n°14 : Sidney Govou

Neo a écrit:

C'est un peu un choix par défaut malgré le talent de Sid' à mon humble avis... Giuly c'est mis hors course, Anelka aussi, bref le seul qui a fermé sa gueule malgré la décéption de sa non séléction c'est Govou et aujourd'hui il en récolte les fruits, bravo à lui.

C'est tout à fait ça Neo
C'était le seul choix qu'il restait au gorille Domenech ^^

Neo a écrit:

C'est un peu un choix par défaut malgré le talent de Sid' à mon humble avis... Giuly c'est mis hors course, Anelka aussi, bref le seul qui a fermé sa gueule malgré la décéption de sa non séléction c'est Govou et aujourd'hui il en récolte les fruits, bravo à lui.

oui le seul qui n'a aucun caractere vu que c'est son président qui pense pour lui

JCB.com a écrit:

Yes 11eme Lyonnais en Allemagne bien que sur le coup j' aurai préferer rester à 10...
Oui Lept il ne sont pas 11 titulaire!!!

tkt nous on a un bordelais qui est un titulaire et encore smicer était titulaire avec la rep tcheque mais c'est bléssé. Et ce titulaire c'est le meilleur latéral droit de L1 prénomé : David Jemalli .

Neo a écrit:

C'est un peu un choix par défaut malgré le talent de Sid' à mon humble avis... Giuly c'est mis hors course, Anelka aussi, bref le seul qui a fermé sa gueule malgré la décéption de sa non séléction c'est Govou et aujourd'hui il en récolte les fruits, bravo à lui.

+1 bien resumé déçu quand même quand on lis dans l' équipe du jour qu' Anelka etait 100% dispo
il pouvais pas la fermer celui-ci

Communiqué du Club
29/08/06

L’Olympique Lyonnais est très heureux de vous faire part de la décision de Sidney GOVOU qui a été l’un des principaux artisans des 11 titres remportés par l’OL depuis 2001 (5 Championnats de France,5 Trophées des Champions et 1 Coupe de la Ligue),d’être encore lyonnais les saisons à venir.

Après avoir étudié plusieurs propositions étrangères, le finaliste de la dernière Coupe du Monde a décidé de privilégier l’Olympique Lyonnais et de rester ainsi fidèle au club où il est arrivé en 1997.

Après avoir aussi écouté le staff, les joueurs et les supporters, l’Olympique Lyonnais a pris la décision d’étudier avec Sidney et son agent les modalités d’une prolongation de contrat dès son retour des matches de l’équipe de France, pour que l’attaquant international demeure lyonnais au-delà du 30 juin 2008.

Bien entendu, son nouveau statut tiendra compte de son ancienneté au club qui en fait l’un des piliers de l’équipe avec Grégory COUPET.

OLWEB.fr

Je suis vraiment ... Il veut partir depuis 3 ans et la comme il a pas de propo à par des club de m.. genre Porsthoumth, il reste.

Nan mais l'ami Sydney c'est un morpion...Un fois qu'il s'accroche il reste...

Govou «n'attend plus rien

»


Sidney Govou et les autres internationaux français de l'Olympique lyonnais vont disputer mercredi soir à Belgrade face au Partizan leur premier match officiel de la saison. En marge de cette rentrée, le milieu offensif de l'OL et de l'équipe de France revient mercredi dans L'Equipe sur la relation complexe qui le lie à son club. Partira ? Partira pas ? Comme à chaque intersaison ou presque, la question de son avenir est posée. Alors que son nom est parfois cité en Angleterre, le joueur regrette que le président de l'OL, Jean-Michel Aulas, lui ait tenu des propos contradictoires.


«Il (Jean-Michel Aulas) a dit tout et son contraire. Un jour, j'avais un bon de sortie. Un autre jour, on voulait me faire prolonger. Quinze jours après, j'avais un autre bon de sortie. Aujourd'hui, il serait question que je reste... Moi je n'entre pas dans ce débat. Je le laisse parler et on verra.» A l'entendre, Sidney Govou relativise les prises de positions du club à son propos : «J'ai vingt-neuf ans donc je n'attend plus rien. C'est vrai, plus jeune j'aurais aimé qu'on me dise "Sidney, on ne te laissera pas partir" mais à mon âge je n'ai pas besoin qu'on me témoigne un quelconque attachement. Honnêtement je m'en fous.» Pour autant, le Lyonnais, qui a tout gagné avec son club sur la scène nationale, garde de la motivation à l'aube de la nouvelle saison. «J'aime le foot, j'aime jouer, j'aime gagner. Je n'ai pas besoin de grand chose pour être motivé.» L'arrivée du nouvel entraîneur, Claude Puel, participe à son état d'esprit positif. «Au niveau du fonctionnement, les choses seront plus claires, plus rigoureuses et tout le monde sera sur un pied d'égalité. Je trouve ça bien. Tactiquement, on sent qu'il a certains principes de jeu. Pour l'instant, il nous parle plus de cela, de la consistance du jeu, que du schéma tactique proprement dit. »


«Saint-Etienne a une bonne mentalité»


Sidney Govou a confiance en les capacités de l'OL à conserver son titre : «Je pense qu'on sera champions», assure-t-il, même si le septuple champion de France note que la concurrence sera plus rude : «Paris s'est renforcé intelligemment : "Make" va vraiment leur faire du bien, Giuly aussi. (...) Marseille, bien-sûr aussi, c'est costaud. Bordeaux pourrait être dans la continuité, mais on ne sait pas trop ce que ça donne quand une équipe ne se renforce qu'avec des jeunes.» Le joueur n'oublie pas non plus d'inclure le rival stéphanois : «Je trouve que Saint-Etienne a une équipe homogène et une bonne mentalité.» Enfin, Sidney Govou revient sur l'échec des Bleus à l'Euro. Selon lui, les jeunes et les plus anciens ont difficilement vécu ensemble. Pour lui, les causes de l'élimination rapide sont dues qu'à une accumulation de détails. «Il n'y a pas eu de cause principale.»

msn.fr

Govou : «Ça commence à me gaver»

Tous les ans, Sidney Govou est annoncé sur le départ mais finit par rester. L'international tricolore, au club depuis le début de sa carrière en 1999, s'est exprimé ce jeudi dans les colonnes de L'Équipe, et fait part d'un certain agacement vis-à-vis de son président Jean-Michel Aulas, qui selon lui parle trop : «Je n'ai rien voulu dire et c'était ce qui était convenu avec le président. Sauf que, lui, il a parlé. Cela m'a énervé qu'il dise tout et son contraire. Il a d'abord dit que j'allais partir. Puis que j'allais rester et qu'il allait me faire une proposition de prolongation. Et enfin, puisque Loïc Rémy s'en allait à Nice, que je ne partirais pas. Ça m'a saoulé. Je leur ai dit. Je ne dis jamais rien et c'est peut-être pour ça qu'ils en ont profité, ils savent que, quand vient le jour de jouer, je suis à fond. Mais, à force, ça commence à me gaver.»

Le milieu de terrain des Gones affirme même qu'il n'attend pas forcément une nouvelle offre de la part de son employeur, mais veut «juste qu'on ne parle pas de moi à ma place. On se l'était dit, avec le président, on ne devait pas parler. Ne rien dire, ça ne me pose aucun problème. J'adore jouer, c'est magnifique, mais tout ce qu'il y a autour me plaît de moins en moins». Les menottes invisibles qui le lient au club ne l'importunent pas plus que ça. Govou souhaite simplement être traité avec respect, comme le fait son entraîneur Claude Puel, qu'il estime beaucoup : «Je leur ai dit : quand vous avez envie qu'un joueur parte, vous savez faire ce qu'il faut. Je ne suis pas con. J'ai vingt-neuf ans, je sais comment ça se passe. Si, quand ils parlent de moi, ils ne parlent pas correctement... Ils peuvent prétendre le contraire, la réalité est là : s'ils ne veulent pas vraiment discuter avec un autre club, il ne se passera rien. Mais je ne suis pas plus frustré que ça. J'en ai discuté avec le coach dès le départ. Et lui, au moins, a été super clair : je l'ai vu trois fois dans les deux premières semaines et il n'a jamais bougé, il ne voulait pas que je parte. Rester à Lyon n'a jamais été un échec pour moi. Sauf en 2006, peut-être. J'avais eu du mal à me remettre dedans.»

msn.fr

Govou présente ses excuses

Au lendemain de "l'affaire Govou", le joueur de l'OL est spontanément venu en salle de presse, ce mardi matin après l'entraînement, pour présenter ses excuses. « Je tenais à m'excuser pour cette faute de vie dont j'ai fait l'objet (sic) dans la nuit de dimanche à lundi. Je m'excuse en premier lieu par rapport aux membres de ma famille qui doivent être malheureusement très déçus de mon comportement. Je m'excuse également publiquement vis-à-vis du club et des supporters qui sont tout le temps derrière nous. De ma faute, j'ai peut-être véhiculé une mauvaise image du club. Je tiens encore une fois à m'en excuser. » Après quarante secondes de monologue, Sidney Govou est reparti. Il a ensuite quitté le centre d'entraînement à bord d'un taxi par une porte dérobée, pour éviter les caméras.

S. L., à Lyon - msn.fr

Govou, c'est grave

Sidney Govou a été victime mercredi après-midi à l'entraînement d'une rupture totale du tendon d'Achille droit. «Saison terminée» pour l'attaquant international a confirmé le site internet de l'OL peu après 19h00. Le joueur âgé de 29 ans devait voir le professeur Bernard Moyen dans la soirée de mercredi pour déterminer les modalités d'une prochaine opération. Par ailleurs, John Mensah a passé une échographie qui a révélé une déchirure de l'aponévrose du quadriceps gauche nécessitant trois semaines d'arrêt.

C'est peu dire que l'Olympique lyonnais n'a pas été épargné cette saison par les blessures. Le secteur le plus touché concerne la défense. Mathieu Bodmer (pubalgie), François Clerc (rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche) et Anthony Réveillère (rupture du ligament croisé antéro-externe du genou gauche) ont été les plus gravement touchés. Miralem Pjanic (fracture du péroné à Sochaux fin octobre) et Fabio Santos (traumatisme facial) ont également peuplé l'infirmerie de l'OL que Fabio Grosso et John Mensah, déjà, ont fréquenté eux aussi.

msn.fr

Govou «n'est pas abattu»

Le Progrès, le quotidien de Lyon, a fait les comptes, jeudi. Sidney Govou, victime d'une rupture totale du tendon d'Achille droit mercredi après-midi à l'entraînement, sera le quatrième joueur lyonnais à être opéré de cette blessure, après Serge Bex, Jean-Christophe Devaux et Florian Maurice. Le tout en vingt-cinq ans. Comme ses prédécesseurs au club, l'attaquant international sera opéré par le professeur Bernard Moyen, en principe dès vendredi. «C'est une blessure rare, explique le spécialiste au journal. En football, on voit davantage des croisés ou des problèmes aux chevilles. Elle touche le plus gros tendon de l'organisme, il mesure une quinzaine de centimètres, et l'intervention va constituer à le suturer. Il ne faut pas attendre trop longtemps. Ce n'est pas comme pour des ligaments croisés.»

Le joueur a vu le chirurgien juste après sa blessure, mercredi soir. Il restera trois jours à l'hôpital Lyon Sud et sera immobilisé six semaines. «On le retrouvera sur un terrain lors de la reprise en juillet prochain. Mais je ne l'ai pas trouvé abattu pour autant. Je le connais bien. C'est un garçon placide. Il accepte cela avec lucidité et clairevoyance et va tout faire pour revenir dans six mois.» Florian Maurice, victime de la même blessure en septembre 1996 (elle l'avait privé du Mondial 98) témoigne également dans Le Progrès : «J'ai mis sept mois avant de pouvoir rejouer. Mais finalement, cela se soigne très bien. Je n'ai pour ma part jamais eu de séquelles depuis du fait de cette opération. Je ne suis pas particulièrement inquiet pour Sidney, ajoute l'ancien buteur de l'OL. Le professeur Moyen, qui m'avait opéré, sait ce qu'il fait.»

msn.fr

Govou devrait prolonger

En fin de contrat avec Lyon en juin 2010, Sidney Govou devrait finalement prolonger comme il l'a confié à L'Equipe.

Annoncé chaque été sur le départ, Sidney Govou avait prévenu qu'il ne prolongerait pas son contrat à Lyon, qui court actuellement jusqu'en juin 2010. Mais à un an de la Coupe du monde et après une saison en partie minée par une rupture du tendon d'Achille en janvier dernier, l'ailier droit rhodanien semble revenu, une fois de plus, sur sa décision. «Le problème, c'est que j'ai trop à perdre en partant, révèle Govou à L'Equipe de ce lundi. J'aime Lyon et je suis aimé ici.» Unique rescapé des sept titres de champion de France conquis par les Gones depuis les départs de Juninho et Karim Benzema, l'international français (39 selections, 10 buts) devrait signer un nouveau bail dans les prochains jours avec son club formateur. Il a annoncé qu'il négociait seul sa prolongation de contrat avec Lyon.

Actuellement en Andalousie avec les Lyonnais pour y disputer la Coupe de la Paix, Govou, 30 ans, dévoile également ne pas avoir pas eu de «contacts assez poussés» avec des clubs d'un plus grand standing que l'OL. «Je suis à Lyon, et je cherche quelque chose de mieux. Mais je n'aurai pas le Real Madrid, pas Barcelone. Après, je regarde la liste des grands clubs européens et je compare. Faire mieux, c'est compliqué. Mais faire moins bien, oui, c'est facile !», certifie le vice-champion du monde 2006. «Comme le dit ma mère : "T'es heureux là, reste heureux là."» Govou a même porté le brassard de capitaine lors de l'amical contre le Besiktas (1-1). Il pourrait prendre une nouvelle dimension dans l'équipe de Claude Puel, qui compte beaucoup sur son ailier droit, et n'a même paspeur d'une éventuelle arrivée de Loïc Rémy : «S'il veut prendre ma place, cela ne va pas être facile! Parce que je vais me battre pour jouer.»

msn.fr

Govou «débute sa saison»

Rétabli d'une blessure à la cuisse gauche, le nouveau capitaine de l'OL va retrouver les terrains ce week-end contre Lorient.

Soixante-dix-sept minutes au Mans (2-2), puis à peine vingt-huit à Gerland contre Valenciennes (1-0), Sidney Govou n'a pas vraiment eu le temps d'étrenner son brassard de nouveau capitaine de l'OL. Rétabli après une blessure à la cuisse gauche, l'attaquant lyonnais, dont le rendez-vous prévu la semaine dernière pour parler prolongation avec Jean-Michel Aulas a été reporté, affiche clairement son envie : «Je débute ma saison. Ma préparation a été tronquée puisque j'ai connu des soucis lors du stage à Tignes et je me suis blessé rapidement. J'espère mettre le pied à fond dans la saison samedi contre Lorient.» Objectif personnel pour Govou : «Prendre le train en marche et participer à ce qui est en route».

Qu'est-ce qui est en route ? «De belle choses, en tout cas je l'espère, insiste le "doyen de l'OL". On en a montré de très belles en août. Nos objectifs, c'est reconquérir notre titre et faire un beau parcours en Ligue des champions.» La C1, qu'il va jouer pour la dixième année consécutive, ce sera pour mercredi contre la Fiorentina. Samedi, l'OL reçoit Lorient contre qui Govou se dit prêt à commencer. Et ce, à n'importe quel poste, compte tenu de l'incertitude concernant Lisandro Lopez et de l'essor de Michel Bastos à gauche. «J'ai déjà joué à gauche, à droite, devant, donc il y a de la place (où le mettre).» «Il a des dispositions, confirme Puel. Il peut même jouer latéral.» Mais pas moyen de savoir si le technicien rhodanien pense le faire commencer d'entrée. - S.L., à Lyon


msn.fr

Govou a bien été sanctionné

Sidney Govou a bel et bien été privé de son brassard de capitaine face à Saint-Etienne (1-0) pour une sortie nocturne. L'entraîneur lyonnais Claude Puel a confirmé que son joueur avait participé, jusque tard dans la nuit de jeudi à vendredi, à une soirée dans une discothèque provisoire installée dans le cadre du village des partenaires du tournoi de tennis ATP de Lyon, au Palais des sports de Gerland, en face du siège du club et du stade. «Vous le savez, il a fauté, a confirmé Puel. Il n'y a pas grand chose à redire mais je sais que l'on peut compter sur lui. Il a toute ma confiance et celle de ses partenaires. J'ai pris une décision et je m'y tiens», a-t-il ajouté, sans préciser si cette sanction était ponctuelle où si elle allait durer. (Avec AFP)


msn.fr

Govou devrait être apte

Absent lors des deux sorties de son équipe - à Strasbourg (3-1) puis devant Metz (3-0) - Sidney Govou pourrait être remis sur pieds pour le déplacement de Lyon à Nancy, samedi soir (20e journée de L1). L'attaquant lyonnais, qui souffrait du genou, a recommencé à toucher le ballon ce jeudi. «Il y a une bonne évolution (de sa blessure), confirme Claude Puel. Il a repris les petits jeux et le travail technique.» Si, fidèle à ses habitudes, le coach de l'OL fera le point avec son joueur vendredi, lors de l'entraînement d'avant-match, il a néanmoins indiqué qu'il y a «une bonne possibilité» que Govou soit apte et du coup réintégré au groupe. - S. L., à Lyon

msn.fr

Les cambrioleurs de Govou interpellés

Quatre hommes, auteurs présumés de multiples cambriolages, dont un chez le milieu offensif de l'Olympique lyonnais (OL) Sydney Govou en août 2009, ont été interpellés par la gendarmerie, annonce le quotidien Le Progrès dans son édition de samedi.

Les cambrioleurs, qui étaient entrés dans la villa du joueur de l'OL, située dans les Monts d'Or, non loin de Lyon, pendant son sommeil, en étaient repartis "avec un butin assez important : des bijoux, parmi lesquels des montres de grande valeur, des moyens de paiement", ainsi que sa voiture, croit savoir le quotidien.

Les quatre hommes, âgés d'une trentaine d'années, ont été interpellés le 10 février, au lendemain d'une tentative de cambriolage perpétrée par l'un d'entre eux qui avait pu prendre la fuite après avoir toutefois été repéré par des témoins.

Les gendarmes avaient alors remonté la piste du cambrioleur, dans le quartier lyonnais de La Duchère, où il habitait en compagnie de trois complices présumés.

Lors d'une perquisition des lieux, les enquêteurs ont saisi des objets volés "provenant d'au moins 13 cambriolages", dont "plusieurs montres appartenant à Sydney Govou ainsi qu'une médaille frappée à son nom", poursuit le quotidien, qui précise que le joueur est allé récupérer ses biens chez les gendarmes .

Trois des quatre suspects ont été déférés au parquet et été écroués vendredi soir, ajoute Le Progrès.


sport.fr

Govou se lâche

Sidney Govou, qui n'a "pas de rapport" avec Claude Puel et "n'apprécie pas sa gestion humaine", assure dans L'Equipe qu'il est "inimaginable" qu'il reste à l'Olympique Lyonnais cet été et que le Paris SG fait partie de ses "envies". Et comme l'international arrive en fin de contrat...



"J'ai pris ma décision depuis un certain temps, indique Sidney Govou avant de préciser au quotidien sportif que celle-ci est de partir "en juin, à la fin de son contrat". Interrogé sur la possibilité de rester à Lyon, Govou, 30 ans et au club depuis 1999, répond que c'est tout simplement "inimaginable", avant de s'avancer sur son avenir : "le PSG fait partie de mes envies, mais il a d'autres problèmes en ce moment que de savoir s'il a envie de moi ou pas".

L'international (42 sélections, 10 buts) n'a pas aimé la façon dont on lui a signifié la perte de son brassard de capitaine et la révélation de ses récents écarts extra-sportifs dont il rend son club responsable. "Avant que je sache qu'on me retire mon brassard, c'est déjà dans le journal", déplore-t-il. Le joueur avait été aperçu en état d'ivresse au Grand Prix de tennis de Lyon. "Qu'on sache que je suis sorti, c'est une chose, mais qu'on connaisse la sanction avant moi" c'est que quelqu'un "a parlé". Selon lui, cela a motivé l'arrêt des discussions engagées avec l'OL pour une éventuelle prolongation. "Je regrette le manque de discussion", explique encore le joueur interrogé sur ses relations avec son entraîneur Claude Puel après avoir reconnu que, par le passé, il s'était senti poussé dehors. "Je n'ai pas de rapports, c'est aussi simple que ça. Moi, je n'aime pas cette gestion humaine. Là, cette façon de tout contrôler, ce n'est pas moi, je me sens moins bien à l'intérieur".


sport.fr

Sidney Govou : « Bien finir samedi »

L’ailier droit lyonnais a pris part à son dernier point presse à Tola Vologe. Il est revenu longuement sur sa saison et sa carrière à Lyon. Extraits…


Sidney, c’est un point presse un peu spécial, un peu de nostalgie ?
Forcément, c’est le dernier. Pour l’instant je ne réalise pas trop, je n’y ai pas trop réfléchi.


Tu t’attends à quoi samedi ?
Moi j’ai envie de jouer, de bien finir, mais je ne sais pas comment ca va se passer. J’espère juste que les gens vont vivre ça avec moi. C’est vrai que j’ai connu pas mal de départs, aujourd’hui c’est moi. Tous les anciens partiront un jour.


Y aura-t-il de l’émotion ?
Bien sûr, j’ai passé une décennie à Lyon, j’ai connu beaucoup de gens donc voilà ce sera forcément spécial. Après je suis sûr que c’est le moment de finir, et je suis heureux. Honnêtement je ne sais pas où je serai l’an prochain, c’est vrai que j’ai une préférence pour l’Angleterre. Après, l’idéal serait de le savoir avant éventuellement de partir à la Coupe du Monde.


Penses-tu que Claude Puel va prendre en compte le contexte pour te faire jouer ?
Honnêtement, maintenant je ne m’attends plus à rien (rires). On verra, il y a moi mais il y a aussi l’équipe, donc pour notre objectif, il faudra que le coach aligne la meilleure équipe possible. J’ai bon espoir d’y être.


Comment résumer ta saison ?
J’ai eu des bons comme des mauvais moments. La victoire à Liverpool, la qualification contre le Real. Après, c’est surtout sur l’extra-sportif que j’ai connu de mauvaises choses. C’est la vie, il faut l’accepter.


Un moment à retenir dans ces longues années à Lyon ?
Je ne peux pas sortir un évènement en particulier, c’est impossible et ça me paraît réducteur par rapport à tout ce que j’ai vécu ici. La Ligue des Champions, le premier titre, le doublé, c’est difficile c’est plus des bouts de moments assemblés. Après l’équipe avec laquelle je me suis senti le mieux, que ce soit dans ou en dehors du foot, car c’est important, c’est sûrement la dernière ou les deux dernières années de Paul Le Guen ici.


Une personne à qui tu diras au revoir en particulier…
Pas une seule, mais bon il y a le plus haut placé, le président. Après c’est vrai que ça sent vraiment le départ, mon vestiaire est vidé, tout est prévu je suis très organisé (sourire).


Quel regard tu portes sur ta sélection ?
On n’a aucunes certitudes dans la vie, je ne suis pas vraiment surpris parce que j’ai fait parti de la campagne de qualification. Donc d’un côté c’est logique, mais je suis très heureux, maintenant on verra pour les 23.


Comment tu vas faire tes adieux ?
Je ne suis pas un grand démonstratif, et je n’ai rien préparé donc ça se fera normalement. Après dans le foot ça va et ça vient. Ce sera de toute façon différent de dire au revoir à Antho (Réveillère) Cris ou Rémi (Vercoutre), et à Ederson ou Michel (Bastos).


Ton coup de gueule à Madrid ?
Je n’ai aucun regret, on m’a dit que j’aurai pu le faire en fin de saison, pour que ça ne perturbe personne. Mais moi je suis comme ça, j’avais besoin de parler donc je l’ai fait. Je ne suis peut-être pas comme tous les autres joueurs mais je suis moi, et c’est le plus important.


Ca te fera bizarre l’an prochain de voir un joueur de l’OL avec le numéro 14 ?
(Sourire) Non, de toute façon il y en aura un.


Est-ce que les incidents extra-foot ont influé sur ta saison ?
Ce serait mentir que de dire non. Oui, à un moment cela a pu influer sur mes performances. Je pense que le tournant de ma saison a été le retrait du brassard. Après cela a été une lutte perpétuelle avec moi pour me redonner envie de jouer.


Tu en veux à Claude Puel aujourd’hui ?
Ca a été dur.


Tu sais qu’à l’étranger la presse sera aussi difficile avec toi ?
Oui je suis un grand garçon, j’ai 30 ans je sais ce qui m’attend. Maintenant, quand vous restez 10 ans quelque part, forcément vous êtes plus exposés que celui qui vient d’arriver.


Tu as eu déjà des propositions ?
Oui, elles sont à l’étude, je réfléchis. Mais forcément je suis quelqu’un d’ambitieux, donc un club ambitieux s’il se présente m’ira.


La Coupe d’Europe ?
Ce serait super de la jouer, mais ce n’est pas éliminatoire.


Donc tu n’élimines pas Paris ?
Si je vous dis oui, on va écrire que veux y aller. Mais non c’est vrai que Paris joue la Coupe d’Europe, cela peut-être intéressant. Mais ma priorité des priorités reste l’étranger.


Tu as envie qu’on garde quel souvenir de toi ?
D’une personne vraie, parce que je le suis.


Est-ce que c’est envisageable de te voir jouer un rôle à Lyon après ta carrière ?
Je ne sais pas, honnêtement, je ne sais pas.


Comment tu vois Lyon après toi ?
Ne plus gagner (rires). Non, je laisse tellement de choses, de gens ici. Ce qui me plairait, ce serait de revenir avec un autre club. Après ma carrière continue, je ne regarde pas trop pour l’instant ce que je laisse derrière moi, on verra à la fin de ma carrière.


Avec Claude Puel, ça n’a jamais marché ?
J’ai conscience de ne pas être facile à gérer. Maintenant on n’est pas obligé de se faire la bise tous les matins pour faire du bon boulot ensemble. Et puis on a peut-être une façon différente de voir les choses.


Tu as des regrets sur ta carrière à Lyon ?
Non je réfléchis mais je n’ai pas de grands regrets. Même pas de ne pas avoir gagné de Coupe d’Europe. Si on avait eu les moyens, on l’aurait gagné.


Un mot sur le stage à Tignes ?
Ce n’est pas un très bon souvenir Tignes, le tour du lac, ce n’est pas trop mon truc (sourire). Plus sérieusement, c’est plus le fait de faire un stage et de resserrer les liens qui importe. Et puis Robert (Duverne) y a ses habitudes. Ce sera de toute façon le début de la Coupe du Monde.

DC - olweb.fr