La Liga

il doit l'avoir mauvaise Luis! il parlait d'aller entrainer une selection africaine...

Enorme le multiplex!!
merci Pedro de m'avoir fait penser à C+ SPORT

Et vive le règlement à la con ^^

Enfin ceci dit, j'étais pr Séville.

Villarreal qui finit en boulet de canon !

Enorme la soirée multiplex Liga sur Canal+ Sport.

Est le Real Madrid a réussi a revenir sur son match je trouve sa énorme.

félicitations aux galactic !

Ca a changé Laita, c'est les Hermetics maintenant!

Bouffée d'air pour Valence

Sorti de la scène européenne et en perdition en Liga (une seule victoire lors des 10 dernières journées), Valence s'est offert un bon bol d'air en se qualifiant mercredi soir pour les demi-finales de la Coupe du Roi (Photo Reuters). Battus (3-2) à Madrid par l'Atletico, les Valencians passent au bénéfice de leur victoire au match aller (1-0). Getafe, finaliste de l'épreuve en 2007, s'est également qualifié malgré sa défaite 2-1 à Majorque (victoire 1-0 à l'aller). Les deux derniers clubs qualifiés seront connus jeudi soir.


Programme des quarts de finale retour (jeudi) :

Athletic Bilbao - Racing Santander (0-2 à l'aller)

FC Barcelone - Villarreal (0-0 à l'aller)


msn.fr

Le réal de madrid a ECRASER Vallaoid (7-0) !!

Villarreal reste à distance

06/04/2008 - 21:05

Par Olivier CHAUVET de Sports.fr

Le match nul du Real Madrid samedi à Majorque (1-1) offrait une occasion unique à Villarreal, qui se déplaçait dimanche à Séville de revenir à quatre points du leader merengue. Mais le "Sous-marin jaune" s'est incliné (2-0) face aux Andalous qui ont assuré leur succès grâce à Luis Fabiano et Frédéric Kanouté sur penalty. Accroché au Camp Nou par Getafe (0-0) en clôture de cette 31e journée, Barcelone, qui pointe à sept longueurs du rival madrilène, récupère la deuxième place grâce à un meilleur goal-average, mais a de nouveau montré ses lacunes.

Gonzalo et Villarreal ont chuté face au FC Séville de Luis Fabiano (Reuters).Après une impressionnante série de neuf matches sans défaite qui lui a permis de revenir sur les talons du Real Madrid, Villarreal a concédé son huitième revers de la saison à Séville (0-2). Modeste sixième, le club andalou restait pourtant sur deux mauvais résultats face à l'Atletico Madrid (1-2) et sur le terrain du Real (1-3). Mais dans leur antre de Sanchez-Pizjuan, les hommes de Manuel Jimenéz n'ont pas tremblé. Ouvrant rapidement le score par l'intermédiaire du Brésilien Luis Fabiano (1-0, 16e), plus que jamais leader du classement des buteurs de la Liga avec 23 réalisations, les Sévillans ont longtemps tenu ce mince avantage face à la formation de Manuel Pellegrini, qui a parfois confondu détermination et agressivité. Villarreal a en effet écopé de huit cartons jaunes lors de cette rencontre, dont deux ont entraîné l'expulsion de Capdevila en fin de match.

Mais, Frédéric Kanouté, douze buts cette saison, a assuré le succès andalou en fin de rencontre en inscrivant un penalty (2-0, 87e). Grâce à cette victoire, Séville revient dans la course à l'Europe, d'autant plus que son prédécesseur au classement, le Racing Santander a été surpris à domicile par La Corogne (1-3). La quatrième place, synonyme de qualification pour le tour préliminaire de la Ligue des Champions, sera beaucoup plus dure à aller chercher pour les Andalous, puisque l'Atletico Madrid a conforté sa position en étrillant Almeria (6-3), il est vrai réduit à neuf dès la 40e minute de jeu après les expulsions de Pulido et Juanito. En inscrivant tous deux un doublé, Simao et Sergio Agüero ont grandement contribué au succès des Colchoneros. Accroché à Majorque samedi (1-1), Valero ayant répondu à l'ouverture du score de Sneijder, le leader madrilène compte désormais sept points d'avance sur Villarreal et Barcelone, auteur d'une médiocre prestation dimanche soir face à Getafe (0-0).

Trois poteaux pour le Barça

Une fois de plus très décevants malgré la titularisation de Samuel Eto\'o et Thierry Henry, les Catalans se sont toutefois créés beaucoup d'occasions. Les Blaugrana ont en effet heurté par trois fois les montants de Roberto Abbondanzieri. C'est d'abord Eto'o, bien décalé par Xavi qui voyait sa frappe être repoussée par le montant droit du portier argentin de Getafe (16e), alors que dans la foulée Henry ne trouvait pas le cadre (18e). Sûrement frustré par la médiocrité du jeu proposé par ses joueurs, Frank Rijkaard choisissait de réaliser un double changement en début de seconde période: Milito et Eto'o laissaient leurs places aux Mexicains Marquez et Giovani. Ce dernier, par sa vivacité, réussissait à apporter le danger, mais lui aussi voyait son tir à ras de terre finir sur le poteau (54e).

L'entrée de Gudjohnsen offrait des solutions supplémentaires. L'attaquant finlandais déviait astucieusement de la tête pour Xavi, mais le Catalan touchait également du bois (70e). Chanceux, Abbondanzieri prouvait aussi l'étendue de son talent en déviant d'une claquette spectaculaire une nouvelle tête de Gudjohnsen (76e). Excédés au coup de sifflet final, les socios du Barça saluaient la sortie de leurs héros habituels en agitant leurs traditionnels mouchoirs blancs. En manque de réussite, les hommes de Rijkaard ont de nouveau concédé des points bêtement face à une solide formation de Getafe qui a aussi montré qu'elle pouvait être dangereuse en contre par l'intermédiaire de leur attaquant de pointe Manu Del Moral.

Douzième, le club de la banlieue de Madrid, malgré des moyens limités, réalise un championnat convaincant. Difficile d'en dire autant du Real Saragosse, qui, malgré un statut d'outsider sérieux aux cadors de la Liga, a sombré à domicile face au Betis (0-3) et se trouve désormais en position de premier relégable.


orange.fr

Le Barça ne gagne plus en Liga

Le FC Barcelone a connu un double échec samedi au Camp Nou : échec face à son rival local, l'Espanyol qui l'a contraint au partage des points (0-0) ; échec national puisque les deux unités lâchées rapprochent à peine les Catalans du Real Madrid. Huit points d'écart avant le match du leader dimanche sur la pelouse du Racing Santander : si les plus optimistes des supporters du Barça (2e, 60 pts) y croyaient encore, ce résultat aura achevé d'éteindre leur rêve. Les nombreuses occasions des Blaugrana (trois poteaux !) n'auront pas suffi. Conséquence immédiate : Villarreal (3e, 59 pts) peut reprendre la deuxième place en cas de succès dimanche (17h00) contre le Real Valladolid, qui a fait un grand pas vers le maintien lors de ses trois dernières sorties (deux victoires et un nul).

Le 0-0 de Barcelone, le troisième nul consécutif en championnat, peut malgré tout se lire comme une répétition générale intéressante du choc qui attend les hommes de Franck Rijkaard contre Manchester, mercredi en demi-finale aller de Ligue des champions. Même s'il y un monde (une Europe au moins) entre un derby et un duel continental. Aux occasions déjà mentionnées, il faut ajouter la rentrée tonitruante de Lionel Messi après la pause. Le petit argentin (Photo Reuters) revient au bon moment. Aucun Français n'a disputé la rencontre, ni Henry, ni Abidal ni Thuram.

Plus bas dans le classement, la bataille pour la quatrième place n'a eu que des perdants. L'Atletico Madrid (54 pts), douché (1-3) à domicile par le Betis Séville, reste titulaire du précieux sésame, le dernier à ouvrir la porte du tour préliminaire de la Ligue des champions. Le FC Séville (6e, 51 pts) qui avait l'occasion de le lui souffler a reçu plus tard dans la soirée une fessée plus cuisante encore (1-4) sur sa pelouse de Sanchez-Pizjuan devant l'UD Almeria (7e, 48 pts).

Le dernier candidat au hochet, Santander (5e 53 pts), joue dimanche. Le Racing qui reste sur trois victoires en quatre matches mais sur une défaite à domicile devant le Deportivo (1-3), aura cette carotte en tête au moment d'affronter le Real Madrid (19h00). Dans le bas du tableau, le Real Saragosse est revenu à égalité de points de son adversaire du jour, le Recreativo Huelva, premier non relégable qu'il a sévèrement battu (3-0).


J. LB (avec Ph. V.) - msn.fr

Le Real Madrid sur son 31

La plaza de Cibeles a encore vibré une bonne partie de la nuit. Pour la deuxième fois consécutive, la trente-et-unième au total, les supporters madridistes s'y sont donné rendez-vous pour célébrer à leur manière un nouveau titre de champion remporté par leurs protégés. Et peut-être l'un des plus accomplis, du moins au niveau des chiffres. Avec 10 points d'avance sur son dauphin, Villarreal, à trois journées de la fin de l'exercice, le Real, leader depuis... la deuxième journée, a écrasé la compétition de tout son poids. Plus grand nombre de victoires de l'élite (25), plus petit nombre de nuls (3) et de défaites (7, à égalité avec le Barça), meilleure attaque (73 buts inscrits), meilleure défense (31 encaissés)... Contrairement à l'année dernière, où ils avaient arraché le titre lors de la dernière journée, les Madrilènes n'ont cette fois rien laissé au hasard. Ramon Calderon, qui avait pris l'été dernier le risque de se séparer de Fabio Capello, malgré le titre, pour le remplacer par Bernd Schuster et son jeu plus flamboyant, a donc réussi son pari.


Malgré un petit coup de moins bien au mois de février, où il a enchaîné trois défaites en quatre matches, permettant alors au Barça de revenir à deux petits points, le Real n'a finalement jamais vraiment tremblé. L'inamovible Raul, auteur de 17 buts, bien épaulé par un Robinho enfin décisif (10), a réussi à combler la longue absence, sur blessure, de Ruud van Nistelrooy, et le rendement au final décevant des recrues estivales. Robben, Heinze, Pepe, Metzelder, Saviola et Drenthe, peu épargnés par les blessures pour la plupart, n'ont disputé à eux six que 88 matches. L'attaquant néerlandais n'a lui trouvé le chemin des filets qu'à douze reprises, contre 25 la saison précédente. Des absences qui ont peut-être pénalisé le club en Ligue des champions (élimination en huitièmes contre la Roma, 1-2, 1-2) mais pas sur le plan national. Reste à savoir si c'est le Real qui a été trop fort, ou la concurrence (Barcelone, Valence, FC Séville) trop faible...

msn.fr

Espagne: Coupet a signé à l'Atletico

C'est officiel: après douze saisons lyonnaises, couronnées notamment de sept titres de champion de France, Grégory Coupet, 35 ans, a signé un contrat de deux ans en faveur de l'Atletico Madrid, où il retrouvera un autre joueur français, Florent Sinama-Pongolle. Le gardien de l'équipe de France sera présenté mardi à la presse espagnole.
Newsweb

Le Barça et Madrid sans souci

Il n'y a pas eu de changement en tête de la Liga puisque Barcelone et le Real Madrid se sont tous deux largement imposés à domicile. Le Barça (1er avec six points d'avance) a fait littéralement exploser Malaga (6-0), qui est pourtant l'équipe surprise de la saison en Espagne et qui lutte pour la C3. Lors du match aller, les Boquerones s'étaient inclinés 1-4. Ce dimanche, il y avait déjà 4-0 après 43 minutes de jeu... Auteur de deux buts à l'aller, Xavi a de nouveau réalisé un superbe match, en ouvrant le score à la 18e sur une passe d'Eto'o. Ces deux hommes ont d'ailleurs été les bourreaux des visiteurs puisque le milieu international espagnol a ensuite adressé deux passes pour Henry (32e) et a rendu la pareille à Eto'o à la 43e. L'attaquant camerounais, 25 réalisations cette saison, a été l'auteur d'un doublé puisqu'il a marqué le dernier but de la rencontre sur un caviar de Thierry Henry (56e).


S'il y a un joueur qui n'a besoin de personne, ou presque, pour marquer, c'est bien Lionel Messi. Le lutin argentin a inscrit un superbe but à la 24e. Coincé le long de la ligne de touche à droite du terrain, il s'est joué de Nacho d'un contrôle orienté de la poitrine avant de dribbler Lolo, Rosario et de mettre une frappe du droit sous la barre de Goitia. L'autre petit bijou de la soirée a été le but de Daniel Alves (51e). Parti dans le dos de la défense, le Brésilien a mis une tête lobée sur une ouverture piquée parfaite d'Iniesta. Ce dernier, mais également Xavi et Touré (qui sera absent quinze jours), sont sortis sur blessure. Seul point noir d'une soirée catalane presque parfaite.


Le diesel madrilène

Face à Almeria (3-0), le Real Madrid (2e) a eu beaucoup de mal à se mettre en route. Si Marcelo (auteur de son meilleur match sous le maillot madrilène) a marqué un superbe but à la 23e, d'une frappe pure du droit en pleine lucarne des 20 mètres, les spectateurs de Santiago Bernabeu ont surtout retenu le très faible niveau de jeu de la Maison Blanche. Sûrement bougés par Juande Ramos dans les vestiaires, les Madrilènes sont revenus sur le terrain avec de meilleures intentions. Sans toutefois forcer leur talent, ils ont marqué le but du KO par Huntelaar à la 52e. "Le Chasseur" a profité d'un mauvais renvoi de la défense adverse pour marquer d'une belle frappe du gauche. L'attaquant néerlandais a ensuite marqué un doublé en reprenant un tir de Robben repoussé par Diego Alves. Recruté à l'Ajax lors du mercato, Huntelaar vient d'inscrire huit buts en six rencontres. Le Real aurait pu gagner par un écart beaucoup plus important si Marcelo (50e, 51e) ou Heinze (61e) n'avaient pas trouvé un super Diego Alves sur leur route. Mais il était dit que ce dimanche, le Real gagnerait sans se décoiffer. - Cyril OLIVES


msn.fr

L'Atletico en C1

En s'imposant largement face à Almeria samedi soir (3-0, buts d'Agüero, Raul Garcia et Diego Forlan), l'Atletico Madrid a conservé la quatrième place de la Liga et disputera en septembre le troisième tour préliminaire de la Ligue des champions pour la deuxième saison consécutive. Encore sous la menace de Villarreal au coup d'envoi, les Matelassiers ont été bien inspirés de s'imposer à Vicente Calderon, le "Sous-marin jaune", en embuscade à deux longueurs, ayant lui aussi conclu sa saison par une victoire aux Baléares contre le Real Majorque (2-3 dont un doublé de Llorente).L'Atletico Madrid revient même à hauteur du troisième mais le FC Séville conservera son billet direct pour la C1 quel que soit son résultat dimanche à Numancia, en raison d'une meilleure différence particulière (deux victoires 1-0 contre les Madrilènes). Vice-champion l'an dernier derrière le Real Madrid, Villarreal devra pour sa part se contenter de l'Europa League, où l'accompagnera Valence, qui a conservé sa sixième place face à l'Athletic Bilbao (2-0, doublé de Villa). Ce dernier résultat appaisera les regrets de La Corogne dont le nul (1-1) face au FC Barcelone ne suffisait pas de toutes façons pour accrocher la C3. Pour faire face au Depor, l'équipe du triplé Liga-Copa del Rey-Ligue des champions avait envoyé son équipe bis sans plusieurs des héros de Rome, Xavi, Iniesta ou Henry. Pour l'anecdote, Samuel Eto'o a inscrit son 30e but de la saison mais il ne suffit pas à ravir à Diego Forlan, l'international urugayen de l'Atletico Madrid, également buteur samedi soir (32 réalisations), le titre de "pichichi" 2008-2009.

À des années lumières de l'empereur barcelonais, cinq formations lutteront dimanche pour ne pas accompagner Numancia et Huelva, déjà condamnés, en Segunda Division. Premier relégable, Osasuna (18e, 40 pts) n'aura pas la tâche facile, à domicile, face au Real Madrid, certes déconcentré par les élections présidentielles et les rumeurs d'arrivées (Kaka...). Le Sporting Gijon, qui compte le même nombre de points que les Basques (17e, 40 pts) recevra la lanterne rouge Huelva et devrait, sauf énorme surprise, sauver sa place en Liga. En déplacement à Santander, Getafe (16e, 41 pts) devra se méfier d'un Racing irrégulier mais séduisant par moments cette saison, qui évoluera toutefois sans son meilleur buteur Nikola Zigic, suspendu. Enfin le Bétis Séville (15e, 41 pts) accueillera Valladolid (14e, 42 pts), adversaire direct pour le maintien. Conspués par une partie du public de Manuel Ruiz de Lopera, les Andalous espèrent que les supporters répondront présents pour ce match couperet : «Nous ne sommes pas nerveux et nous ne ressentons pas la pression, prévient le Chilien Mark Gonzalez. Mais nous sommes confiants que les supporters seront là pour nous soutenir. Nous serons 56 000 face à onze joueurs».

msn.fr

Les joueurs étrangers pas taxés

Le Parti socialiste au pouvoir en Espagne a renoncé mardi soir à modifier la loi fiscale afin de taxer plus lourdement les hauts-revenus, dont ceux des footballeurs étrangers. Le projet initial prévoyait, outre d'augmenter l'imposition des revenus les plus élevés, de mettre fin au régime fiscal favorable de contribuables étrangers installés en Espagne, comme les footballeurs. Cette «loi Beckham», (le joueur anglais avait été le premier à en avoir bénéficié), n'impose sur le revenu les joueurs étrangers évoluant en Espagne qu'à hauteur de 24%, au lieu de 43% comme les Espagnols disposant de revenus comparables. José Luis Rodriguez Zapatero avait jugé le montant du transfert de Cristiano Ronaldo (93 millions d'euros) et le salaire que toucherait le joueur (12 millions d'euros bruts annuels selon la presse) d'«excessifs». (Avec AFP)

msn.fr

Jarque salué par le Gotha de la Liga

De nombreuses personnalités du football espagnol ont afflué mardi au stade de l'Espanyol Barcelone où une chapelle ardente a été installée, peu après le rapatriement du corps de Daniel Jarque, le capitaine du club décédé samedi soir en Italie des suites d'une crise cardiaque.

Etaient notamment présents le président de la Ligue espagnole, José Luis Astiazaran, ainsi que Florentino Perez et Joan Laporta, présidents du Real Madrid et du FC Barcelone. M. Perez était notamment accompagné du directeur général du club merengue Jorge Valdano et de Raul, joueur emblématique du club. Le président de l'Atletico Madrid, Enrique Cerezo, et le capitaine de son équipe, Antonio Lpez, ont également fait le voyage en Catalogne.

La visite au stade Cornell-El Prat des représentants du FC Séville, qui ont connu il y a deux ans une peine similaire à celle des Barcelonais, après le décès du joueur Antonio Puerta frappé par une crise cardiaque en plein match, a été particulièrement émouvante, ont rapporté les journalistes présents. (Avec AFP)

msn.fr

Le Barça reste maître

Le FC Barcelone a frappé fort dimanche à Tenerife (5-0), en clôture de la 17e journée, pour sa première victoire en 2010 et a conservé la tête de la Liga, avec deux points d'avance sur le Real Madrid et huit sur Valence. Le Barça a fait oublier son match nul décevant contre Villarreal (1-1) et sa défaite face à Séville en Coupe (2-1). Les Catalans, malmenés en début de match et qui ont pu compter sur un grand Victor Valdes, ont fait feu avec Lionel Messi en première ligne. Le lutin argentin a inscrit un triplé (le troisième but est un bijou de finesse) et il comptabilise désormais 12 buts en 14 matches de Liga. Le Ballon d'or France Football 2009 partage la tête du classement des buteurs avec le Valencian David Villa. Carles Puyol, de la tête, et Ezequiel Luna (contre son camp) ont participé à ce festival offensif.

Le Real Madrid n'a pas tremblé face à l'équipe surprise de la Liga le Real Majorque (2-0). Dans leur antre de Santiago-Bernabeu, inhabituellement décoré par de gros flocons, les joueurs de Manuel Pellegrini ont fait respecter la hiérarchie avec pour la première fois depuis fin novembre le Brésilien Kaka dans le onze de départ. Enfin apte à jouer après une pubalgie, le Brésilien était à la baguette dans le 4-2-3-1 maison avec Cristiano Ronaldo et Van der Vaart à ses côtés et Higuain juste devant. Nul trace de Raul et Karim Benzema au coup d'envoi, l'ancien Lyonnais ayant fait son entrée à la 68e à la place de Kaka. L'international Français, qui avait 22 minutes pour convaincre, a vu son but logiquement refusé pour hors-jeu (78e).

Le technicien chilien a été conforté dans ses choix puisque le premier but du match a été inscrit par Higuain après seulement huit minutes de jeu. Un but sublime de l'Argentin (11e but de la saison), qui a vu sa frappe croisée décochée à 20 mètres faire mouche. Cristiano Ronaldo (13e, 18e) et Kaka (23e) ont poussé mais le deuxième but, signé Granero, est arrivé au retour des vestiaires (50e). Alors que Guti a enfin rejoué (ce qui n'avait plus été le cas depuis le 24 octobre et l'humiliante défaite à Alcorcon), le Real a été obligé de remplacer Van der Vaart (21e) et Xabi Alonso (84e), sortis sur blessures. C'est la mauvaise note du jour. - D. Mi.


msn.fr

Ronaldo est un joueur "provocateur"

Le défenseur brésilien de Valladolid, Nivaldo Santana, qui a semblé marcher sur le tibia de Cristiano Ronaldo dimanche en championnat, a accusé lundi l'attaquant vedette du Real Madrid d'être un joueur "provocateur" qui profite de l'indulgence des arbitres.

"C'est un peu compliqué. C'est un bon joueur mais il fait des choses que les arbitres lui passent. Si d'autres faisaient ce que lui fait, c'est sûr que l'arbitre dirait quelque chose", a dénoncé Nivaldo sur la radio Cadena Ser.

"Il est très provocateur, et quand on essaie de lui parler, il parle d'autre chose", a ajouté Nivaldo.

Pendant la rencontre dominicale entre les deux équipes (victoire du Real 4-1), Ronaldo a baissé sa chaussette pour montrer à l'arbitre une éraflure laissée par les crampons de Nivaldo, mais le défenseur brésilien n'a pas été sanctionné.

Après la rencontre, le directeur général du Real, Jorge Valdano, a exprimé son inquiétude devant la manière dont le joueur le plus cher du club, et de l'histoire du football, était traité sur le terrain. "Il faudrait examiner ce que nos rivaux font à Cristiano", a-t-il insisté.


sport.fr

LE REAL À SA MAIN

Le Real Madrid a réussi une nouvelle démonstration offensive à Getafe, jeudi (4-2). Et retrouve la première place aux dépens du FC Barcelone.


Le Real Madrid a réussi une nouvelle démonstration offensive à Getafe, jeudi (4-2). Et retrouve la première place aux dépens du FC Barcelone.

Sans ses Français Lassana Diarra (cheville gauche) et Karim Benzema (pubalgie), le Real Madrid a signé un festival offensif à Getafe, jeudi soir (4-2) et retrouvé la première place de la Liga, à égalité de points avec le FC Barcelone, victorieux d'Osasuna Pampelune, mercredi au Camp Nou (2-0). Le mano-a-mano des coleaders continue, avant la 29e journée qui leur réservera samedi à l'un et à l'autre des adversaires plus relevés. Le Real enchaînera avec un autre derby contre l'Atletico Madrid, tandis que le Barça sera en déplacement sur la pelouse du Real Majorque, actuel quatrième de la Liga et en défense de son strapontin en Ligue des champions. Dans les pensées des deux clubs, leur prochaine rencontre du 11 avril à Bernabeu va occuper de plus en plus de place.

Le Real a soigné sa différence de buts générale (+54 à +52 pour le Barça), même si en Espagne c'est d'abord la différence de buts entre équipes qui est prise en compte (pour l'instant à l'avantage du Barça, vainqueur 1-0 du Real au Camp Nou). Cristiano Ronaldo et Gonzalo Higuain, sans doute titillés par les éloges qui pleuvent sur Lionel Messi, ont voulu montrer que le lutin argentin du Barça n'avait pas le monopole du jeu spectaculaire dans cette Liga. Avec chacun un doublé, les deux attaquants ont assuré le triomphe du Real en moins de 40 minutes.

C'est peu dire qu'il n'y a guère eu de suspense au Coliseum Alfonso Pérez. Le duo offensif du Real a tout fait. Coup franc dans la lucarne de Cristiano Ronaldo (13e) puis double appel en profondeur d'Higuain pour deux duels gagnés face au portier de Getafe, le deuxième sur un joli service de son compatriote argentin Gago, titularisé à la place de "Lass" Diarra (20e et 23e). Ronaldo a conclu le festival d'une magnifique frappe dans un angle fermé, la deuxième lunette de la soirée de l'international portugais (38e). Au classement des buteurs, les héros du soir se rapprochent de Messi, muet contre Osasuna mercredi : Higuain passe à 22 réalisations, à trois unités du "pichichi" (25), Cristiano Ronaldo se hissant pour sa part à 17 buts. Getafe a sauvé les apparences par Parejo (38e) et Pedro Leon (80e). (Avec AFP)


msn.fr

Barcelone, «més que un titre»

Barcelone est champion après son succès contre Valladolid (4-0). Il devance le Real, tenu en échec à Malaga (1-1).


Barcelone a été sacré champion après sa victoire contre Valladolid (4-0). Avec 99 points, le Barça devance le Real, tenu en échec à Malaga (1-1), de trois points.

Personne n'a jamais fait mieux en Europe dans l'histoire des grands Championnats à vingt clubs. Le FC Barcelone a été sacré champion d'Espagne avec la bagatelle de 99 points ! Une performance extraordinaire, qui a vu les Catalans ne s'incliner qu'une seule fois en Liga cette saison (1-2 chez l'Atletico). A domicile, ils ont pris 55 unités sur 57 possibles. Au final, le Real Madrid n'est que le dauphin de son éternel rival, avec 96 points...

Dimanche soir, la Maison blanche n'a pas réussi à mettre la pression sur les Blaugrana. Malmené, malchanceux, mal luné (Guti a pris un jaune alors qu'il n'était que remplaçant en début de match, Ronaldo pestant continuellement), le Real a été tenu en échec à Malaga (1-1) qui a obtenu son maintien. Une nouvelle grande lessive aura peut-être lieu à l'intersaison dans la capitale.

Dans le même temps, Barcelone a de toute façon fait ce qu'il fallait pour s'éviter des frayeurs contre Valladolid (4-0). Guardiola avait décidé de se passer une nouvelle fois des services de Zlatan Ibrahimovic. Le grand Suédois ne tient plus la comparaison face à Bojan et Pedro. Les deux hommes et Messi sont affectueusement appelés les Bajitos («les Petits») par la Catalogne. Contre Valladolid, qui jouera la saison prochaine en D2, ces trois-là se sont parfaitement trouvés. Depuis quelques semaines, Bojan évolue à un niveau terriblement intéressant. Pedro, lui, est inarrêtable depuis quelques mois. Ce dimanche, au Camp Nou, c'est l'un de ses centres qui a obligé Luis Prieto à marquer contre son camp (27e). C'est ensuite celui qui fait partie des 30 Espagnols pour le Mondial qui a marqué, après une action collective savoureuse entre Messi et Touré (31e).

L'Argentin a lui aussi été ébouriffant, perforant régulièrement la défense pucelana en plein coeur et inscrivant le troisième but des siens après un travail magnifique de l'ancien Monégasque (62e). A la 76e, il a inscrit en solo son 34e but en Liga (47 toutes compétitions confondues), rejoignant le Ronaldo de 96-97 dans l'histoire catalane. Cette saison, Messi a plus marqué à lui seul en Championnat que toute l'équipe de l'Espanyol Barcelone ! Egalement auteur de dix passes décisives, il est le symbole d'un Barcelone (20 Liga) qui a battu de nombreux records cette saison. «Ne pensez pas à la saison, pensez à l'histoire», pouvait-on d'ailleurs lire sur les T-shirts des champions. - Cyril OLIVES

msn.fr

Espagne/Clasico: un championnat relancé par la victoire du Barça

La victoire méritée (3-1) du FC Barcelone contre le Real Madrid, samedi à Bernabeu, lors de la 16e journée de Liga, n'a pas seulement réaffirmé la supériorité du collectif Blaugrana sur les Madrilènes, elle a aussi relancé un championnat dont l'issue apparaît désormais plus favorable aux Catalans.


Le Barça revient au contact

Même s'ils comptent toujours un match de plus que le Real, les Catalans ont complètement relancé le championnat samedi. Leur victoire leur permet en effet de boucher le retard de trois points qu'ils accusaient jusqu'ici sur les Merengue (37 points chacun désormais). Et si les Blancs trébuchaient à nouveau samedi prochain, contre Séville, les Blaugrana passeraient même leaders en raison d'une meilleure différence de buts.

La supériorité des Blaugrana

N'en déplaise à l'entraîneur des Merengue José Mourinho, la victoire du Barça samedi à Bernabeu, ne s'explique pas que par "la chance". En se réveillant à temps après une première période assez moyenne, les Blaugrana ont une nouvelle fois su battre les Madrilènes dans le jeu. Après avoir connu une douche froide à la suite de l'ouverture du score express de Benzema (1), le Barça, porté par son trio Messi-Iniesta-Xavi, a une nouvelle fois fait des miracles. "Il s'agissait de ne pas perdre notre philosophie de jeu. Nous ne savons de toute façon pas jouer autrement", a analysé Xavi après le match.

Un ascendant psychologique ?

Après avoir subi pour la quatrième fois d'affilée en l'espace de deux saisons la loi des Blaugrana (contre lesquels les Merengue ne comptent qu'une victoire depuis l'arrivée de Mourinho), la question d'un éventuel complexe des Blancs face à leur éternel rival commence à se poser. Mourinho, samedi, balayait pourtant ce problème d'un revers de la main: "J'avais déjà dit avant le match que ni une défaite, ni même une victoire, ne nous sortirait de notre équilibre émotionnel. Nous avons un match de moins que le Barça. Si nous ne le perdons pas, nous serons leaders à Noël".

Côté Blaugrana, si Pep Guardiola jouait les grands seigneurs ("Je ne crois pas que le Real rende les armes, ils sont trop professionnels pour cela"), Xavi prenait moins de gants: "C'est sûr que ce +clasico+ peut être un tournant psychologique".

Messi gagne son duel contre Ronaldo

Si aucun des deux prétendants au Ballon d'Or 2011 (avec Xavi) n'a marqué samedi, "la Pulga" a largement dominé les débats face à CR7. En première période, l'Argentin a en effet permis aux Catalans de rester dans le match, quand son équipe était en difficulté face à la pression des Merengue. Son accélération plein axe et sa passe décisive pour Alexis Sanchez sont un modèle du genre. Après le réveil du Barça, Messi a continué à distiller des ballons, épaulé cette fois-ci par Iniesta et Xavi. Il a donc une nouvelle fois été décisif quand Ronaldo est passé à côté de son match. Absent dans les moments-clefs, le Portugais a notamment manqué deux énormes occasions qui auraient pu permettre à son équipe d'entretenir l'espoir.

Et maintenant ?

En attendant le prochain "clasico" en championnat (le 20 ou 21 avril 2012 au Camp-Nou), le Real Madrid va tenter d'évacuer sa défaite en se concentrant sur les affaires courantes. Un 16e de finale aller de Coupe du Roi l'attend mardi contre Ponferradina (deuxième division), suivi d'un match de Liga contre le FC Séville, samedi, à ne pas négliger: en cas de victoire ou de match nul, les Merengue pourront toujours se consoler en se disant qu'ils devancent encore au classement leurs bourreaux de samedi.

Le programme des Blaugrana est lui plus "exotique": immédiatement après leur victoire face au Real, les hommes de Guardiola ont sauté dans l'avion direction le Japon pour y jouer le Mondial des clubs. Ils entreront dans la compétition au stade des demi-finales, jeudi, contre le club du Qatar Al-Sadd.


msn.fr