Le RC Strasbourg au quotidien

brAv0 lE RaCinG de JPP

Enfin L'EST de la france sera ultra represente!!!

Strasbourg , Metz , Nancy!

STRASBOURG / JEAN-PIERRE PAPIN :


« C’était une mission très compliquée »


En prenant en mains Strasbourg en début de saison, Jean-Pierre Papin savait qu’il ne choisissait pas la manière la plus simple de lancer sa carrière d’entraîneur pro. Fan de défis, JPP y a cru. Et ça a payé.

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Jean-Pierre Papin et Strasbourg doivent régler des détails juridiques avant d'annoncer leur séparation. Dans les DNA, JPP ne critique pas Philippe Ginestet, son président, mais tacle le coordinateur sportif Fehrat Khirat.

Pour Jean-Pierre Papin interrogé par les DNA, « ce qui est sûr, c'est que le président n'est pas en cause. Toute ma vie, je remercierai Philippe de m'avoir mis le pied à l'étrier et permis de ramener le Racing en Ligue 1. Et quand je dis qu'il n'y a jamais eu de soucis avec lui, c'est la vérité.
A Strasbourg, j'ai découvert un club formidable, des supporters "extra". Je n'ai pas envie de lui porter préjudice. Personne ne m'a manqué de respect. Personne, sauf une personne qui est la cause de tout ce remue-ménage. Je ne lui pardonnerai jamais. »

Cette personne, c'est le coordinateur sportif du club, Fehrat Khirat : « Depuis le stage d'avant-saison à Megève, il nuit à la bonne marche du groupe. C'est quelqu'un qui n'a aucune légitimité dans ce milieu, qui cherche par tous les moyens à exister et qui veut faire comme un grand. Au final, c'est un grand bouffon. L'humiliation, c'est moi qui la porte à travers tous ces événements. […] Il a sans cesse cherché à décrédibiliser mon travail, en dressant les joueurs les uns contre les autres. Mon adjoint, Séb (Migné), a aussi été mis plus bas que terre. Partout où il est passé, il a semé la zizanie. Il a mis les bâtons dans les roues à tout le monde. Je n'oublierai pas qu'il a contacté Jean-Marc Furlan dès le mois de décembre..."

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Jean-Pierre Papin, qui est toujours officiellement l'entraîneur de Strasbourg, a déclaré que son départ du club alsacien était quasiment entériné.

Jean-Pierre Papin va quitter Strasbourg ! C'est désormais plus qu'une question d'heures. Dans un entretien au quotidien les Dernières Nouvelles d'Alsace, il a notamment déclaré que la décision « est quasiment entériné(e) ». « Il ne reste que quelques détails d'ordre juridique à régler », explique-t-il.

Jean-Pierre Papin en veut en tout cas à Fehrat Khirat, le coordinateur sportif : « Il a sans cesse cherché à décrédibiliser mon travail en dressant les joueurs les uns contre les autres (...) Partout où il est passé, il a semé la zizanie. Il a mis des bâtons dans les roues à tout le monde. Je n'oublierai pas qu'il a contacté Jean-Marc Furlan dès le mois de décembre », affirme-t-il. Jean-Marc Furlan, ancien entraîneur de Troyes, qui devrait prendre en main le RCS.

Principal artisan de la remontée en L1, Jean-Pierre Papin ne poursuivra pas son aventure sur le banc alsacien. Poussé vers la sortie, il devrait être remplacé par Jean-Marc Furlan, l’ex-coach de Troyes.

« Reviens, JPP reviens. » Il y a quelques années, les Guignols de Canal+ avaient lancé une nouvelle mode musicale en réclamant le retour en France d’un Jean-Pierre Papin abonné au banc de touche à Milan. Plus de dix ans plus tard, Philippe Ginestet a remixé ce tube à sa sauce. Une sauce piquante pour accompagner le départ d’un Jean-Pierre Papin qui ne dirigera donc pas le Racing Club de Strasbourg en Ligue 1. Un an après sa nomination sur le banc alsacien et malgré la réussite de l’opération « remontée », le jeune entraîneur n’a pas été reconduit dans ses fonctions. Le dénouement d’un improbable feuilleton à rebondissements que personne n’imaginait vraiment il y a quelques semaines alors que JPP et son président fêtaient l’accession en L1 bras dessus-dessous. Seulement voilà, il s’est dit et passé beaucoup de choses depuis cette belle soirée du 18 mai. Et Philippe Ginestet, homme fort du Racing, a finalement opté pour un divorce avec son coach.

Malgré les interrogations des dirigeants, malgré les critiques privées ou publiques de certains membres du club (la figure de proue de ce mouvement étant le défenseur Jean-Christophe Devaux), Jean-Pierre Papin aurait dû se voir félicité de son travail. Or il n’en a rien été. Une étonnante escalade verbale aboutit à une première déclaration explosive de JPP. « Je ne partirai pas de moi-même, lançait ainsi l’ancien Ballon d’Or dans les colonnes de l’Alsace. Il y a huit jours, nous fêtions l’accession. Aujourd’hui, on me taxe de tous les maux et je suis la cible de toutes les critiques. C’est dur à encaisser. Je me demande quel crime j’ai bien pu commettre pour mériter ça. A mes yeux, un entraîneur qui réussit sa mission a raison. Il faut croire que non. L’an dernier à Strasbourg, on a viré un entraîneur qui descendait en L2. Cette année, on risque d’en virer un qui remonte en L1. »

Furlan, candidat déclaré et retenu

Le 31 mai, il n’est pourtant plus question de licenciement mais de reconduction. Papin est alors confirmé à son poste par un président Ginestet qui se veut alors rassurant. « Tout au long de la saison dernière, nous avons roulé sur les routes cabossées de Ligue 2. Une révision du véhicule ainsi que quelques réglages s’imposaient avant de repartir sur les routes de Ligue 1, qui s’annoncent encore plus difficiles. Jean-Pierre a quitté la Ligue 1 voilà près de dix ans, il y reviendra donc en 2007 grâce au Racing ! En accord avec lui, un deuxième adjoint viendra probablement renforcer le staff en place en fonction des opportunités du marché. C’est à l’entraineur que reviendra la décision de choisir cette personne qui permettra d’apporter une expérience complémentaire au staff en vue de la saison en Ligue 1. »

L’union sacrée ne dure pourtant que 24 heures. Dès le lendemain, JPP est aperçu avec le directeur général de Lens et Philippe Ginestet y voit sans doute une trahison. Dès lors, le départ de l’ancien joueur de Marseille est inéluctable. Un nom apparaît même très vite pour assurer la succession : Jean-Marc Furlan, condamné à quitter Troyes pour cause de relégation. Le technicien aubois annonce qu’il n’entamera aucune discussion avec Ginestet tant que la situation de Papin ne serait pas éclaircie. Mais son dossier de candidature est posé en tête de liste sur le bureau du président alsacien. Restait seulement à négocier le départ de JPP et de son adjoint Sébastien Migné. C’est chose faite puisque les deux hommes ont renoncé à leur dernière année de contrat en échange d’une indemnité de 500 000 €. Laissant ainsi la place à Jean-Marc Furlan qui devrait s’engager pour deux saisons avec le RCS. En lui espérant de meilleurs lendemains que Papin en cas de maintien l’an prochain…

Il a prit la grosse tete malheureusement! A Furlan de jouer maintenant!

Ginestet en colère

Devant la rumeur grandissante qui voudrait que le RC Strasbourg soit mis prochainement en vente, le président strasbourgeois Philippe Ginestet, agacé, a réagi dans les colonnes des Dernières Nouvelles d'Alsace.

Philippe Ginestet ayant visiblement un total de 4,5 millions d'euros à rembourser (2,5 M€ aux actionnaires historiques, 1M€ pour le déficit de la saison et autant pour Duguépéroux et 600 000 euros pour Papin et son adjoint Migné), une rumeur de plus en plus forte au fil des semaines voudrait que le RC Strasbourg soit prochainement à vendre. Enervé par cette rumeur grandissante et persistante, le président strasbourgeois tape du poing sur la table dans l'édition de samedi des DNA.

« C'est désolant d'entendre, comme l'an dernier à pareille époque, ce genre de rumeur. Entre le fait de dire que l'apport d'un partenaire serait le bienvenu et carrément vendre le club, il y a un monde. Je pars du principe qu'il vaut mieux être seul que mal accompagné » tonne Ginestet, avant de poursuivre plus fermement : « Le Racing n'est pas à vendre. Ni aujourd'hui, ni demain. »

ils font un debut de saison de folie nos amis alsaciens!

Ginestet lâche la ''task force''

Le président du club de Strasbourg, Philippe Ginestet, a annoncé qu'il allait démissionner de la ''task force'' liée à l'arbitrage créée par la FFF et la LFP. «Je suis furieux de l'arbitrage ce soir à sens unique, c'est inacceptable, a déclaré le dirigeant alsacien après la défaite de son équipe contre Lyon (1-2), arbirtée par M. Ennjimi. A 1-0 pour nous, l'arbitre a brisé l'élan d'une équipe qui joue pour sa survie». Strasbourg a été réduit à dix suite à l'expulsion d'Eric Mouloungui à la 45e minute après un deuxième avertissement.


«On se demande si c'est du football ou du business avec des intérêts économiques à protéger», a ajouté M. Ginestet devant les caméras de Canal+. D'ordinaire plus mesuré, Jean-Marc Furlan a partagé ce dépit : «Il ne s'agit plus de faits de jeu, mais d'un match qui a été mis à l'envers et détruit». «Les deux premières fautes de Rodrigo et Mouloungui sont bénignes et on peut patienter avant de les sanctionner d'un carton jaune, estime l'ex-entraîneur de Troyes. Après cela change les données du match car un joueur ne joue pas de la même manière quand il est averti. Les joueurs ont fait un bon match, montrant leur courage pour rester en Ligue 1 face à une équipe haut de gamme. Ils ont un sentiment de colère et de frustration. Quand on est petit c'est compliqué, c'est toujours la même histoire: c'est le pot de fer contre le pot de terre. Sur le plan sportif c'est invivable et très douloureux. Mais notre métier est d'avoir la foi. Il reste des matches pour lutter».


Mais Saïd Ennjimi a assumé sa décision face aux caméras du diffuseur de la L1. «L'objectif était de protéger l'intégrité physique des joueurs. Il y a un arbitrage unique pour toutes les équipes.» Alain Perrin a eu une phrase plus dure à déchiffrer : «J'ai trouvé qu'il y avait des ''choses'', comme d'habitude, mais je ne veux pas polémiquer».


(Avec AFP) - msn.fr

Strasbourg: Furlan s'excuse

21/04/2008 - 19:00

Auteur de propos insultants à l'encontre de Fabio Grosso, samedi soir lors de la rencontre opposant son club à l'OL, Jean-Marc Furlan, l'entraîneur du RC Strasbourg, a répondu dans un communiqué. "Je tiens à présenter mes excuses auprès du joueur Fabio Grosso si mes propos l'ont blessé. Je m'inscris donc en faux face à cette tentative de dérive et souhaite, à présent, m'atteler, avec l'ensemble du Racing Club de Strasbourg, à ma mission prioritaire, à savoir le maintien", explique l'ancien Troyen, sur le site du club, avant de préciser: "Par ailleurs, le mot racisme m'est totalement étranger et, ayant des origines directes italiennes, je ne peux accepter que certains puissent mettre en cause mon attachement à l'égard de ce pays."

orange.fr

On en a pas parlé. Pourtant c'est grave comme histoire !

Dos Santos libéré

Manuel Dos Santos, le défenseur de Strasbourg, ne portera plus le maillot du club alsacien la saison prochaine. D'après L'Equipe de jeudi, le contrat de l'ancien Marseillais et Monégasque, aujourd'hui âgé de 34 ans, a été résilié. Il a disputé 36 matches de L1 cette saison.

msn.fr

RCS-Furlan: "Cette victoire fait du bien"

L'entraîneur du Racing Club de Strasbourg, qui n'avait plus connu la victoire en match officiel depuis le 1er mars 2008 (contre Le Mans, victoire 1-0) s'est montré soulagé par la victoire des siens face à Montpellier (1-0), lundi soir, en match décalé de la première journée de L2: "Dans le vestiaire, il y a eu une joie immense de tous. Ce succès nous donne de la confiance avant le déplacement à Dijon, vendredi soir. Cette victoire fait en tout cas beaucoup de bien au Racing", a expliqué Jean-Marc Furlan sur le site officiel du club.
Newsweb

Ligue 2: Metz et Strasbourg co-leaders

La 2e journée de Ligue 2 a souri vendredi aux équipes de l'Est puisque Metz et Strasbourg ont été les seules formations, déjà victorieuses il y a une semaine lors de la reprise, à doubler la mise pour s'emparer des commandes du classement. En déplacement à Dijon, les Strasbourgeois l'ont emporté (3-1), tandis que Metz, qui accueillait Tours à Saint-Symphorien, a dominé son adversaire sur un but inscrit dans les arrêts de jeu (1-0). Lundi, la dernière rencontre de la journée opposera, dans un choc des extrêmes, Vannes à Lens (en direct sur notre site dès 20h45).
Newsweb