[Entraineur] "le president" BLANC

Bordeaux - Blanc :«Dans le bon sens»

L'entraîneur des Girondins de Bordeaux, Laurent Blanc, revient sur le résultat nul concédé mardi par les siens, face à l'Aris Salonique (1-1), au Parc des sports de Capbreton. N'ayant toujours pas remporté la moindre victoire en trois matches amicaux, les Girondins de Bordeaux ont néanmoins affiché de bonnes dispositions, avec un effectif se garnissant au fur et à mesure.


« Laurent Blanc, quelle analyse faites-vous de cette rencontre ?
Je pense que les garçons entrent petit à petit dans leur saison. Aujourd'hui, certains joueurs ont frôlé l'heure de jeu, ce qui est bon signe. Il y a eu des choses intéressantes tant en première période, qu'en début de seconde. Cette heure de jeu a été très riche en enseignements, et c'est avec les joueurs qui y ont participé, que nous allons essayer de travailler et de produire du jeu.


Comment avez-vous trouvé la dernière recrue bordelaise, David Bellion ?
David, je l'ai trouvé bien. Il a marqué un but. Il est nouveau au club, mais on connaît ses qualités et, au même titre que d'autres joueurs, il faut qu'il trouve certains repères avec ses coéquipiers, ce qui n'est pas facile. Mais mieux il va s'intégrer au groupe, mieux il va se sentir... c'est une évidence ! Et nous avons deux nouveaux, maintenant, qui doivent s'intégrer. Ce n'est pas simple, mais trouver les automatismes s'acquière avec le travail, au fil des entraînements. Ça va dans le bon sens !


Bordeaux n'a toujours pas gagné le moindre match. Cela vous inquiète-t-il ?
Non, non... Mais je dis souvent aux garçons que, quand je suis dans une compétition, je veux toujours gagner. Que ce soit aux cartes, à la pétanque, au bowling, aux échecs ou aux dames, je le veux ! Il est évident que lors des deux premiers matches, il était difficile d'avoir une analyse, vu le contexte. Tandis que là, on peut en faire une sérieuse, face à une bonne équipe, qui est en pleine préparation elle aussi. On dira donc, que l'on a pris notre premier point ! Et si le résultat s'était soldé par une défaite ou une victoire, l'analyse aurait été la même. Alors, cela a de l'importance, certes, mais pas une importance capitale pour moi... Du moins, pour l'instant !


Mais il serait préférable de cumuler les victoires, avant l'échéance du 4 août, face à Lens...
A l'époque, lorsque que jouais en Italie, j'ai fait une préparation avec l'Inter de Milan, durant laquelle nous avions disputé douze matches amicaux... pour autant de défaites ! Ensuite, au bout des six premières journées, nous étions premiers au classement ! Cela reste relatif, mais si l'on veut gagner, on fait comme les Allemands ou les Italiens, et lors des trois premiers matches de préparation, on joue contre des amateurs ! Personnellement, j'aurais souhaité jouer contre des amateurs, pour attaquer par une victoire, et mettre les joueurs en confiance. Mais bon, c'est comme ça, il faut faire avec.


Bordeaux a évolué en en « 4-1-2-1-2 » face à Salonique. Cette configuration tactique se rapproche-t-elle de celle que vous utiliserez en championnat ?
Elle nous donne certaines informations, mais je ne pense pas que cela déterminera mon système de jeu durant la saison. Mais, comme Johan Micoud risque d'être suspendu pour le premier match, dans la mesure où nous ne sommes pas sûrs qu'il y ait une amnistie, comme cela se fait parfois en début de championnat, nous allons voir... Par conséquent, il faudra aussi composer avec cette malchance-là. Mais je préfère ne pas en tenir compte. Ce qu'il faut, c'est produire du jeu et s'habituer à des systèmes de jeu, et non pas à un seul. Disons que nous sommes des joueurs de haut niveau et, exception faite d'une certaine base défensive, nous devons être capables d'évoluer dans ces systèmes de jeu-là et de nous adapter, tout en étant un peu plus stables.

Blanc dévoile-t-il son jeu ?

Malgré l’enjeu, Laurent Blanc s’est passé de plusieurs titulaires contre Anderlecht. Un choix étrange qui pourrait se traduire par la ferme intention du « Président » d’aller désormais chercher le titre.

Il y a des coaching qui font davantage parler que d’autres. Celui de Laurent Blanc jeudi soir fait partie de ceux qui laissent songeur. Notamment par rapport à l’équipe alignée au coup d’envoi face à Anderlecht. Un onze de départ dans lequel ne figurait en effet pas Fernando Cavenaghi. L’Argentin est le meilleur buteur bordelais de ce début d’année, possède le meilleur ratio temps de jeu/buts marqués de Ligue 1 et donne actuellement l’impression d’être décisif à chaque fois qu’il a le ballon dans les pieds. Pourtant, pour un ce seizième de finale retour, Laurent Blanc a préféré se passer de lui durant très précisément 52 minutes…

On peut d’autant plus s’interroger sur l’absence de Cavenaghi - mais également de Micoud et Wendel, autres joueurs en forme - que le score au match aller obligeait les Bordelais à se montrer efficaces dans le dernier geste. Ce qui n’a pas vraiment été le cas jeudi car Bellion n’est plus pour le moment le joueur réaliste du début de saison et que Chamakh n’a jamais été un réel tueur des surfaces sous le maillot de Bordeaux. Mais là n’était pas le problème pour l’entraîneur des Girondins qui reconnaissait après le match que son objectif n’était pas forcément de marquer rapidement. « Nous voulions rester le plus possible à 0–0 et obtenir la qualification dans les 25 dernières minutes », déclare-t-il sur le site du club. C’est donc pour ça qu’il n’a fait entrer ses meilleurs atouts qu’en seconde période.

Cette « timidité » dans un rendez-vous européen si important cache probablement autre chose. En décidant de se passer de ses éléments les plus en forme, le « Président » a adopté une stratégie qui ressemble surtout à une volonté de préserver son effectif dans l’optique du championnat. Car les Bordelais ont beau crié à qui veut les entendre qu’ils ne pensent pas au titre, cette course au Lyon est devenue leur but majeur en cette fin de saison. Plutôt que de prendre le risque de se présenter avec une équipe émoussée contre Lille samedi, Blanc a donc préféré « sacrifier » la Coupe de l’UEFA. L’avenir lui donnera peut-être raison. Peut-être même dès samedi où un succès bordelais conjugué dans le même temps à un nul lyonnais placerait les Girondins pour la première fois de la saison aux commandes. Les supporters de Chaban-Delmas n’auraient plus alors qu’à applaudir des deux mains le coaching de leur entraîneur.

[°..Football365..°]

J'aimerais vraiment que Bordeaux chipe le titre a Lyon ..

ben moi j'aimerais pas trop...

Laita a écrit:

ben moi j'aimerais pas trop...

pourquoi?

T'as pas de souci à te faire Laita à mon avis !

Félication a Laurent Blanc qui a etaut élu meilleur entraineur de la L1. Une belle recompense pour lui est le staff en général.

Ca ne m'etonne pas BRAVO laulau

ui chapeau a mr blanc pour sa saison !

Blanc et la grève

En marge du point presse d'avant Lorient-Bordeaux organisé ce jeudi au Haillan, et suite à une visite sur place des représentants de l'UNFP, Philippe Piat et Bob Senoussi, Laurent Blanc a tenu a préciser certaines choses au sujet de la menace de grève planant sur le championnat, encouragée par le syndicat des joueurs. «Les gens spécialisés savent exactement ce qu'il se passe actuellement, affirme le technicien girondin. Mais au niveau de la communication interne, il est urgent et important d'expliquer aux joueurs quelle est vraiment la cause de cette situation, car je ne suis pas persuadé que les ceux du championnat de France soient au courant de ce qu'il se passe au Conseil d'administration de la Ligue. Un mouvement de grève a déjà été annoncé, et lorsque pareille chose arrive, mieux vaut que les personnes censées le porter soient informées de la cause qu'elles défendent, parce que sinon, à un moment donné, ça n'ira pas !»


Une initiative qui n'est pas sans rappeler un précédant mouvement datant de 1991, et interrompu grâce à l'action conjuguée de Laurent Blanc et Luis Fernandez. Les deux hommes étant alors intervenus dans le débat au sujet d'un article du règlement administratif qui indiquait, selon Philippe Piat, qu'en «fin de contrat», un joueur devait «payer» une «indemnité de promotion». Une application d'article finalement stoppée par la Fédération, suite aux pressions des deux hommes, et aux décisions conséquentes prises par le Ministère du travail et le Conseil d'Etat.

«Il faut défendre la cause, mais je pense qu'il s'agit plus, cette fois-ci, de choses ancrées dans des constitutions difficiles à changer, confesse le "Président", qui n'a pas la mémoire courte. On met une pression parce qu'il faut bien en mettre une, mais je crois que cela n'ira pas jusque-là. La seule qui est allée jusqu'au bout et qui a porté ses fruits, c'est celle qui a abouti au "contrat à temps", lequel était vraiment très important, et qui a changé le football et la vie des footballeurs. Là, je pense qu'il est plus question de postes à pourvoir au Conseil, et de "guéguerre" entre pouvoirs, et que ça va se régler en interne.» Affaire à suivre, donc. - Laurent Brun, au Haillan.

msn.fr

Blanc «n'a rien demandé»

Laurent Blanc a réagi vivement jeudi à l'intervention de Jean-Louis Triaud qui indiquait plus tôt dans la semaine que son club était prêt à le libérer pour qu'il «assure un intérim» au poste de sélectionneur national.

Laurent Blanc a profité de la conférence de presse organisée jeudi par les Girondins, pour réagir - plutôt vivement - à l'intervention de son président, Jean-Louis Triaud, qui indiquait mardi que le technicien bordelais serait autorisé par le club à «assurer un intérim» au poste de sélectionneur national, en cas de difficulté avec Raymond Domenech.
«Je crois sincèrement qu'il faut arrêter avec ça, a-t-il indiqué avec fermeté. Je veux bien que l'on parle de l'équipe de France, du staff technique, du sélectionneur, même si je pense que vous [aux journalistes, ndrl] en parlez trop. Le problème, c'est que vous m'incluez là-dedans. Je n'ai rien à voir avec ça, et je n'ai rien demandé. Que les choses soient bien claires : s'il y avait eu un choix à faire concernant le sélectionneur, je l'ai déjà dit, c'était après l'Euro. La confiance en Monsieur Domenech a été maintenue, avec comme objectif de se qualifier pour la Coupe du monde. Comme c'est encore faisable, laissez-le tranquille et ne me mettez pas au milieu, une bonne fois pour toutes!»

«Mon président a répondu un peu naïvement à une question à laquelle il n'aurait pas dû répondre, juge Blanc avec ironie mais sans amertume, mais il est tellement poli qu'il l'a fait. Cette question n'aurait pas dû être posée. Laissez le staff technique travailler, et de grâce, ne me mettez pas au milieu, car j'ai assez de travail et de motivation avec les Girondins.» Laurent Blanc, de toute façon, ne souhaite pas cumuler les casquettes. «Pour moi, diriger un club et une sélection en même temps, ce n'est pas possible. En l'occurrence, me concernant, il n'en a jamais été question.» Tout est clair, désormais. - Laurent BRUN, au Haillan.


msn.fr

BLANC : « ON EST AU FOND DU TROU »

«On peut dire que l'on est au fond du trou, mais (...) on peut aussi espérer obtenir une réaction,» a lâché Blanc après la défaite face à Nancy (1-2).


Troisième défaite en huit jours pour Bordeaux, qui perd la tête du Championnat après sa défaite à domicile face à Nancy (1-2).

Ce ne sont plus des turbulences qui rythment le quotidien maussade de Bordeaux. C'est carrément la tempête qui secoue l'Aquitaine. A l'arrêt, les Girondins viennent de s'incliner sur leur pelouse face à Nancy (1-2), leur troisième défaite en huit jours après les revers contre Marseille (1-3) en finale de Coupe de la Ligue et Lyon (1-3) en C1. Le moins que l'on puisse dire, c'est que les protégés de Laurent Blanc n'ont pas préparé au mieux la venue de l'OL mercredi en quart de finale retour de la Ligue des champions. Même s'il faut relativiser un minimum - Blanc avait ménagé Chamakh, Wendel et Plasil au coup d'envoi -, cette nouvelle contre-performance va encore entailler un peu plus la confiance d'un groupe qui souffre.

Ce qui inquiète le plus à Bordeaux en ce moment, c'est la défense. Autrefois grand point fort, elle ne cesse d'afficher une extrême fébrilité. Dépassée contre l'OM et Lyon, elle est encore passée au travers devant les attaquants nancéiens. Sous les yeux de Pauleta, Hadji a pris de vitesse Henrique sur le premier but du match (18e). L'égalisation de Cavenaghi, lequel a prolongé dans le but une tête d'Alou Diarra, a un temps seulement rassuré Bordeaux (28e). Mais, en seconde période, Dia a enrhumé Chalmé puis Henrique avant de tromper Carrasso d'un tir croisé en fin de course (72e).

Et dans ces moments là, quand ça ne va pas, les tuiles ont tendance à s'enchaîner. Laurent Blanc peut déplorer les blessures de Fernando et Cédric Carrasso. Le premier est sorti en cours de jeu en raison d'un méchant coup reçu à un oeil. Le portier s'est lui blessé à l'adducteur droit sur l'action du deuxième but. S'il a boité bas durant les vingt dernières minutes, il est resté en poste jusqu'à la fin d'autant que son entraîneur venait d'effectuer son triple remplacement. Dur ! - D. Mi.


msn.fr

Blanc : «On n'y est plus»

Après la défaite à Valenciennes (0-2), le coach girondin a considéré qu'avec cette équipe-là, il n'y a plus rien à espérer.


Battu à Valenciennes (0-2) en match en retard, Bordeaux a désormais grillé tous ses jokers. Laurent Blanc, qui a dirigé une équipe amputée de nombreux cadres à Nungesser, est franc : ces Girondins-là ne peuvent rien espérer.

«Laurent Blanc, on a l'impression que les journées se suivent et se ressemblent. Bordeaux n'arrive pas à s'en sortir...
Non. C'est un constat et vous faites le même que moi. Que rajouter de plus ? Je crois que c'est une évidence. Nous n'avons plus les forces mentales, physiques ou techniques pour mettre en danger l'adversaire et on a l'impression que l'adversaire, contre nous, fait de bons matches, a de bonnes individualités. C'est certainement le cas pour Valenciennes. Mais c'est aussi dû à nos faiblesses actuelles.


Qu'est-ce-qui se passe ?
Si je le savais... Vous le voyez comme moi. Ce que je veux dire, c'est que nous avons de bonnes intentions au début des matches. Mais, dès que ça commence, on sent que nous sommes poussifs. Dès qu'une situation se présente en face... Là, on sait très bien que Pujol est bon de la tête, par exemple. Sur le seul centre qu'ils ont en première période, Pujol marque de la tête. En ce moment, nous sommes trop faibles dans le jeu pour espérer quoi que ce soit.

Que dites-vous aux joueurs dans les vestiaires, après match ?
Pas grand-chose. A un moment donné... Parler, on l'a déjà fait. On l'a beaucoup fait. Force est de constater que les joueurs et le staff sont conscients du fait qu'on ne peut rien espérer de plus dans la période actuelle.

C'est une forme d'impuissance, aujourd'hui ?
Oui, mais ce n'est pas qu'aujourd'hui. C'est malheureusement le résumé depuis pas mal de journées. Je pense que depuis la non-qualification en Ligue des champions, l'équipe a vraiment marqué le coup et n'y est plus mentalement. C'est un dur constat mais c'est un constat qu'il faut faire.

Est-il utopique de continuer de parler d'Europe ?
En ce moment, même parler d'une victoire serait utopique. J'espère que nous aurons une réaction d'orgueil devant notre public dimanche (NDLR : réception de Toulouse). Je pense que ce public le mérite. Les joueurs en seront-ils capables ? En auront-ils la force ? On verra cela dimanche.» - Olivier MAILLARD, au Stade Nungesser de Valenciennes


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2trange ce discours... Je sais que c'est difficile mais de là à baisser les bras...

Blanc, départ samedi ?

Selon francefootball.fr, Laurent Blanc devrait quitter ses fonctions d'entraîneur des Girondins de Bordeaux à l'issue de la 38e journée samedi.


Selon nos confrères de francefootball.fr, Laurent Blanc va quitter Bordeaux à la fin de la saison. Son président, Jean-Louis Triaud, devrait officialiser la nouvelle sur M6 samedi soir ou dimanche matin. Dernier obstacle à surmonter : Triaud aimerait annoncer le nom du successeur de Blanc, mais il ne l'a pas encore trouvé.

Les noms d'Eric Gerets, Jean Fernandez et Paul Le Guen circulent avec insistance. Celui de Blanc est annoncé depuis plusieurs semaines du côté de la Fédération française, puisqu'il est fortement pressenti pour prendre la succession de Raymond Domenech.


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