aussi facile à manier, et ils l'ont payés cash !

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Direct 8 sponsor maillot
A l'occasion du match entre l'OM et le PSG, vendredi (21h00), le PSG aura un nouveau sponsor maillot: Direct 8. Outre ce match, la chaîne de télévision de la TNT réitèrera l'opération pendant deux autres affiches qui ne sont pas encore connues. Le logo sera floqué au dos du maillot, et disparaîtra dès le match suivant du PSG, lors de la réception d'Auxerre au Parc des Princes

msn.fr

Fracture pour Coupet

Blessé en voulant éviter un corner, samedi soir face à Auxerre au Parc des Princes, Grégory Coupet souffre d'une fracture de la cheville gauche. Il sera opéré dès ce soir.
L'image est atroce. En voulant éviter une sortie en corner à la 84eme minute du match entre le PSG et Auxerre, Grégory Coupet s'est complètement retourné la cheville gauche. Après les premiers examens, le gardien parisien souffrirait d'une fracture de la cheville gauche. Robin Leproux et Guillaume Hoarau ont immédiatement quitté la tribune présidentielle pour aller prendre des nouvelles de l'ancien gardien des Bleus. Coupet sera opéré dans la soirée.

A.C (Rédaction Football365.fr)

Coupet : «Beaucoup de chance»

Trente-six heures après son opération de la cheville, brisée samedi soir au Parc des Princes, Grégory Coupet est venu lundi au Camp des Loges assurer que sa carrière n'était «pas terminée».

Il a tenu à venir saluer ses partenaires lundi après-midi à l'entraînement au Camp des Loges, «un petit défi» pour lui, leur a-t-il dit en souriant. Grégory Coupet est arrivé soutenu par des béquilles, en compagnie de Robin Leproux, le président du Paris-SG, puis il a passé un petit quart d'heure sur le terrain. Très détendu, le gardien de but parisien, qui s'est blessé tout seul samedi soir au Parc des Princes contre Auxerre (1-0), a raconté son week-end si particulier.

«Je suis au taquet depuis samedi soir... Ça va très, très bien, je crois que j'ai eu beaucoup de chance d'être pris en charge par Eric Rolland (le médecin du club qui a réduit la fracture dans la nuit de samedi à dimanche). Sur le terrain, il a remis la cheville. C'est le geste qui fait que je suis bien aujourd'hui. J'ai tout entendu, je n'étais pas dans le brouillard et je n'ai pas eu de douleurs fortes. Il m'a opéré vers trois heures du matin.»

Coupet, qui a revu les images de son accident («choquantes»), se projette déjà vers l'avenir. A bientôt 37 ans, il n'a pas l'intention de mettre fin à sa carrière à cause de cette blessure qui devrait le tenir éloigné des terrains trois mois minimum. «Sur le coup, j'ai pensé que ça se terminait peut-être là, mais non finalement, pas du tout, a-t-il expliqué. J'ai six semaines sans poser le pied par terre et ensuite il y aura la rééducation.»

Il se soignera au Camp des Loges
Le gardien parisien est même philosophe : «J'ai l'expérience des blessures et même ce mauvais moment est une expérience extraordinaire. Je ne dis pas que c'est à vivre, mais c'est fou, j'ai reçu des messages de soutien de tout le monde. Ce n'est pas un coup du sort, ce sont des trucs à connaître et c'est peut-être un mal pour un bien. J'ai la volonté et je ne crains rien.» Coupet se soignera au Camp des Loges pour rester au contact de ses équipiers et les encourager. «J'espère que l'équipe ne sera pas déstabilisée mais qu'au contraire cela va plutôt la galvaniser. Il n'y a pas que moi cette saison avec les blessures d'Erding, d'Hoarau et l'affaire Makelele. A force de s'arc-bouter, il va naître quelque chose dans le groupe. C'est peut-être un mal pour un bien.» - Christophe MICHEL, au camp des Loges (avec AFP).

SFR 'Sport'

Moi je dis que le petit jeune du PSG va montrer ce qu'il vaut, et c'est d'ailleurs un très bon, ce qui va mettre Coupet sur le banc sachant surtout qu'il n'a pas fait de supers prestations...

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Paris s'est libéré
Mené à la mi-temps (0-1), le Paris-SG dynamite la défense de Boulogne (5-2) mercredi en match en retard et remonte à la 7e place.

Paris a mis le temps, mais il a fini par avoir raison de Boulogne-sur-Mer (5-2), mercredi soir, en match en retard de la 14e journée. Menés 0-1 à la pause contre le cours du jeu, les joueurs d'Antoine Kombouaré ont fait exploser la défense boulonnaise en deuxième période grâce à un doublé d'Erding (67e, 69e) et trois réalisations de Chantôme (61e), Luyindula (64e s.p.) et Maurice (86e). Ce deuxième succès d'affilée permet au PSG d'effectuer un grand bond au classement : septième à six points du leader, Bordeaux, qu'il visitera samedi. Boulogne, battu pour la neuvième fois en dix matches, reste englué dans la zone rouge, à cinq longueurs du premier non relégable, Saint-Etienne.

L'ampleur du succès parisien et la facilité déconcertante avec laquelle Erding et ses équipiers l'ont acquis tuent dans l'oeuf toute forme de polémique autour du penalty inexistant accordé à l'ancien Sochalien (64e). Dans l'ensemble, Paris a plutôt bien maîtrisé son sujet, malgré les absences de Sessegnon, Ceara et Sakho. Pour son premier match dans la cage parisienne depuis la grave blessure de Grégory Coupet, Edel a passé une soirée relativement tranquille. Cela ne l'a pas empêché d'aller chercher le ballon dans ses filets à deux reprises, peu aidé par une défense encore fébrile, à l'image de Sylvain Armand fautif sur les deux buts boulonnais (36e, 82e s.p.).

Paris s'est redonné le droit d'avoir des ambitions. Il devra malgré tout méditer sur sa première période. Les cinq buts passés aux protégés de Laurent Guyot -une première depuis une victoire 6-1 contre Montpellier lors de la saison 2003-2004- n'effacent pas les lacunes affichées à l'approche de la zone de vérité. Pour ne pas avoir su concrétiser sa domination, le club de la capitale s'est fait punir sur la seule occasion boulonnaise, une frappe venue d'ailleurs de Ducatel (36e). Boulogne a résisté, avant de céder, puis de s'écrouler. «Mais on est toujours en vie et on ne baissera pas les bras», promet Jean-François Bédénik. A mettre en pratique dès samedi pour la réception de Lens, autre candidat au maintien. - E. T

SFR Rubrique 'sport'

Paris pas récompensé

Bordeaux a battu le Paris-SG sans vraiment le dominer (1-0). Mais qu'importe, les Girondins confortent leur place de leader.

L'impression laissée par les Parisiens le 11 janvier dernier au public bordelais n'est plus qu'un lointain souvenir. Tombé à l'époque à Chaban-Delmas (0-4), les armes à la main, le PSG a progressé depuis. Mais pas encore assez pour arracher un point à Bordeaux, vainqueur d'une partie de poker menteur (1-0). Un nul aurait pourtant fait le bonheur d'Antoine Kombouaré et ses hommes pour conclure leur belle semaine. Il aurait surtout récompensé leur grosse débauche d'énergie et leurs nombreuses occasions. Au lieu de ça, après deux victoires contre Auxerre (1-0) et Boulogne-sur-Mer (5-2), le club de la capitale voit sa belle série stoppée. Bordeaux à l'inverse en débute une nouvelle et assoit un peu plus au passage sa domination sur le Championnat qu'il domine désormais même en jouant un peu moins bien.

Non pas ques les Girondins ne méritent pas leur victoire, car ils ont marqué le but qu'il fallait pour s'en assurer, par Plasil (24e), sur un centre parfait de Trémoulinas. Mais après les deux démonstrations effectuées contre la Juve (2-0) puis à Nancy (3-0), et avec le retour de son stratège, Yoann Gourcuff, beaucoup attendait de Bordeaux qu'il confirme dans le jeu. Or cette fois, c'est Paris qui a pris les choses en main. Echaudés par leur première défaite à domicile depuis deux ans, face à Valenciennes (0-1), les joueurs de Laurent Blanc ne se sont pas jetés dans la gueule du loup. A leur rythme, ils ont observé, attendu puis frappé là où ça fait mal, au moment opportun. Après quoi, les champions de France ont défendu. Ce qui n'est pas dans leurs habitudes à la maison. Mais force est de constater qu'ils ont eu raison.

Erding encore blessé
Dans tout ça, Paris peut avoir des regrets car malgré la sortie prématurée d'Erding, blessé à un genou (32e), il a affiché un visage conquérant. Avec Maurice, entré en cours de jeu, et Luyindula, il s'est procuré de nombreuses opportunités d'égaliser (36e, 42e, 51e et 85e). Mais comme souvent depuis le début de saison, il a été beaucoup trop maladroit dans le dernier geste. Résultat, sans Giuly ni Camara, il revient à nouveau bredouille de Gironde. Le coup tenté par Kombouaré n'a pas marché. Mais au moins l'affront est lavé. - Hugues SIONIS

SFR.Sport.

Paris enfonce les Verts

Le PSG a plongé un peu plus Saint-Etienne (3-0) dans la crise. Il revient à trois points du podium et laisse les Verts aux portes de la zone rouge.

Paris rejoint la meute. En remportant son troisième match en quatre journées contre Saint-Etienne (3-0), dimanche, le club de la capitale a fait un grand bond en avant. Il ne se traduit pas encore au classement, mais la dixième place des joueurs d'Antoine Kombouaré n'est qu'un trompe l'oeil. Seulement cinq points les séparent désormais de Montpellier, nouveau dauphin du leader bordelais. Solide de bout en bout, le PSG tient peut-être son match référence. Il a profité de la première période catastrophique des Stéphanois pour dérouler tranquillement à la faveur d'un pressing constant et d'une ferme volonté de toujours aller vers l'avant. C'est la deuxième fois, cette saison, qu'il boucle une rencontre sans avoir concédé le moindre but.

Paris va mieux. Sa victime, Saint-Etienne, ne peut pas en dire autant. Dominé dans tous les compartiments du jeu -engagement, maîtrise, duels,...-, les Verts se sont montrés incapables de se révolter, sans doute plombés par deux buts encaissés coup sur coup (11e, 13e). La crise de confiance qui sévit dans le Forez s'est exportée au Parc des Princes et les illustrations de cette fébrilité sont nombreuses. La plus révélatrice : une faute de main de Jérémie Janot sur l'ouverture du score de Luyindula. Même si le passage à cinq défenseurs après la pause a permis aux Stéphanois d'endiguer les vagues parisiennes, les chiffres parlent d'eux-mêmes : en deux déplacements, Cédric Varrault et ses équipiers ont encaissé sept buts et n'en ont marqué aucun.

Trois réalisations Luyindula (11e), Sessegnon (13e) et Erding (39e) ont plongé un peu plus Saint-Etienne dans la crise. A ce rythme là, la confiance maintenue à Alain Perrin, vendredi, risque vite de voler en éclats. Avec seulement cinq points pris sur vingt-sept possibles lors de leurs neuf dernières rencontres, les Verts se retrouvent au bord du précipice. Plus proches de la chute -3 longueurs d'avance sur le premier relégable- que d'un possible redressement -5 unités de retard sur les équipes qui les précèdent. Un succès du Mans ou de Boulogne, mercredi, officialiserait cet effondrement et plongerait les Stéphanois dans la zone de relégation. La réception de Marseille à Geoffroy-Guichard, samedi, n'augure rien de bon... - Emery TAISNE

MSN Sport

Edel victime de chantage ?

D'après les révélations du Parisien ce mardi, le gardien du PSG, Apoula Edel se retrouve au centre d'une sordide affaire de chantage. Au départ de cette histoire, Nicolas Philibert, ancien entraîneur en Afrique et intermédiaire auprès du joueur il y a quelques années. C'est lui qui a envoyé Edel en Arménie, puis lui a fait faire des essais en France, au PSG notamment.

Depuis, les deux hommes sont fâchés. Mais Philibert, qui ne possède pas la licence d'agent, a la rancoeur tenace. Il aurait ainsi demandé à son ami Michel Hidalgo de joindre le PSG et de réclamer 30.000 euros au titre de leur collaboration passée, sous peine de quoi il révélerait des informations sur l'identité et l'âge du gardien. Hidalgo, qui ne semble pas avoir réalisé qu'il s'agissait bel et bien de chantage, s'est fait éconduire par Alain Roche. Le joueur et le club ont refusé de payer.

Du coup, Philibert a mis ses menaces à exécution et prévenu les dirigeants de Saint-Etienne dimanche, avant le match au Parc des Princes (3-0). Les Stéphanois ont donc porté réclamation auprès de la Ligue, émettant des réserves sur l'âge du gardien. Edel, envisage désormais de porter plainte. Tout comme le club de la capitale, qui s'efforce de récupérer au Cameroun des documents prouvant la bonne foi du joueur.

msn.fr

Paris peut s'en vouloir
Le Paris-SG a été tenu en échec (1-1) par Lens, mercredi soir. Il remonte malgré tout au huitième rang.

Il y a matière à nourrir des regrets. Paris a lâché deux points contre Lens (1-1), mercredi soir, au Parc des princes. Après avoir passé plus d'une heure à chercher la clef du verrou lensois, les joueurs d'Antoine Kombouaré ne sont pas parvenus à conserver leur avantage d'un but (70e) plus de quatre minutes (74e). L'ouverture du score spectaculaire et chanceuse par Claude Makelele a immédiatement été suivie d'une égalisation de Maoulida. Paris a eu le tort de croire qu'il avait fait le plus dur. L'abnégation et la solidarité des Sang et Or leur ont ramené les pieds sur terre.

Kombouaré : «Ça ne passe pas»
«Ça ne passe pas, pestait Kombouaré à la fin du match. J'ai du mal à accepter ce but. On fait ce qu'il faut, et après on se retrouve pénalisé par un manque de rigueur et de discipline. Ça me désole. Il faut parfois être capable quand il y a danger, de faire les efforts et ne pas reculer. Sinon, on se retrouve avec un Maoulida qui fait un contrôle dans les 5 mètres 50 et qui peut allumer Edel...». Un penalty refusé à Luyindula pour une faute de Yahia aurait pu lui épargner une telle frustation (56e).

Avec une équipe inchangée par rapport à celle qui s'était imposée contre Saint-Etienne (3-0), le PSG a globalement dominé les débats. Mais de façon trop stérile pour enchaîner un deuxième succès d'affilée. Les faux pas de Rennes (0-1 à Monaco) et Lorient (1-2 contre Marseille) lui permettent tout de même de grignoter deux places : 8e à quatre points du podium. Pour les Sang et Or, ce point récolté à l'extérieur est une confirmation du mieux-être affiché depuis quelques semaines. Les joueurs de Jean-Guy Wallemme viennent de prendre treize points sur dix-huit possibles. Leur marge d'avance sur le premier relégable est de sept unités. - E. T.

Club internet sport

Kombouaré : «Très déçu»
Battu à Rennes (0-1), le Paris-SG n'a pas réussi à se relancer. Son entraîneur Antoine Kombouaré n'a pas mâché ses mots à l'issue de la rencontre. «Je suis très déçu de la deuxième mi-temps car j'attendais autre chose, un autre visage. On n'a pas été capable de défendre et de jouer, surtout, et pas capable de faire vivre le ballon», a-t-il regretté. Le coach parisien a surtout montré du doigt la création, coupable selon lui d'un manque de maîtrise flagrant : «Les occasions qu'on a eues en début de match... Il faut tuer le match ! Il faut être capable de mettre le doute chez l'adversaire et ça passe par un but. Mais on a eu trop d'insuffisances techniques pour mettre nos attaquants dans les meilleures conditions pour marquer.

Club internet "sport"

Paris assure sans forcer

Souvent décevant ces dernières semaines, le Paris-SG a réalisé un festival offensif au Parc des Princes devant la lanterne rouge Grenoble (4-0).

Grenoble a peut-être laissé ses dernières illusions de maintien au Parc des Princes, mercredi. Et contrairement à ce que laisse croire le score (4-0), les hommes de Mecha Bazdarevic n'ont pas démérité. Mieux, ils ont fait tanguer le vaisseau parisien, qui vogue sur des eaux mouvementées depuis le début de la saison. Dire que les Isérois ont été dominateurs au cours de cette rencontre est une première vérité. Dire qu'ils méritent leur place en est éventuellement une deuxième, tant le GF 38 a eu des possibilités pour faire douter des Parisiens, étonnamment amorphes mais à la fois sûrs de leur fait. Tant aussi Grenoble s'est montré incapable de concrétiser ces occasions.

Les deux premiers buts du PSG, rapidement inscrits par Luyindula (1-0, 9e) puis Armand (2-0, 18e), ont d'ailleurs écrit une partie majeure du scénario de la rencontre. Avec deux buts encaissés de manière trop précoce, Grenoble a piqué du nez au milieu de la première période, et il a sans doute fallu un passage aux vestiaires et un discours guerrier de Mecha Bazdarevic pour remotiver les troupes. Ljuboja et ses compères ont bien compris qu'un retour, a priori invraisemblable, passait par le jeu et uniquement le jeu. Mais l'inefficacité latente et surtout la solidité du duo parisien Sakho-Camara, ont finalement eu raison de leur volonté.

Pire, ce sont deux nouveaux coups de poignards assénés dans les vingt-cinq dernières minutes de la partie par Erding (65e) et Jallet (80e, 4-0), bien aidé sur cette dernière réalisation par Le Crom, qui ont sonné comme un arrêt de mort pour la lanterne rouge. Paris a tangué, et c'est encore et toujours lorsqu'il souffre qu'il arrive à tirer son épingle du jeu. Du côté du GF38, on se demande si perdurera le discours optimiste et courageux de Bazdarevic - «on ne lâchera jamais», disait-il. - Y. B.

Club internet "sport"

Le PSG s'est fait une raison

Après avoir menacé d'aligner son équipe réserve contre Aubervilliers, dimanche, en raison de la programmation du match à 20h45, le PSG s'en remet à Kombouaré. A qui il a été demandé de qualifier le club pour les 16es.

C'était le 18 décembre, juste après la programmation du match PSG - Aubervilliers en clôture des 32es de finale de la Coupe de France, ce dimanche à 20h45. « S'il faut faire jouer l'équipe de CFA le dimanche et les pros le mercredi, on le fera. » Philippe Boindrieux, le directeur général, se disait prêt à employer la manière forte pour faire respecter le droit de son équipe à avoir trois jours de repos complet avant le Guingamp - PSG de Coupe de la Ligue programmé mercredi après-midi (8es de finale).

Depuis, de la neige est tombée et de l'eau a coulé sous les ponts. Si « rien ne dit que ce sera l'équipe-type » souffle-t-on au Parc des Princes, la décision de brader ou pas le match appartient désormais au seul Antoine Kombouaré. « Le coach réfléchit à l'équipe qu'il va mettre et il en parlera à sa conférence de presse, nous a déclaré le directeur de la communication du club, Bruno Skropeta. C'est le coach qui gère le sportif. Et quand on a dit ça à l'époque, c'était en accord total avec lui. » Avant de partir en vacances, le président Robin Leproux avait cependant indiqué que son club jouerait la qualification lors des deux matches. En gros : qu'il n'en sacrifierait aucun pour faire passer son humeur. « Le PSG ne va pas saborder la Coupe de France » confirme Bruno Skropeta. Pour un huitième de finale de la Coupe de la Ligue, ce serait assez peu défendable, quitte à donner l'impression de se déballonner. « Ce n'est pas la question, nous répond Philippe Boindrieux. C'est simplement que c'est à l'entraîneur de faire ses choix avec deux matches très rapprochés. »

Qu'il n'aille pas au bout de son idée initiale ne signifie pas que le PSG a décoléré. « On n'apprécie toujours pas l'horaire ni la façon dont ça s'est déroulé » confirme Bruno Skropeta. « On voulait faire de ce rendez-vous une belle fête francilienne, avec des enfants dans le stade. L'horaire du coup d'envoi fait que ça ne sera pas possible », regrette Philippe Boindrieux. « Le terrain sera gelé et il n'y aura pas une foule énorme, abonde le porte-parole du club. Un dimanche à 15 heures, on pouvait imaginer avoir tous les enfants et 25 à 30 000 personnes. Là, ce sera énorme s'il y en a 15 000. » Le PSG se définit comme « le grand perdant de l'histoire » après avoir inversé l'ordre du match et assumé les frais qui vont avec.

Dans ce dossier, le club s'est senti parfaitement impuissant face à la volonté commune de la FFF et du diffuseur, Eurosport. « Nous sommes obligés de nous incliner », regrette Bruno Skropeta. « On nous explique que même si ce n'est qu'Aubervilliers -et je dis ça sans manquer de respect à ce club- l'affiche, en terme d'audiences, est toujours plus intéressante qu'un Monaco-Tours par exemple, lâche Philippe Boindrieux. Au-delà, c'est hallucinant. Ça fait quatre ans que je suis dans le foot, quatre ans que j'entends qu'il faut moins jouer l'hiver ; Or, systématiquement, on nous colle deux matches par semaine en janvier-février. Tant qu'on aura un L1 à 20 clubs avec une Coupe de la Ligue à jouer, on n'y arrivera pas.» La FFF pourra toujours rétorquer que ce problème n'est pas le sien mais celui de la LFP. - Cé. Ro. et E. T.


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