Bernard Mendy [5]

Invité

Poste: Défenseur
Né: 20/08/81
Nationalité: Française
Taille: 1.80
Poids: 77

Après un séjour en Angleterre, Bernard Mendy est revenu encore plus fort au PSG. International Français, il a illuminé son côté droit par sa vitesse et sa technique, au point d’être nommé meilleur latéral droit de Ligue 1 aux trophées UNFP, au terme de la saison 2003-2004. Blessé en début de saison et souvent repositionné milieu droit, « Ber » espère s’affirmer de nouveau au poste de latéral, dans l’objectif de la Coupe du Monde 2006.

Clubs précédents

1998-2000 Caen
2000-2002 PSG
2002-2003 Bolton Wanderers (prêt)

Palmarès

2004 Vice-champion de Ligue 1 avec le PSG
2004 Vainqueur de la Coupe de France avec le PSG

Mendy veut aller au Mondial

Très déçu de sa performance face à Saint Etienne (2-2), le latéral droit du PSG Bernard Mendy a récemment déclaré au Parisien "que la Coupe du Monde restait dans un coin de (sa) tête". Le joueur, sélectionné à plusieurs reprises par Raymond Domenech puis oublié cette saison, semble cependant avoir été dépassé et largement distancé par Zébina ou Réveillère pour le rôle de doublure de Sagnol chez les Bleus. Il est clair aujourd’hui que le Parisien a peu de chances d’accrocher le bon wagon, et pour cela, il lui faudra réaliser une fin de saison quasi parfaite.

maxifoot

Eh ben il a du boulot le petit Laughing

Bien nul le Bernard cette saison de plus il est sortit avant la mis-temps car il été siflé par le parc Shocked

Mendy était malade face à Marseille

Auteur d'une prestation très faible face à Marseille dimanche, Bernard Mendy a expliqué à nos confrères de L'Equipe qu'il était souffrant ce jour-là.

Sorti très rapidement contre Marseille par un Guy Lacombe très mécontent de sa prestation en tant qu'arrière droit, Bernard Mendy a expliqué qu'il souffrait dimanche d'une bronchite et qu'il avait 39° de fièvre.

Laughing

ques qui faut pas entendre, il est mauvais un point c'est tout !

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« Le PSG fait toujours rêver »

Après avoir refusé une offre de Parme, Bernard Mendy réaffirme son amour pour le Paris Saint-Germain. Sous contrat pour encore une saison, il n’exclut d’ailleurs pas de prolonger avec le club de son cœur.

Invité

« Sur la bonne voie »

Bernard Mendy [5] 59447_PSG_MENDY_190907

Même si le bilan au Parc des Princes pourrait être nettement meilleur, Bernard Mendy est confiant au regard du début de saison des Parisiens. Pour le latéral droit, Paris est « sur la bonne voie ».

Bernard Mendy, comment analysez-vous le début de saison du PSG ?
C'est pas mal, mais nous pouvons mieux faire. A domicile, nous devons concrétiser un peu plus. Maintenant, c'est vrai qu'à l'extérieur, nous sommes plus à l'aise. A domicile, c'est moins le cas même si nous avons tout de même livré de très bons matchs, notamment en revenant au score contre Marseille. Pour ce qui est de notre défaite contre Lorient, nous avons fait une grosse première mi-temps puis nous nous sommes essoufflés en seconde. Nous sommes à cinq points du premier, donc même si nous pouvons mieux faire, je tire une analyse satisfaisante de notre début de saison.

Peut-on parler de peur ou de crainte dès lors que vous vous produisez au Parc des Princes ?
Non. C'est vrai que, comme dans tous les clubs, le public est exigeant. Maintenant, il ne faut pas avoir la peur au ventre par rapport aux sifflets ou à d'autres contextes. Il faut peut-être que nous laissions un peu plus la balle à l'adversaire pour procéder par contres, comme nous savons très bien le faire à l'extérieur. Maintenant, à domicile, devant notre public, nous sommes dans l'obligation de faire plus le jeu.

Quel est le point faible actuel du PSG ?
C'est surtout la dernière passe qui nous fait défaut. Contre Monaco, nous avons eu la chance que Jérôme (Rothen) fasse deux passes décisives pour nous permettre de marquer deux buts. Mais il ne faut pas se précipiter. Nous sommes sur la bonne voie pour l'instant. Et dimanche, nous attend un gros match contre Bordeaux. Pour être mieux, il faudra gagner. Ca serait bien de pouvoir enfin gagner à domicile

Football365.fr

Invité

« J’encaisse tout »

Bernard Mendy [5] 59488_PSG_MENDY_200907

Après une saison terrible avec le PSG comme dans la vie privée, Bernard Mendy semble imperméable à tout ce que l’on peut dire sur lui. Les critiques auraient même tendance à le rendre plus fort.

Bernard Mendy, quel regard portez-vous sur vos performances individuelles en ce début de saison ?
Je ne sais pas. C’est à vous de me le dire. Moi, je fais mes matchs. C’est tout. Le reste ne m’appartient pas.

Tout ce que vous avez vécu la saison dernière fait-il de vous aujourd’hui un homme plus fort et prêt à tout affronter ?
Ça oui. De toute façon, au niveau du mental, je suis costaud. Je sais d’où je viens. Certes, j’ai connu beaucoup de soucis dus dans un premier temps à la saison et ensuite au décès de mon père puis au fait que les supporters m’aient pris à partie, mais j’ai su inverser la tendance. Et comme je dis toujours, ce qui ne me tue pas me rend plus fort.

Vos problèmes sur le plan familial de l’année dernière vous permettent-ils aujourd’hui d’être immunisé contre tout problème sportif proprement dit ?
Oui, car ce n’est pas dramatique. Le plus important est d’avoir la santé, le reste c’est secondaire. Maintenant, le PSG est ma deuxième famille, donc quand l’équipe perd, je suis toujours un peu frustré. Ce que j’ai vécu la saison dernière fait partie des aléas de la vie d’un footballeur, donc aujourd’hui je ne me prends plus la tête.

Comment dans cette période plus que délicate avez-vous fait pour garder autant de choses en vous au point de ne péter les plombs qu’une seule fois ?
Parce que c’est mon métier et que j’ai la tête sur les épaules. Je garde tout en moi, que cela soit au niveau de ma famille ou du foot. J’encaisse tout. Et je préfère tout encaisser plutôt que de péter un cable. Certes, je l’ai fait une fois, mais j’aurais très bien pu le faire d’autres fois. C’est aussi ce qui prouve ma mentalité.

« Avec l’accumulation, j’ai fini par craquer »

Tout de même, par rapport à tout ce que vous avez traversé, un bras d’honneur c’est…
(Il coupe). C’est une aiguille dans une botte de foin (rires). C’est bien. Je suis humain. Comme l’est aussi Zidane, qui a pété un câble en finale de la Coupe du monde contre l’Italie en mettant un coup de boule à Materazzi. Tout le monde en aurait fait autant. Moi, j’ai fait ce bras d’honneur car sur le moment je ne comprenais pas. Et avec l’accumulation et encore l’accumulation, j’ai fini par craquer. Il fallait que ça sorte. C’est sorti et voilà. Maintenant, je suis bien.

Sentiez-vous que vous alliez finir par sortir de vos gonds ?
Oui, je sentais que ça allait venir. Sur le coup, je n’avais pas compris. Même les dirigeants n’avaient pas compris. Mais bon…

A l’instar de votre ami, Edouard Cissé, avez-vous songé à quitter le club à l’issue de la saison dernière ?
Oui, c’est clair que sur le moment j’avais envie de partir. Mais je suis bien à Paris et j’ai ma famille à côté. Après, je ne sais pas ce que l’avenir me réserve. Nous ne sommes que du bétail. Pour en revenir à Edouard, les dirigeants ont eu le transfert qu’ils voulaient et lui, le salaire qu’il voulait, sinon il serait resté.

Vous concernant, il y a de la prolongation dans l’air. Mais pour l’instant, vous n’êtes pas séduit par les offres de vos dirigeants. C’est bien ça ?
Paris m’a proposé une prolongation de deux années plus une autre en option. Et contrairement à ce que j’ai lu, il n’a jamais été question d’une baisse de moitié de mon salaire. Je ne vais pas entrer dans les détails, mais ce n’est pas du tout ça. Le PSG m’a proposé un premier contrat, je l’ai refusé. J’ai également refusé le suivant et nous en sommes là. Nous allons nous revoir, j’attends que le président revienne me voir. Ma réponse viendra du terrain. Depuis le début de la saison, ça va. Ceara est arrivé mais ça ne me dérange pas. Au contraire, ça m’évite de me reposer sur mes lauriers.

« Quand mes centres arriveront, je serai bien »

Vous n’avez donc pas accueilli l’arrivée de ce nouveau latéral droit comme une embûche de plus sur votre chemin ?
Non, pas du tout. De toute façon, il n’y a pas de n°1 ou de n°2. La concurrence est à tous les postes. Si tu n’es pas performant, tu sera remplacé c’est sûr, mais à partir du moment où tu l’es, il n’y a aucun problème.

On vous sent meilleur dans l’adversité comme c’est le cas actuellement. Est-ce vrai ?
Oui, mais c’est aussi une revanche sur moi-même. Les deux dernières saisons, ce qui me manquait c’est la régularité, même si j’ai été très bon en fin de saison dernière. Là je fais un bon début de saison, je suis constant et je dois continuer. Mais avant tout, il faut que je reproduise la même saison que celle où j’ai été en équipe de France (Ndlr : 2003-2004). A 26 ans, il faut que je sois plus mature, c’est tout.

Vous l’êtes puisque vous arrivez même à plaisanter aujourd’hui de vos fameux « centres au troisième poteau »…
Oui, car je sais que je centre au troisième poteau, c’est vrai. Mais je m’applique pour mieux mettre la balle et je travaille beaucoup à l’entraînement pour m’améliorer dans ce domaine. Le centre n’est pas une de mes grosses qualités. Quand mes centres arriveront, je serai bien. Maintenant, il ne faut pas oublier que je suis d’abord un défenseur. Si je peux apporter sur mon côté, je dois le faire, mais on me demande d’abord de bien défendre pour pouvoir attaquer, le reste ce ne sont que des détails.
Football365.fr

Mendy crève l’écran

Bernard Mendy [5] 65174_PSG_AUXERRE_270208

Titularisé sur l’aile droite mardi, Bernard Mendy a bluffé tous ceux qui le critiquent depuis le début de la saison. A un poste qui n’est pas le sien, le Parisien semble sur la voie du renouveau.

Bernard Mendy avait déjà joué milieu droit à deux reprises cette saison. A Lille, en championnat, et à Nantes face au Poiré-sur-Vie en Coupe de France. Face aux Dogues, il n’avait pas été transcendant, à l’image de toute l’équipe parisienne ce soir-là. Mais contre les amateurs de Loire-Atlantique, il avait en revanche affiché beaucoup de promesses à ce poste, avec un but à la clé. Mardi soir face à Auxerre, Paul Le Guen a de nouveau utilisé l’arrière droit de formation dans un rôle très offensif. Excellent, omniprésent et constamment menaçant, l’ancien joueur de Bolton a probablement réussi sa meilleure production depuis qu’il est à Paris. C’est d’ailleurs l’avis d’Arnaud Hermant, qui suit quotidiennement le PSG depuis près de six ans.

« C’est le meilleur match que je l’ai vu faire, reconnaît le journaliste du Parisien. Il était vraiment dans un grand soir et a eu un superbe rendement. Tout ce qu’il a fait a été bon. Il met un but, fait plusieurs centres et a énormément apporté physiquement. Dans les dernières minutes, on le retrouvait encore en attaque, capable de faire encore des débordements. » Mais comment expliquer que Bernard Mendy, lui le défenseur latéral droit, a réalisé une telle prestation dans un rôle qui n’est pas le sien habituellement ? Le premier élément de réponse provient du schéma de jeu choisi mardi par Paul Le Guen. « Ils avaient décidé d’aller le plus vite possible sur les côtés et il y avait donc une énorme disponibilité pour Mendy dès que le porteur avait la balle », estime notre confrère.

Pas loin de son meilleur niveau

Pourtant, le défenseur parisien n’est pas fan de ce poste de milieu droit. Il ne s’en est jamais caché, même s’il a commencé le football à des postes offensifs : sa place se trouve derrière sur le côté et pas dans la moitié de terrain adverse. D’autant qu’un ailier droit doit posséder un bagage technique supérieur au sien. Et là non plus, Bernard Mendy n’a jamais cherché à masquer ses lacunes techniques. « Il se marre souvent en disant qu’il ne sait pas centrer, rappelle Arnaud Hermant. C’est vrai que ce n’est pas sa qualité première. Il va plutôt vite avec le ballon, arrive à éliminer facilement mais doit être plus performant techniquement. Mardi, il a été très bon dans ses contrôles comme dans ses passes. Mais s’il devait s’installer plus régulièrement à ce poste, il devrait progresser au niveau technique. » En tout cas, pour un joueur qui n’est apparu qu’à cinq reprises en championnat depuis la onzième journée, Bernard Mendy a prouvé qu’il n’était pas du genre à se laisser abattre.

Même si Paul Le Guen lui préfère Ceara et qu’il n’a pas été épargné, ni par la presse ni par les supporters, depuis le début de la saison, l’ancien joueur du SM Caen a confirmé qu’il savait faire taire ses détracteurs. Uniquement le temps d’un match pour le moment mais qui sait ? Peut-être que Mendy retrouvera son meilleur niveau dans les semaines à venir. Une pensée qui a traversé l’esprit de notre confrère mardi soir « Ça m’a rappelé sa saison avec Halilhodzic quand il avait été sélectionné en équipe de France. Il revient vers un rendement comme ça à mon avis. Après cette bonne période, il a stagné. Mais mardi, il n’était pas loin de son meilleur niveau. Peut-être que le fait de n’être pas très content de son sort et d’arriver en fin de contrat l’a boosté. » Un coup de boost qui pourrait lui permettre de retrouver le onze de départ. Comme milieu droit ? L’adaptation du Brésilien Souza plaide en tout cas en ce sens…

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